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Affaire Hasseni-Mecili : Un arrangement politique est exclu

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  • Affaire Hasseni-Mecili : Un arrangement politique est exclu

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    Le Quai d’Orsay a fait savoir qu'un arrangement politique dans l'affaire du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, est impossible à envisager. “Nous comprenons l’importance de ce sujet mais il s’agit d’une procédure judiciaire sur laquelle le pouvoir exécutif n’a pas de prise”, a précisé le porte-parole Eric Chevallier lors d’un point de presse. Il répondait au ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui avait affirmé, la veille, que "la France est en train de retenir en otage un des meilleurs diplomates algériens depuis 4 mois, sous prétexte qu’il est ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire il y a une confusion de personnes.”

    Le diplomate algérien, Mohamed Ziane Hasseni, présumé complice de l’assassinat de Me Ali Mecili, ancien bras droit de Hocine Aït Ahmed et fondateur du journal Libre Algérie, est retenu sous contrôle judiciaire par la justice française.
    Le juge Baudoin Thouvenot, en charge du dossier d’enquête, devrait rendre son verdict avant la fin de l'année.

    F.D. lematindz

  • #2
    [IMG]http://www.**************/files.php?file=mecili_680072976.jpg[/IMG]
    Bientôt la fin ? L’affaire du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, assigné à résidence et mis sous contrôle judiciaire en France, semble, en tout cas, entrer dans le vif du sujet avec la convocation comme témoins des anciens officiers du DRS algérien, le colonel Mohamed Samraoui et le capitaine Hichem Abboud. Les deux hommes, selon La Tribune, ont été convoqués par le juge Baudoin Thouvenot, en charge du dossier d’enquête, avec obligation de se présenter devant lui à la mi-décembre.
    La date exacte serait, en fait, le 16 décembre.
    En cas d’absence, le magistrat aurait recours à des mandats d’amener à l’encontre de ces deux témoins qui résident respectivement en Allemagne et en France.
    Depuis l’ouverture de l’enquête, l’ex-colonel Mohamed Samraoui, haut cadre du contre-espionnage en avril 1987, date de l’assassinat de l’avocat français André Ali Mécili, a affirmé au juge Baudoin Thouvenot, devant des journalistes français aussi, que Mohamed Ziane Hasseni, directeur du protocole au ministère des Affaires étrangères algérien, serait bien Rachid Ziane Hassani, ancien capitaine de la DGPS et présumé commanditaire de l’assassinat de l’ancien bras droit de Hocine Aït Ahmed, leader du FFS. Quant à Hichem Abboud, l’ex-chef de cabinet du général Mohamed Betchine à la DGPS, devenue DRS en 1990, il a toujours défendu la thèse de l’homonymie. Sa conviction personnelle est fondée sur sa connaissance personnelle du témoin Mohamed Samraoui, du mis en examen Mohamed Ziane Hasseni et du présumé commanditaire de l’assassinat d’André Ali Mécili, l’ex-capitaine Rachid Ziane Hassani.
    Ces témoignages tant souhaités par la défense permettraient au juge Baudoin Thouvenot de se forger une nouvelle conviction, indépendamment des résultats de l’expertise graphologique et du test ADN, auxquels s’est récemment plié Mohamed Ziane Hasseni. S’agissant de l’examen graphologique, les experts ont dû probablement comparer l’écriture de Mohamed Ziane Hasseni et la signature du capitaine Rachid Ziane Hassani, apposée en bas de l’ordre de mission récupéré sur l’assassin présumé d’André Ali Mécili, Abdelmalek Amellou, et dont un fac-similé avait été publié à l’époque par la presse française.

    R.T. (Sce : la Tribune)

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