Le directeur général de l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, Abdelmalek Sayeh, a indiqué, lundi à Alger, que 22.000 personnes sont condamnées, chaque année, pour des affaires liées à la drogue.
Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion du réseau euroméditerranéen de coopération en matière de lutte contre la drogue, M. Sayeh a précisé que le nombre de personnes condamnées par la justice pour des activités liées à la drogue atteint chaque année en Algérie près de 22.000 dont des toxicomanes et des dealers, contre 17.000 toxicomanes et 5.000 dealers en 2007. 10% environ des toxicomanes sont âgés entre 10 et 15 ans et 80% sont âgés de 16 à 35ans, a-t-il affirmé.
S’agissant des mécanismes de prise en charge et de traitement des toxicomanes, M. Sayeh a souligné qu’une enveloppe de 3 milliards de dinars a été dégagée pour réaliser des centres à cet effet, précisant que ces centres seront achevés durant l’année 2009. Le même responsable a affirmé que sa structure s’est chargée de la formation de 158 médecins, psychologues et psychiatres pour encadrer et traiter les personnes en difficulté dans ces centres.
Le Financier
Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion du réseau euroméditerranéen de coopération en matière de lutte contre la drogue, M. Sayeh a précisé que le nombre de personnes condamnées par la justice pour des activités liées à la drogue atteint chaque année en Algérie près de 22.000 dont des toxicomanes et des dealers, contre 17.000 toxicomanes et 5.000 dealers en 2007. 10% environ des toxicomanes sont âgés entre 10 et 15 ans et 80% sont âgés de 16 à 35ans, a-t-il affirmé.
S’agissant des mécanismes de prise en charge et de traitement des toxicomanes, M. Sayeh a souligné qu’une enveloppe de 3 milliards de dinars a été dégagée pour réaliser des centres à cet effet, précisant que ces centres seront achevés durant l’année 2009. Le même responsable a affirmé que sa structure s’est chargée de la formation de 158 médecins, psychologues et psychiatres pour encadrer et traiter les personnes en difficulté dans ces centres.
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