« Les échanges commerciaux entre l'Algérie et le Canada atteignent 5,5 milliards de dollars, dont 5 milliards accaparés par le secteur des hydrocarbures », a indiqué hier l'ambassadeur du Canada, M. Patrick Parisot, lors d'une conférence de presse tenue à Constantine au restaurant «Les Platanes».
«C'est un taux faible, relativement à d'autres échanges commerciaux réalisés par l'Algérie avec d'autres pays, reconnaît-il, mais il ne faut pas juger nos relations bilatérales sous cet angle restreint, car elles s'inscrivent dans la constance et l'investissement structurant ».
Et de citer en exemple « le grand projet en partenariat, en attente d'un feu vert des autorités algériennes, d'une usine de production d'aluminium, devant créer près de 3.000 emplois, ou encore les 70 entreprises canadiennes en activité dans notre pays, ainsi que la coopération dans les domaines de l'éducation, la formation professionnelle, l'hydraulique, le lait..., et la mise en application d'un mode de gestion hospitalier ». Bref, le Canada opte en Algérie pour « un engagement structurant », comme l'indiquera son ambassadeur à Alger. Et toujours dans ce contexte, il confiera que «ses services s'attellent à préparer une mission économique en Algérie en 2009».
Par ailleurs, sur le plan de la circulation des personnes, il soulignera que le Canada occupe la seconde place (après la France) pour ce qui est de la communauté algérienne vivant à l'étranger. «50.000 Canadiens sont d'origine algérienne », précisera-t-il à ce propos.
Dans ce sillage, le conférencier indiquera que «ses services accordent en moyenne 2.000 visas par an aux Algériens, et que près de 5.000 étudiants sont inscrits dans les universités canadiennes».
Quant à son séjour de «prospection», ces trois derniers jours à Oum El-Bouaghi et Constantine, M. Parisot relèvera qu'il a été très fructueux en matière de perspectives d'investissements ressenties après ses contacts avec les deux walis et les représentants de la chambre de commerce Rhumel, dans les domaines de l'industrie pharmaceutique, l'agro-alimentaire, le tourisme et autres. « On a semé les graines », signalera-t-il.
- Le Quotidien d’Oran
«C'est un taux faible, relativement à d'autres échanges commerciaux réalisés par l'Algérie avec d'autres pays, reconnaît-il, mais il ne faut pas juger nos relations bilatérales sous cet angle restreint, car elles s'inscrivent dans la constance et l'investissement structurant ».
Et de citer en exemple « le grand projet en partenariat, en attente d'un feu vert des autorités algériennes, d'une usine de production d'aluminium, devant créer près de 3.000 emplois, ou encore les 70 entreprises canadiennes en activité dans notre pays, ainsi que la coopération dans les domaines de l'éducation, la formation professionnelle, l'hydraulique, le lait..., et la mise en application d'un mode de gestion hospitalier ». Bref, le Canada opte en Algérie pour « un engagement structurant », comme l'indiquera son ambassadeur à Alger. Et toujours dans ce contexte, il confiera que «ses services s'attellent à préparer une mission économique en Algérie en 2009».
Par ailleurs, sur le plan de la circulation des personnes, il soulignera que le Canada occupe la seconde place (après la France) pour ce qui est de la communauté algérienne vivant à l'étranger. «50.000 Canadiens sont d'origine algérienne », précisera-t-il à ce propos.
Dans ce sillage, le conférencier indiquera que «ses services accordent en moyenne 2.000 visas par an aux Algériens, et que près de 5.000 étudiants sont inscrits dans les universités canadiennes».
Quant à son séjour de «prospection», ces trois derniers jours à Oum El-Bouaghi et Constantine, M. Parisot relèvera qu'il a été très fructueux en matière de perspectives d'investissements ressenties après ses contacts avec les deux walis et les représentants de la chambre de commerce Rhumel, dans les domaines de l'industrie pharmaceutique, l'agro-alimentaire, le tourisme et autres. « On a semé les graines », signalera-t-il.
- Le Quotidien d’Oran
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