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Reporté à trois reprises
Bien que son nom ne figure pas dans le programme des affaires criminelles qui devront être jugées par le tribunal criminel d’Alger, le procès du fondateur et ex-«émir» du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), Hassan Hattab, serait programmé, selon des sources concordantes, pour le 16 décembre prochain.
Impliqués dans des attentats terroristes et d’atteinte à la sécurité de l’Etat, l’ancien premier responsable du GSPC est également poursuivi pour soutien logistique aux groupes terroristes qui activaient entre Alger et Tizi Ouzou. Pour rappel, l’ex-«émir» qui a quitté le GSPC en 2004 puis remplacé par son adjoint, à savoir Nabil Sahraoui (éliminé par les services de sécurité dans une embuscade peu de temps après), s’est rendu aux services de sécurité, d’après le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, le 22 septembre 2007.
Le premier responsable du département de l’Intérieur a confirmé, lors d’une conférence de presse qu’il a tenue en marge d’une visite diplomatique à Paris : «L’ancien chef du GSPC est considéré comme un repenti.» A signaler que Hassan Hattab a rejoint la politique de réconciliation nationale initiée par le président de la République Abelaziz Bouteflika. L’ex-patron du GSPC a accusé le nouveau chef de ce groupe terroriste, à savoir Abdelmalek Droukdel, de transformer «l’Algérie en un second Irak». Cet ancien terroriste a condamné le double attentat suicide perpétré le 11 avril 2007 contre le palais du Gouvernement et le commissariat de Bab Ezzouar à Alger.
Il a par ailleurs exhorté les militants du GSPC à déposer les armes et à se rendre dans le cadre de la réconciliation nationale. Notons enfin que le procès de cet ancien terroriste a été reporté à trois reprises par le tribunal criminel d’Alger. Ce même terroriste fait l’objet de plusieurs affaires liées au terrorisme. Il a été condamné par contumace par le tribunal criminel de Boumerdès.
- Le jeuneIndependant
Bien que son nom ne figure pas dans le programme des affaires criminelles qui devront être jugées par le tribunal criminel d’Alger, le procès du fondateur et ex-«émir» du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), Hassan Hattab, serait programmé, selon des sources concordantes, pour le 16 décembre prochain.
Impliqués dans des attentats terroristes et d’atteinte à la sécurité de l’Etat, l’ancien premier responsable du GSPC est également poursuivi pour soutien logistique aux groupes terroristes qui activaient entre Alger et Tizi Ouzou. Pour rappel, l’ex-«émir» qui a quitté le GSPC en 2004 puis remplacé par son adjoint, à savoir Nabil Sahraoui (éliminé par les services de sécurité dans une embuscade peu de temps après), s’est rendu aux services de sécurité, d’après le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, le 22 septembre 2007.
Le premier responsable du département de l’Intérieur a confirmé, lors d’une conférence de presse qu’il a tenue en marge d’une visite diplomatique à Paris : «L’ancien chef du GSPC est considéré comme un repenti.» A signaler que Hassan Hattab a rejoint la politique de réconciliation nationale initiée par le président de la République Abelaziz Bouteflika. L’ex-patron du GSPC a accusé le nouveau chef de ce groupe terroriste, à savoir Abdelmalek Droukdel, de transformer «l’Algérie en un second Irak». Cet ancien terroriste a condamné le double attentat suicide perpétré le 11 avril 2007 contre le palais du Gouvernement et le commissariat de Bab Ezzouar à Alger.
Il a par ailleurs exhorté les militants du GSPC à déposer les armes et à se rendre dans le cadre de la réconciliation nationale. Notons enfin que le procès de cet ancien terroriste a été reporté à trois reprises par le tribunal criminel d’Alger. Ce même terroriste fait l’objet de plusieurs affaires liées au terrorisme. Il a été condamné par contumace par le tribunal criminel de Boumerdès.
- Le jeuneIndependant
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