Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L'inflation progresse en Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L'inflation progresse en Algérie

    Selon des données de l’ONS (Office national des statistiques), l’inflation a atteint un taux de 4,2% en Algérie durant les 10 premiers mois de l’année, en dépit d’une baisse d’un demi-point (-0,5%) de l’indice de la consommation durant le mois d’octobre, contre une croissance de 3,4% enregistrée en septembre, due, selon toute probabilité, au mois de Ramadhan. Selon l’ONS, cette variation à la hausse est due essentiellement au surenchérissement de 7,2% des produits alimentaires (12,7% pour les produits alimentaires industriels et 2% pour les produits agricoles frais). Les prix des produits manufacturéS, quant à eux, ont évolué de 1%, alors que les services ont progressé de 2,1%, toujours selon la même source. L’envolée des prix entre les mois de janvier et d’octobre est expliquée par la flambée des prix des produits pétroliers et des matières premières sur les marchés mondiaux.

    Tous les produits alimentaires ont progressé à la hausse et, seule consolation, les prix de la pomme de terre de consommation a baissé de 26%, alors que ceux du sucre ont accusé une légère baisse de 0,3%, durant la même période. La flambée des prix a touché surtout les huiles et graisses, avec un taux de +42,2%, les poissons frais (+18,30%), le café, le thé et autres infusions (+29,4%), les fruits (+14,8%), le pain et les céréales (+4,7%), le lait et ses dérivés dont le fromage (+7,6%) ainsi que les légumes avec un taux de +9,2%. La tendance inflationniste a touché les viandes aussi ainsi que les poissons en conserve (+2,3%), la viande et abats de mouton (+1,5%) et même les boissons non alcoolisées (+0,1%). Curieusement, le mois d’octobre a vu une légère tendance à la baisse (-0,5%), à l’instar du mois d’octobre 2007 qui avait vécu la même tendance (-0,4%). Cette légère tendance baissière saisonnière est tirée par les produits alimentaires (-1,1%), grâce aux produits agricoles frais qui affectent un taux de -1,5% de décrue. Toujours selon les statistiques de l’ONS, l’inflation a été ramenée de 29,04%, en 1994, à 3,5% en 2007. Une nouvelle méthode de calcul sera adoptée par le CNS (Conseil national de la statistique) une fois finalisée, en vue de calculer l’indice d’inflation. L’utilisation de cette nouvelle méthode était prévue en octobre, déjà, en prenant l’année 2001 comme année de base. L’inauguration de ce nouvel indice des prix à la consommation a dû finalement être reportée à janvier 2009 par l’ONS.

    source : Liberté

  • #2
    je crois que personne ne croit plus les chiffres de " l'ONS " apres l'accusation du FMI

    Commentaire


    • #3
      l’inflation a atteint un taux de 4,2%
      C'est trop , 4,2% , hé oui l'algerie avec l'argent qu'elle a de la rente du petrole et du gaz elle aurait pu etre la meilleur economie de l'afrique mais faute de volonté politique , de stratégie , de vision , de competents....) elle reste faible

      Commentaire


      • #4
        hartman, tu peux nous expliquer la relation entre le "Gaz et le petrole" d'un côté et l'inflation de l'autre ?

        Commentaire


        • #5
          Jawzia : Excuse-le. Son vocabulaire est limmité : Pour "Algérie", tout ce qu'on lui a mis dans la tête sont pétrodollars, généraux, chomage, corruption...
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

          Commentaire


          • #6
            A Hart man, A ta place, quand on est en court d'idée il faut s'abstenir d'intervenir. Ca devient rébarbatif de te lire. Tu ne sais répliquer, qu'avec les méme arguments, et toujours hors sujet, genre généraux, petrole, 150 milliards de dollars". A la longue, c'est fatiguant. Pigé.

            Commentaire


            • #7
              Jawzia : Excuse-le. Son vocabulaire est limmité : Pour "Algérie", tout ce qu'on lui a mis dans la tête sont pétrodollars, généraux, chomage, corruption...
              __________________________________________________ __________
              c`est tout ce qui savent dire...ils se donnent du courage pour eux.

              Commentaire


              • #8
                Ils sont tout excusés. Une bande de lycéens qui ont la vie devant eux ... autant les aider à l'entamer par le bon bout !

                Commentaire


                • #9
                  hartman a raison, lis ça
                  Algérie : le FMI conteste les chiffres officiels algériens sur l’inflation

                  Faut-il encore faire confiance aux chiffres de l'ONS sur l'inflation en Algérie ? Pour l'Office nationale des statistiques, la hausse des prix à la consommation a été de seulement de 3.5% en 2007. Un chiffre largement contesté dans les milieux économiques nationaux. Le Fonds monétaire international (FMI) aussi ne croit pas au chiffre de l'ONS. Il estime en effet à 4.5% le taux d'inflation en Algérie en 2007. En 2006, l'inflation a été faible : 2.5% contre 1.6% en 2005 et 3.6% en 2004, selon le FMI. En 2008, l’inflation devrait poursuivre sa hausse et avoisiner 4.3%, selon le FMI. En cause de la hausse des prix plusieurs produits de grande consommation, amorcée en ce début d'année. Comme les légumes secs, l'huile de table, les légumes frais, les matériaux de construction comme le ciment et le rond à béton.

                  L'Algérie dépend en fait des importations pour sa consommation interne. Plus de la moitié des produits consommés en Algérie proviennent de l'étranger. Pour certains articles, notamment les matières premières destinées à la transformation comme l'huile brute, la poudre de lait, la dépendance de l'étranger est totale et va s'accentuer dans les prochaines années, préviennent des économistes interrogés par ********************.

                  Pour remédier à la hausse générale des prix, le gouvernement entend subventionner directement ou indirectement via des réductions de taxes, plusieurs produits de grande consommation. L'huile de table, le lait en poudre appelé « Lahda » et les légumes secs ont été retenus par le gouvernement pour d'éventuels aides qui devraient être appliquées dès ce mois de février. Le gouvernement subventionne déjà la farine, la semoule et le lait pasteurisé en sachet.

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X