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Jazz et Salsa animent les soirées d’Alger
Festival Assimajazz et concerts du groupe vénézuelien La «Redonda»
3 Décembre 2008
Le Midi Libre
3 Décembre 2008
Parallèlement au festival Alger Jazz meeting qui a débuté hier à l’Oref, La «Redonda» , groupe de salsa du Venezuela se produira ce soir et demain à l’auditorium de la Radio puis au théâtre de verdure Laâdi Flici.
Ambiances bouillantes contre le froid….
Après le démarrage de Assima Jazz qui, en déclinant les variantes de la célèbre musique afro-américaine, se propose de répondre aux goûts les plus divers, une autre musique devenue planétaire va, dès ce soir enflammer le public. Il s’agit de la Salsa venue cette fois du pays de Simon Bolivar et Hugo Chavez. Les 13 éléments du groupe La «Redonda» sauront, à n’en pas douter, retransmettre les couleurs chatoyantes de la musique venue directement de Caracas, considérée comme capitale du genre. En Algérie pour la première fois, les artistes, Alesis E Acosta, Freddy E Gutierrez, Alejandro E Huizi Naranjo, Andres G Sequera Portas, Carlos martinez Pérez et leurs compagnons vont faire grimper le mercure dans la salle de concert de l’Etablissement Arts et Culture d’Alger. La salsa, sauce en espagnol, est devenue un mot générique qui désigne à la fois un genre musical, une danse mais également la famille musicale de certains styles sud-américains. Comme la Colombie, le Brésil, Cuba et l’Argentine, le Venezuela a une musique très riche pétrie d’influences caraïbes, africaines, hispaniques et de tant d’autres fragrances locales ou universelles. Si la Salsa et le Reggaeton sont des styles très populaires, il en existe des dizaines d’autres qui se développent le plus souvent dans l’underground et ont besoin de s’exiler pour acquérir une dimension internationale. Il existe également des musiques régionales très typiques. Notamment : le joropo pour la région de Los Llanos, le gaita pour la région de Maracaibo, ainsi que le golpe tocuyano et le tamunangue pour l’État de Lara. La culture dite autochtone est présente surtout à travers l’utilisation de certains instruments dont le cameo, un tambour, et le batuto, une trompette. Les genres galerón, corrido et guaracha sont originaires d’Espagne. Les autres musiques latines connaissent beaucoup de succès au Venezuela, comme le vallenato colombien, le reggaetón portoricain, la salsa, le merengue, etc. Par ailleurs, le hip-hop a séduit le cœur des jeunes Vénézueliens des quartiers populaires comme partout à travers le monde. Concernant l’autre rendez-vous nocturne des amoureux du jazz, le public se régalera ce soir des performances de deux groupes français qui se produiront à la salle Ibn-Zeydoun. Le quartet Yapa aux influences orientales en première partie et le célèbre bassiste électrique et acoustique, compositeur et pédagogue Frédéric Monino en deuxième partie sont de taille à répondre aux attentes les plus exigeantes.
Après le démarrage de Assima Jazz qui, en déclinant les variantes de la célèbre musique afro-américaine, se propose de répondre aux goûts les plus divers, une autre musique devenue planétaire va, dès ce soir enflammer le public. Il s’agit de la Salsa venue cette fois du pays de Simon Bolivar et Hugo Chavez. Les 13 éléments du groupe La «Redonda» sauront, à n’en pas douter, retransmettre les couleurs chatoyantes de la musique venue directement de Caracas, considérée comme capitale du genre. En Algérie pour la première fois, les artistes, Alesis E Acosta, Freddy E Gutierrez, Alejandro E Huizi Naranjo, Andres G Sequera Portas, Carlos martinez Pérez et leurs compagnons vont faire grimper le mercure dans la salle de concert de l’Etablissement Arts et Culture d’Alger. La salsa, sauce en espagnol, est devenue un mot générique qui désigne à la fois un genre musical, une danse mais également la famille musicale de certains styles sud-américains. Comme la Colombie, le Brésil, Cuba et l’Argentine, le Venezuela a une musique très riche pétrie d’influences caraïbes, africaines, hispaniques et de tant d’autres fragrances locales ou universelles. Si la Salsa et le Reggaeton sont des styles très populaires, il en existe des dizaines d’autres qui se développent le plus souvent dans l’underground et ont besoin de s’exiler pour acquérir une dimension internationale. Il existe également des musiques régionales très typiques. Notamment : le joropo pour la région de Los Llanos, le gaita pour la région de Maracaibo, ainsi que le golpe tocuyano et le tamunangue pour l’État de Lara. La culture dite autochtone est présente surtout à travers l’utilisation de certains instruments dont le cameo, un tambour, et le batuto, une trompette. Les genres galerón, corrido et guaracha sont originaires d’Espagne. Les autres musiques latines connaissent beaucoup de succès au Venezuela, comme le vallenato colombien, le reggaetón portoricain, la salsa, le merengue, etc. Par ailleurs, le hip-hop a séduit le cœur des jeunes Vénézueliens des quartiers populaires comme partout à travers le monde. Concernant l’autre rendez-vous nocturne des amoureux du jazz, le public se régalera ce soir des performances de deux groupes français qui se produiront à la salle Ibn-Zeydoun. Le quartet Yapa aux influences orientales en première partie et le célèbre bassiste électrique et acoustique, compositeur et pédagogue Frédéric Monino en deuxième partie sont de taille à répondre aux attentes les plus exigeantes.
Le Midi Libre
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