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Embellie financière, soutien de l’état et nouveau mode de vie

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  • Embellie financière, soutien de l’état et nouveau mode de vie

    Embellie financière, soutien de l’état et nouveau mode de vie
    Les Algériens consomment plus mais à quel prix !
    26-11-2008
    Par Samir Azzoug

    «Depuis 2005, le rythme de croissance de la consommation est supérieur à celui du PIB [4,7% en 2007 par rapport à 2006]» est-il mentionné dans la note de conjoncture du premier semestre 2008, rédigée par le CNES. Cette note ferait rougir de plaisir tout adepte du libéralisme. La consommation étant le facteur primordial dans la croissance économique pour cette idéologie.

    La France, pendant les dix dernières années, connaissait une moyenne de progression de la consommation des ménages de 2%. Aux Etats-Unis, depuis 2007, les dépenses des ménages ont baissé de 3,1%.

    Au regard de ces chiffres, l’économie algérienne devrait connaître un coup de «booste» vertigineux se répercutant positivement sur le niveau de vie des citoyens. Chose confirmée par les chercheurs du CNES qui font état de «l’amélioration du niveau de vie» des ménages en se basant sur trois indices «révélateurs».

    En premier lieu, il y a l’expansion du marché automobile. Entre 1998 et 2006, le parc auto s’est accru à un rythme annuel moyen de 2,5%. Près de 136 000 véhicules neufs ont été commercialisés au cours du premier semestre 2008, soit une progression de 37,3% par rapport au même semestre de 2007, pour une valeur supérieure à 1 milliard de dollars (+58% par rapport au 1er semestre 2007). Le second baromètre mis en valeur par le CNES pour déterminer l’amélioration du niveau de vie a trait au nombre d’Algériens ayant effectué un voyage touristique à l’étranger. Ils sont un million et demi à avoir voyagé en 2008 (en hausse de 3% par rapport à 2007). Le troisième facteur cité dans le rapport concerne les multiples formules de crédit à la consommation contractées par nos concitoyens. 700 000 prêts ont été accordés aux ménages pour un montant de 210 milliards de dinars, soit près de 10% du montant des crédits accordés à l’économie qui s’élève à 1,5 milliard de dinars.

    Toutefois, un élément semble être omis. La consommation est certainement un formidable moteur pour la relance économique, mais encore faut-il que la production locale soit importante et que cette consommation ne se répercute pas négativement sur les caisses de l’Etat. Or, en Algérie, la croissance du PIB hors hydrocarbures devrait baisser de 6,3% en 2007 à 6% en 2008 (selon le Commissariat général à la planification et à la prospective). Le taux de croissance fixé par la loi de finance 2008 à 5,8% a été revu à la baisse (3,5%) par la loi complémentaire.

    Seuls les secteurs du BTP (un secteur au développement conjoncturel) avec une croissance de 9,4% et les services, 7,5%, arrivent à soutenir, un tant soit peu, le PIB. Quant aux taux de croissance des autres secteurs, déjà mal en point, ils sont peu réconfortants. Le taux global de croissance du secteur de l’industrie a atteint 0,8% en 2007. Le nombre de PME pour mille habitants est de 8. En 2007, moins de 250 000 PME sont recensées, dont 99% privées. La grande majorité de ces entreprises activent dans les secteurs des services (45,95%) et le bâtiment et travaux publics (33,88%) contre 18,7% pour l’industrie et un petit 2% pour l’agriculture, la pêche et divers. Et cela, malgré le programme gouvernemental qui vise la création à l’horizon 2010 de 100 000 nouvelles PME et de 510 000 emplois dans l’artisanat. L’agriculture, un secteur pourtant stratégique, a beaucoup de mal à émerger. Malgré une «croissance évolutive», note le rapport du CNES (1,9% du PIB en 2005, 8% en 2008), le pays reste très loin de l’autosuffisance alimentaire.

    La production céréalière en 2007 représentait 43 millions de quintaux alors que la demande annuelle de consommation varie entre 60 et 70 millions de quintaux. Devant ces faits et le fort taux d’inflation qui a caractérisé ces dernières années les marchés internationaux, particulièrement pour ce qui est des produits de large consommation, l’Etat est devenu «la vache au pis gonflé» qu’on trait sans discontinuer, au risque de l’assécher. A coups de subventions et de crédits, les caisses de l’Etat n’ont de cesse de satisfaire un appétit grandissant de la consommation. Le montant des crédits destinés à financer l’achat de véhicule a atteint 65 milliards de dinars. L’importation de véhicules touristiques neufs équivaut à 1,5 milliard de dollars. Les dépenses sociales de l’Etat en 2008 sont de l’ordre de 1 083 milliards de dinars (13,5% du PIB).

    En matière d’importation, une croissance vertigineuse s’est opérée. Après une faible hausse en 2006 (5,40%), le taux passe à 28,78% en 2007 -Il faut dire que la croissance la plus importante reste celle liée aux biens d’équipement industriels 53,38% et agricoles 19,59%-. La facture d’importation des céréales et dérivés, médicaments, lait et produits laitiers au premier semestre 2008 a connu une augmentation de 60% par rapport à 2007 (3,42 milliards de dollars au premier semestre 2008 contre 2,09 pour la même période de 2007). Pour les céréales, semoules et farines uniquement, une hausse de 109,53% est enregistrée pour la même période contre 48,38% pour le lait et les produits laitiers. Des accroissements dus principalement à la hausse des prix de ces produits sur les marchés internationaux.

    Selon FAO, l’indice des prix des produits alimentaires entre février 2007 et le même mois de 2008, a connu une hausse de 57% (85% pour les céréales). Malgré un taux d’inflation de 4,9% en 2008, le rapport du CNES fait état de recul de la pauvreté humaine en Algérie, l’indice IPH passant de 24,67% en 1998 à 18,95% en 2006.

    Tout cela est bien. Tant que le prix du pétrole flirtait avec les 100 dollars, l’équilibre a pu être maîtrisé, mais avec un baril à 50 dollars, les choses risqueraient d’aller moins bien pour le citoyen. D’autant que les efforts considérables consentis par l’Etat en faveur de l’emploi, en mobilisant 39 milliards de dinars (0,4% du PIB) pour la création de 2 millions de postes en 5 ans (depuis 2005), n’ont pas un véritable impact sur la production. Il se trouve que ce sont principalement des emplois d’attente (le taux de permanisation ne dépasse pas les 12%) et la valeur ajoutée du travail au niveau des différents secteurs n’a pas vraiment suivi le même rythme enregistré par la baisse du taux de chômage.
    Finalement, en attendant d’arriver à un taux d’autosuffisance satisfaisant, les Algériens devraient penser à consommer raisonnablement dans le pire des cas ou relancer les différents secteurs de productions dans le meilleur.

    S. A

  • #2
    on enregistre toutefois, un déséquilibre dans la répartition des richesses. Selon les estimations des programmes des Nations Unies pour le développement et de la Banque Mondiale, le taux des personnes qui vivent sous le seuil de la pauvreté, qui gagnent moins de deux dollars par jour, est estimé à plus de 20% de l’ensemble des habitants, représentant plus de 6,5 millions d’Algériens. Le niveau social d’une grande catégorie d’Algériens n’a pas vraiment changé, suite au partage inéquitable de la fortune et des revenus de Algérie.
    makhzeni laisse nous le temps nous on a peine une cinquantaine d'années d'existance.

    sinon jette un coup d'oeil aux chiffres de ton pays

    En effet, aujourd’hui encore, 40% des Marocains vivent avec moins de 2 dollars par jour et le taux d’analphabétisme s’élève à plus de 51% pour les adultes de plus de 15 ans, ce alors que Mohammed VI a comme positionnement la volonté affichée d’être le « roi des pauvres », ce que c’était bien gardé d’ailleurs de faire son père. Après quelques flottements au début de son règne, M 6 a fini par lancer de nombreux chantiers pour développer le pays et désenclaver les régions les plus pauvres. Le roi injecte à cet effet des milliards de dirhams dans l’économie marocaine. Mais ces « efforts » ne semblent guère encore porter leurs fruits.
    c'est une marocaine qui le dit, enfin d'origine marocaine, senatrice des verts. ce ne sont pas mes chiffres...

    mais je te rassure... si les notres restent 1200 ans a la tete du pays, comme c'est votre cas, on risquerait de vous rattraper

    jawzia désolé du hors sujet
    Dernière modification par Jijelinho, 26 novembre 2008, 06h40.
    Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

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    • #3
      M'khazni,

      Le chiffre n'est pas faux. Sauf que El Khabar a fourgué aux "crédules" des chiffres qui remontent à ...... 1995.

      L'étude de la banque mondiale, évalue à 6.360.000 le nombre de pauvres en 1995, les trois seuils de pauvreté confondus, soit 22,6 % de la population du pays

      (extrait de la page 9)

      http://www.dz.undp.org/pauvrete/Carte_pauvrete.pdf
      Ce taux de 22,6% englobe les pauvres et les vulnérables en ... 1995.

      En 2008, le Maroc initie pour les pauvres (4 millions) et les vulnérables (autres 4,5 millions) une espèce de système de sécurité sociale.

      8,5 millions de pauvres représenterait quelques 28,3% de pauvres.
      Si on enlève les vulnérables, la pauvreté concernerait 4 millions d'ames soit 13,3%.

      Conclusion : En termes de lutte contre la pauvreté; le Maroc de 2008 n'est même pas aux niveaux de l'Algérie de 1995.

      Commentaire


      • #4
        Mkhazni : Le sujet est "Embellie financière, soutien de l’état et nouveau mode de vie". Si tu préfères parler d'un autre sujet, ouvre un topic et s'il te plait et prends des chiffres récents !


        Toutefois, un élément semble être omis. La consommation est certainement un formidable moteur pour la relance économique, mais encore faut-il que la production locale soit importante et que cette consommation ne se répercute pas négativement sur les caisses de l’Etat
        L'Algérie doit miser sur la production locale. J'espère que les dernières mesures mis en oeuvre comme le contrôle des importateurs va porter ses fruits en incitant une partie d'entre eux de se lancer dans la production locale. Parfois, il ne suffit de pas grand chose.
        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

        Commentaire


        • #5
          bonsoir !

          Envoyé par jijelinho
          sinon jette un coup d'oeil aux chiffres de ton pays
          les chiffres officiels on les connait, mon caractere rigoureux ne me permettera d'aller les chercher sur un blog
          le Maroc de 2008 (et je ne vois pas pourquoi tu t'interesses à lui) a 2,8millions de pauvres en 2008

          jawzia
          non, ca remonte à 2008, non 1995
          tu as dû confondre, car le taux est presque le meme
          c'est revelateur, car malgré l'embellie finnaciere grace à la difference du prix des hydrocarbures de 2008 avec le prix de 1995, il y a presque le meme taux de pauvreté

          Dzmes bond
          c'est le meme sujet ! lis le titre
          Embellie financière, soutien de l’état et nouveau mode de vie
          la premiere oui ! 80 milliards $ des hydrocarbures
          mais la deuxieme et fausse: 20% de pauvres soit plus de 6,5 millions

          Commentaire


          • #6
            Mkhazni, voici une dernière chance pour t'extirper de ton analphabétisme sur le sujet.

            Durant les dernières années, grâce à la reprise de la croissance économique, la pauvreté extrême a pratiquement disparu en Algérie. En utilisant le ratio de un dollar/jour PPA, la proportion de personnes vivant en grande pauvreté est passée de 1,9% en 1988 à 0.8% en 2000. Si l’on utilise le seuil de deux dollars/jour, la proportion de pauvres aurait diminué de près de moitié entre 2000 et 2004, passant 12,1% à 6,8%.

            Cependant, certains indicateurs sociaux restent préoccupants. Malgré les progrès réalisés, le taux de chômage parmi les jeunes et les nouveaux entrants sur le marché du travail reste élevé. En outre, les données agrégées masquent les écarts existant entre les milieux et les régions, qui reflètent des disparités en matière d’accessibilité et de qualité des services sociaux. Les principales poches de pauvreté se situent dans les zones rurales et les périphéries des grandes villes. Le PNUD Algérie contribue à la réalisation de l’OMD 1 au travers de son portefeuille de projets pour la réduction de la pauvreté et le développement humain.

            http://www.dz.undp.org/omd/nat_omd.html
            Tu veux plus de détails ? En voici :

            Pour le seuil de pauvreté d’un (01) dollar par personne et par jour, le ratio de pauvreté est passé de 1,9% en 1988 à 0,8% en 2000, soit une réduction de plus de la moitié. De ce fait, le premier des Objectifs du Millénaire pour le Développement a déjà été atteint en 2000. L’extrême pauvreté telle que défi nie par les OMD reste marginale en Algérie et son éradication totale est tout à fait possible. Il reste cependant que ce seuil est trop bas pour un pays comme l’Algérie.
            Si l’on choisit le seuil alimentaire SA, qui est équivalent à 1.5 dollar PPA, pour mesurer le premier indicateur des OMD, on aurait la tendance suivante : 3,6% en 1988, 5,7% en 1995, 3,1% en 2000 et 1,6% en 2004.

            Dans ce cas de figure également, l’objectif de 2015 est atteint en 2004.

            Par contre, au seuil de pauvreté générale SPG, soit environ 02 $ PPA, si l’on prolonge jusqu’en 2015 le rythme de baisse observée entre 1988 et 2004 (- 0,7% en moyenne annuelle), l’objectif de réduction de moitié (pour atteindre 4%) ne pourra pas être réalisé.
            Si en plus tu as du temps, de la patience et un cœur solide : Le rapport entier

            Commentaire


            • #7
              voilà par quoi commence ton document
              "La solidarité nationale ne doit pas constituer une autre forme
              d'expression de l'Etat providence. Elle doit être conçue comme
              système de rééquilibrage des chances, compatible avec la dignité des
              citoyens et tendre en tout état de cause à une intégration des
              bénéficiaires dans la sphère d'activités et ne pas se limiter en une
              redistribution de la rente en vue de la simple satisfaction de besoins,
              même conjoncturellement exprimés […] L'économie de marché est
              une option de raison, mais c'est un système sans merci et dur pour
              les défavorisées. Cela implique qu'il faille concevoir un dispositif
              social s'appuyant sur tous les moyens internes et externes,
              gouvernementaux ou non gouvernementaux […] Les jeunes, les
              couches sociales défavorisées, doivent trouver des opportunités
              réelles pour s'intégrer efficacement dans une dynamique d'avenir,
              leur assurant la pérennité de leur revenus et contribuant, dans le
              même temps, à la création de la richesse nationale".



              ABDELAZIZ BOUTEFLIKA
              ensuite il y a
              PROLOGUE


              Visualiser et localiser la pauvreté participe indéniablement à la circonscrire.
              Véritable radioscopie, le présent document constitue l’outil de référence qui nous
              permet, en tant que responsables politiques, une meilleure compréhension du
              phénomène de la pauvreté en Algérie, et partant, une canalisation des énergies et une
              rationalisation des moyens à mettre en œuvre en vue de l’élimination des formes les
              plus aiguës de la pauvreté d’ici l’an 2005.

              Tout en nous permettant d’estimer l’ampleur du phénomène par l’établissement d’un
              diagnostic exhaustif et précis au niveau de chaque commune du territoire national, la
              "carte de la pauvreté en Algérie" nous incite à redoubler d’efforts dans l’élaboration
              de politiques pragmatiques et de stratégies efficientes, orientées vers le développement
              global et durable.

              C’est le dévouement et la volonté que nous manifesterons dans l’accomplissement de
              cette tâche qui détermineront l’aboutissement de la noble mission dévolue à tout un
              chacun.

              La "Carte de la pauvreté en Algé rie" représente dans ce cadre un premier jalon,
              résultat d'une coopération exemplaire et fructueuse entre le Ministère de l’action
              Sociale et de la Solidarité Nationale, le PNUD et l’Agence Nationale de
              l’Aménagement du Territoire.

              Une telle expérience est appelée à se renouveler à différents niveaux, incluant d’autres
              intervenants et associant d’autres partenaires, dans la seule perspective d’assurer le
              bien être et l’épanouissement du citoyen Algérien.

              Le Ministre de l’Action Sociale et de la Solidarité Nationale,
              Docteur Djamel OULD ABBES
              mon caractere rigoureux m'empeche de recourir aux articles manipulés
              lis ça

              En dépit de l’embellie financière en Algérie

              Lun, 01 Sep 2008

              En dépit de l’amélioration des indices de la macroéconomie en Algérie et des revenus, qui devraient atteindre cette année plus de 80 milliards de dollars, on enregistre toutefois, un déséquilibre dans la répartition des richesses.

              Selon les estimations des programmes des Nations Unies pour le développement et de la Banque Mondiale, le taux des personnes qui vivent sous le seuil de la pauvreté, qui gagnent moins de deux dollars par jour, est estimé à plus de 20% de l’ensemble des habitants, représentant plus de 6,5 millions d’Algériens.
              Le niveau social d’une grande catégorie d’Algériens n’a pas vraiment changé, suite au partage inéquitable de la fortune et des revenus de Algérie. Les employés qui touchent des salaires variant entre 12 et 35 mille dinars constituent plus de 60% de la masse salariale, alors que employés dont les salaires sont estimés entre 60 et 300 mille dinars constituent moins de 10% de cette dernière.
              Selon les institutions internationales, 2,8% des revenus de l’Algérie sont répartis sur 10% des classes les plus démunis de l’Algérie, alors que 20% des catégories les plus riches bénéficient de 42,6% de la fortune et des revenus. De ce fait, les classes sociales commencent à apparaître suite à l’ouverture et à la libération du marché. Une partie de la classe moyenne commence à disparaître graduellement et à rejoindre la classe pauvre.
              Qu’est donc devenu le phare du socialisme au Maghreb ?
              Plus de vingt milliards de dollars de devises excédentaires en raison du la rente pétrolière et de plus en plus d’analphabétisme et de moins en moins de compassion de l’élite au pouvoir envers les plus démunis, les plus isolés, les abandonnés ?
              Tant de très pauvres pour sacrifier au libéralisme et pour le plus grand profit d’une infime minorité qui dirige le pays en reprenant à son compte toutes les machinations raffinées de la contre insurrection des anciens occupants français ?
              Le monde actuel doit aux dirigeants algériens l’invention du terrorisme islamiste qui stabilise leur pouvoir et exporté dans les années 80 en France .
              Le monde en particulier les centaines de millions de musulmans leur dit merci.
              D’après Hafid S.
              il faut sortir de la manipulation et ne pas chercher à justifier l'injustifiable
              Dernière modification par Mkhazni, 26 novembre 2008, 23h24.

              Commentaire


              • #8
                Azzouz avait raison, il y a quelques fois des cas désespérés !

                Commentaire


                • #9
                  j'ai pas compris mon amie, à qui tu parles et qu'est ce que tu veux dire ?
                  tu n'as pas encore fait un commentaire sur ce que j'ai posté

                  Commentaire


                  • #10
                    Surtout avec son caractère rigoureux, tres rigoureux même

                    Commentaire


                    • #11
                      • Près de 136 000 véhicules neufs ont été commercialisés au cours du premier semestre 2008, soit une progression de 37,3% par rapport au même semestre de 2007, pour une valeur supérieure à 1 milliard de dollars
                      • Ils sont un million et demi à avoir voyagé en 2008
                      • 700 000 prêts ont été accordés aux ménages pour un montant de 210 milliards de dinars, soit près de 10% du montant des crédits accordés à l’économie qui s’élève à 1,5 milliard de dinars.
                      • Malgré un taux d’inflation de 4,9% en 2008, le rapport du CNES fait état de recul de la pauvreté humaine en Algérie, l’indice IPH passant de 24,67% en 1998 à 18,95% en 2006.

                      Commentaire


                      • #12
                        treve de plaisanterie
                        Surtout avec son caractère rigoureux, tres rigoureux même
                        dans ce temps, il faut etre plus que rigoureux

                        Commentaire


                        • #13
                          Surtout avec son caractère rigoureux, tres rigoureux même
                          La rigueur est arborée à son épaule...
                          Une rigueur militaire, quoi !

                          Commentaire

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