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Futur pont logistique Europarc à Oran

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  • Futur pont logistique Europarc à Oran

    La réalisation d'infrastructures de base, tels les parcs logistiques, contribue à la création d'opportunités d'emplois, de renforcer et de favoriser aussi les échanges économiques et commerciaux d'un pays avec ses voisins de l'autre rive, ce qui attire les investissements, faire rentrer des capitaux et donc développer l'activité d'importation et d'exportation.

    Un parc industriel ou zone industrielle, faut-il le signaler, est une zone géographique prévue pour un usage industriel. Les parcs industriels sont généralement situés près des accès autoroutiers et des infrastructures de transport, notamment un aéroport ou un port. A la lumière de ces données, la capitale de l'ouest du pays, en l'occurrence Oran, s'apprête de se doter d'un pôle d'envergure "l'Europarc".

    Ce projet ambitieux qui constituera dès la fin 2010 un pont logistique d'envergure entre la capitale de l'Ouest et les pays du Bassin méditerranéen, bénéficiera à une soixantaine d'investisseurs nationaux et étrangers, selon le promoteur de cette opération.

    En effet, ledit projet, qui a pour objectif de favoriser les échanges économiques entre l'Algérie et ses partenaires, porte sur la réalisation de deux plateformes, localisées dans les communes d'El-Kerma et de Béthioua, d'une superficie respective de 14 et 12 ha, et sur l'aménagement d'un terminal de charge au niveau du port d'Oran.

    Ainsi, l'infrastructure d'El-Kerma, qui enregistre un taux d'avancement de 60%, a déjà ouvert ses locaux à de grandes entreprises du pays pour les besoins de leurs activités, notamment en matière de stockage des produits transitant par le port d'Oran, en vue de leur exportation ou leur distribution sur le territoire national.
    .


    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

  • #2
    suite

    Selon son promoteur, en l'occurrence la Société algérienne de développement commercial et industriel de la Méditerranée (SDCIM), basée à Oran, le parc d'El-Kerma sera totalement opérationnel à la fin 2009, alors que celui de Béthioua et le terminal portuaire seront livrés à la fin 2010.

    Cette opération est estimée à 1,1 milliard de DA pour les parcs industriels et de 120 millions de DA pour le terminal de charge ; le financement est assuré à 40% par les fonds propres de la SDCIM et à 60 % par des institutions financières nationales et internationales.

    Quant aux avantages offerts aux futurs locataires de l'Europarc, les responsables du projet mettent en avant la proximité des plateformes logistiques avec les principales voies de communication telles l'autoroute Est-Ouest, les infrastructures portuaires et aéroportuaires, et la gare de fret d'Es-Sénia.

    Il faut savoir que l'attraction de l'investissement national et étranger à travers ces sites sera également consolidée par la création d'un centre d'affaires (business center), des prestations et des équipements modernes à la hauteur des attentes des entreprises.

    La SDCIM cite, dans ce sens, la télécommunication à très haut débit (ADSL), le raccordement aux réseaux de gaz naturel, d'électricité, d'eau potable et d'anti-incendie, outre les services d'accompagnement tels la télésurveillance, la collecte des ordures et le traitement des rejets.

    Au niveau du terminal de charge du port d'Oran, les opérateurs économiques disposeront, en outre, d'entrepôts spéciaux (généraux et réfrigérés) et d'une ligne de télécommunication directe avec les parcs industriels d'Oran et les centres logistiques des ports méditerranéens tels ceux d'Alicante (Espagne) et de Sète (France).

    Enfin, selon la même société, la concrétisation de cette opération générera quelque 1 500 nouveaux emplois directs.

    (c) Le Maghreb 26/11/208
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    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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    • #3
      Au niveau du terminal de charge du port d'Oran, les opérateurs économiques disposeront, en outre, d'entrepôts spéciaux (généraux et réfrigérés)
      J'espère que ça va aider à booster les exportations agricoles.

      Cette société devrait acquerrir plus de terrains quand la ligne de chemin de fer reliant Oran au gisement de la mine de fer de Gara Djebilet sera opérationnelle.
      La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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      • #4
        la concrétisation de cette opération générera quelque 1 500 nouveaux emplois directs.
        J’ai noté qu'on Algérie, les projets pas "Méga" ni "Giga" drainent plus de postes d’emploi.
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        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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        • #5
          DZmes BondCitation:
          Au niveau du terminal de charge du port d'Oran, les opérateurs économiques disposeront, en outre, d'entrepôts spéciaux (généraux et réfrigérés)
          J'espère que ça va aider à booster les exportations agricoles.

          Cette société devrait acquerrir plus de terrains quand la ligne de chemin de fer reliant Oran au gisement de la mine de fer de Gara Djebilet sera opérationnelle


          Cher ami garat jbilat se trouve à lus de 1400km d Oran ,ca sera pas facile , traverser la HMADA DRAA CERAIT UN SACR2 CHALLENGE POUR LL aLGERIE.

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          • #6
            riad020 :
            Cher ami garat jbilat se trouve à lus de 1400km d Oran ,ca sera pas facile , traverser la HMADA DRAA CERAIT UN SACR2 CHALLENGE POUR LL aLGERIE.
            Même si ça va être couteux, elle serait largement rentabilisée. De plus, elle permettra à la région su-ouest de se développer un peu plus.
            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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            • #7
              C est ce que je me suis dit, ca sera pas facile , il faut mobiliser des moyens humains et financiers tres importants,mais si l Algerie réussisse, ca sera un sacré coup contre la nature ,et puis ca ouvrira grand le chemin pour la Transaharienne déja révée par le France colonilale au debut du defunt siecle.

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              • #8
                la transsaharienne, elle va d'alger a bordj badji mokhtar a travers tamanrasset, elle fait a peu près 2500 KM, la plus majeure partie a ete realisée depuis l'epoque de boumedienne, le reste vient d'etre relancée récemment et je pense qu'elle a deja ete finie.

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                • #9
                  je parle de transaharienne ferroviere



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                  • #10
                    II/ Histoire d'un échec.
                    A/Les préliminaires.

                    - Le choix du tracé a été fait par Maître-Devallon. Sur sa carte, que je reproduis sur la page suivante, apparaissent les seules deux voies possibles, à son avis ; la voie constantinoise qui part de Philippeville, et la voie oranaise qui part de Nemours. La voie oranaise est la meilleure ; en réalité il faudrait dire l' orano-marocaine, car la voie ne reprend pas le chemin de fer à voie étroite de Colomb-Béchar, mais le chemin de fer normal d'Oujda à Colomb-Béchar. En effet on doit construire, non pas un tortillard, mais un chemin de fer capable de supporter des trains lourds.
                    La voie oranaise a l'avantage d'être plus courte et de ne pas nécessiter la mise à voie normale de la section Biskra-Touggourt. Même si les deux propositions figurent sur sa carte, ainsi qu'une option Biskra-Bougie par M'Sila, l'auteur prend nettement parti en faveur de la traversée du Maroc oriental.

                    Ce tracé oriental a aussi l'énorme avantage de ne nécessiter qu'un petit nombre d'ouvrages d'art. Au sud d'Adrar on pourra presque poser la voie sur le reg du Tanezrouft, avec de très longues lignes droites : les terrassements y seront réduits à presque rien. Vous aurez remarqué qu'à In Tassit le Transsaharien se divise en deux branches qui, toutes deux, atteignent le fleuve Niger, à Segou au Soudan, ou à Gao au Niger, avec terminus à Niamey. Segou est à 2285 km de Colomb-Béchar, et Niamey à 2480.

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