En dépit de toutes les politiques suivies jusque-là, dont celle de la mise en place, en 2005, d’un plan de circulation, la capitale vit toujours au rythme des embouteillages les plus épouvantables qu’elle ait jamais connus.
De l’aveu même du ministre des Transports partant, Mohamed Maghlaoui, rappelons-le, ce plan n’a pas atteint les objectifs escomptés. En effet, l’organisation de la circulation routière fait toujours défaut à Alger. Les embouteillages font partie du décor quotidien de la capitale.
L’augmentation du parc automobile, en raison notamment du dispositif du crédit bancaire, a grandement contribué à la densification du trafic routier. Le parc automobile national est estimé à environ 3,5 millions d’unités, toutes catégories confondues. Ceci outre la multitude de projets engagés par les pouvoirs publics qui tardent à voir le jour. Comment y remédier alors à ce casse-tête chinois de la circulation ? Pour répondre à cette question, un nouveau plan de circulation pour la capitale vient d’être finalisé et sera dévoilé aujourd’hui au ministère des Transports. Basé sur une étude réalisée par des experts canadiens, a révélé récemment le ministre de tutelle Amar Tou, ce plan ambitionne d’apporter des solutions efficaces pour fluidifier le trafic routier dans les villes qui souffrent de congestion. Les nouvelles infrastructures de transport déjà opérationnelles et celles qui vont être livrées prochainement ne seront que d’un grand apport à ce nouveau plan.
Il convient de citer le moyens de transport ferroviaire modernes, dont les rames automotrices qui devront être opérationnelles dès le mois prochain (janvier), la livraison du métro en été 2009, le tramway, la réalisation et la restauration des téléphériques, la réalisation de trémies, mais aussi et surtout la réalisation de parkings, dont quelque 6 parkings urbains seront bientôt réalisés à Alger, a affirmé dernièrement le wali d’Alger.
Il est en effet insensé d’interdire aux automobilistes de stationner dans les artères de la ville, si par ailleurs on ne met pas à leur disposition des parkings.
On peut deviner également que le nouveau plan de circulation qui sera rendu public aujourd’hui devra comprendre, entre autres, la généralisation des voies à sens unique, la multiplication des feux tricolores et, évidemment, la renforcement des agents d’ordre de la voie publique pour, notamment, la gestion des carrefours et autres points noirs.
Malgré l’impatience de la population, le règlement du problème de la circulation ne saurait être traité par improvisation. Les études faites cette fois-ci par les Canadiens, pour l’élaboration du nouveau plan de circulation dans la ville d’Alger, parviendront-elles à nous faire oublier l’échec du premier plan élaboré en 2005 par l’agence du plan de la ville ?
Le Jeune Indépendant
De l’aveu même du ministre des Transports partant, Mohamed Maghlaoui, rappelons-le, ce plan n’a pas atteint les objectifs escomptés. En effet, l’organisation de la circulation routière fait toujours défaut à Alger. Les embouteillages font partie du décor quotidien de la capitale.
L’augmentation du parc automobile, en raison notamment du dispositif du crédit bancaire, a grandement contribué à la densification du trafic routier. Le parc automobile national est estimé à environ 3,5 millions d’unités, toutes catégories confondues. Ceci outre la multitude de projets engagés par les pouvoirs publics qui tardent à voir le jour. Comment y remédier alors à ce casse-tête chinois de la circulation ? Pour répondre à cette question, un nouveau plan de circulation pour la capitale vient d’être finalisé et sera dévoilé aujourd’hui au ministère des Transports. Basé sur une étude réalisée par des experts canadiens, a révélé récemment le ministre de tutelle Amar Tou, ce plan ambitionne d’apporter des solutions efficaces pour fluidifier le trafic routier dans les villes qui souffrent de congestion. Les nouvelles infrastructures de transport déjà opérationnelles et celles qui vont être livrées prochainement ne seront que d’un grand apport à ce nouveau plan.
Il convient de citer le moyens de transport ferroviaire modernes, dont les rames automotrices qui devront être opérationnelles dès le mois prochain (janvier), la livraison du métro en été 2009, le tramway, la réalisation et la restauration des téléphériques, la réalisation de trémies, mais aussi et surtout la réalisation de parkings, dont quelque 6 parkings urbains seront bientôt réalisés à Alger, a affirmé dernièrement le wali d’Alger.
Il est en effet insensé d’interdire aux automobilistes de stationner dans les artères de la ville, si par ailleurs on ne met pas à leur disposition des parkings.
On peut deviner également que le nouveau plan de circulation qui sera rendu public aujourd’hui devra comprendre, entre autres, la généralisation des voies à sens unique, la multiplication des feux tricolores et, évidemment, la renforcement des agents d’ordre de la voie publique pour, notamment, la gestion des carrefours et autres points noirs.
Malgré l’impatience de la population, le règlement du problème de la circulation ne saurait être traité par improvisation. Les études faites cette fois-ci par les Canadiens, pour l’élaboration du nouveau plan de circulation dans la ville d’Alger, parviendront-elles à nous faire oublier l’échec du premier plan élaboré en 2005 par l’agence du plan de la ville ?
Le Jeune Indépendant
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