bonsoir tous le monde !
Hacène, la vingtaine à peine entamée, est calme de nature. Ceux qui le connaissent le qualifient de très sage en dépit de son jeune âge. Mais il suffit d’aborder le sujet des… embouteillages pour qu’il s’excite et s’irrite. «C’est insupportable, y en a marre, trop, c’est trop», tonne-t-il à chaque fois. Ce jeune homme, qui réside à Alger-Centre, a été licencié par son employeur parce qu’il arrivait souvent en retard à son lieu de travail. «C’était mon premier boulot, je faisais tout mon possible pour être à la hauteur de la confiance placée en moi, mais hélas, j’ai fini par être mis à la porte au bout de quelques mois d’essais non pas à cause de mon incompétence, mais plutôt de mes retards répétés. Je travaillais à Bir Mourad Raïs et pour arriver à temps, je sortais de la maison à 6h 30. Malheureusement, j’étais tout le temps coincé dans les bouchons, ce qui fait que j’arrivais au boulot en retard, à 8h 10 généralement. Après trois avertissements, mon employeur m’a signifié mon licenciement», explique-t-il. «J’ai eu beau essayer de lui faire comprendre que je ne pouvais pas arriver avant 8h 10 en raison des bouchons qui se forment chaque matin sur l’axe Alger-Centre – Bir Mourad Raïs, ajoute-t-il, mais il n’a rien voulu entendre.»
K. I. in infosoir
Hacène, la vingtaine à peine entamée, est calme de nature. Ceux qui le connaissent le qualifient de très sage en dépit de son jeune âge. Mais il suffit d’aborder le sujet des… embouteillages pour qu’il s’excite et s’irrite. «C’est insupportable, y en a marre, trop, c’est trop», tonne-t-il à chaque fois. Ce jeune homme, qui réside à Alger-Centre, a été licencié par son employeur parce qu’il arrivait souvent en retard à son lieu de travail. «C’était mon premier boulot, je faisais tout mon possible pour être à la hauteur de la confiance placée en moi, mais hélas, j’ai fini par être mis à la porte au bout de quelques mois d’essais non pas à cause de mon incompétence, mais plutôt de mes retards répétés. Je travaillais à Bir Mourad Raïs et pour arriver à temps, je sortais de la maison à 6h 30. Malheureusement, j’étais tout le temps coincé dans les bouchons, ce qui fait que j’arrivais au boulot en retard, à 8h 10 généralement. Après trois avertissements, mon employeur m’a signifié mon licenciement», explique-t-il. «J’ai eu beau essayer de lui faire comprendre que je ne pouvais pas arriver avant 8h 10 en raison des bouchons qui se forment chaque matin sur l’axe Alger-Centre – Bir Mourad Raïs, ajoute-t-il, mais il n’a rien voulu entendre.»
K. I. in infosoir
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