Les dirigeants du parti dissous FIS « Front Islamique du Salut » organisent des rencontres périodiques entre eux, les anciens sympathisants y ont participé récemment, des réunions présidées par Ali Benhadj.
Une source bien informée a indiqué que les chefs historiques du parti dissous se sont réunis, dans une maison à Alger, au moins trois fois collectivement et plusieurs fois en bilatérales. La même source a indiqué à El Khabar que des sympathisants, depuis la création du FIS, ont assisté à ces rencontres et sont venus de toutes les régions du pays, répondant aux invitations émises par plusieurs personnalités qui avaient dirigé le parti avant que le pays ne rentre dans le spectre du terrorisme.
Selon la même source, les rencontres ont tourné autour d’un seul sujet à savoir la révision de la Constitution et son résultat évident qui est la candidature du Président de la République à un troisième mandat.
La source a rapporté de l’un des chefs du FIS, dans l’une des réunions, que les autorités « ont justifié la dissolution du FIS par la volonté de tuer l’alternance au pouvoir si jamais il y arrive, et ce dont avaient peur les autorités, Bouteflika le fera après qu’il ait modifié la constitution ».
Le groupe du FIS a insisté à tenir ses rencontres loin des regards et de l’écoute des services de sécurité, par peur d’être exposé à des intimidations. Donc Ali Benhadj et ceux qu’il a rencontré savent qu’une réunion au nom d’un parti qui, juridiquement, n’existe pas, les exposerait à des arrestations, des interrogatoires voire même à des poursuites judiciaires.
Une source bien informée a indiqué que les chefs historiques du parti dissous se sont réunis, dans une maison à Alger, au moins trois fois collectivement et plusieurs fois en bilatérales. La même source a indiqué à El Khabar que des sympathisants, depuis la création du FIS, ont assisté à ces rencontres et sont venus de toutes les régions du pays, répondant aux invitations émises par plusieurs personnalités qui avaient dirigé le parti avant que le pays ne rentre dans le spectre du terrorisme.
Selon la même source, les rencontres ont tourné autour d’un seul sujet à savoir la révision de la Constitution et son résultat évident qui est la candidature du Président de la République à un troisième mandat.
La source a rapporté de l’un des chefs du FIS, dans l’une des réunions, que les autorités « ont justifié la dissolution du FIS par la volonté de tuer l’alternance au pouvoir si jamais il y arrive, et ce dont avaient peur les autorités, Bouteflika le fera après qu’il ait modifié la constitution ».
Le groupe du FIS a insisté à tenir ses rencontres loin des regards et de l’écoute des services de sécurité, par peur d’être exposé à des intimidations. Donc Ali Benhadj et ceux qu’il a rencontré savent qu’une réunion au nom d’un parti qui, juridiquement, n’existe pas, les exposerait à des arrestations, des interrogatoires voire même à des poursuites judiciaires.
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