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Affaire Mécili : une «tentative de retour de la justice coloniale», selon Ksentini

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  • Affaire Mécili : une «tentative de retour de la justice coloniale», selon Ksentini

    Affaire Mécili : une «tentative de retour de la justice coloniale», selon Farouk Ksentini


    Par AFP , tsa

    Le maintien du diplomate Mohamed Ziane Hasseni sous contrôle judiciaire en France est une «atteinte grave» aux droits de l'homme, a affirmé jeudi à Alger le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme (CNCPPDH), Farouk Ksentini. M. Ksentini a déclaré que le maintien de M. Hasseni sous contrôle judiciaire "n'est pas justifié du point de vue du droit et constitue une atteinte grave aux droits de l'homme", selon l'agence APS. Il s'exprimait en marge d'une rencontre dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme.

    "Tout se fait comme si Hasseni ne bénéficiera pas d'un procès équitable", a dit Me Ksentini. Il a qualifié la manière dont est gérée cette affaire de "tentative de retour de la justice coloniale". "On juge au faciès ou sur un homonyme. La justice ne peut être rendue de cette manière", a-t-il ajouté. Me Ksentini a indiqué que "Hasseni a prouvé qu'il ne pouvait pas être inculpé dans cette affaire et qu'il s'agit, dans les faits, d'une question d'homonymie". "Il a prouvé qu'il ne pouvait pas être en France au moment du crime et ce qu'il a avancé est largement suffisant pour prouver son innocence", a-t-il dit. "En tant que commission qui s'occupe des droits de l'homme, nous ne cesserons pas de marquer notre désapprobation", a-t-il affirmé.

    Le 26 novembre, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci avait affirmé que le diplomate Mohammed Ziane Hasseni est "retenu en otage" depuis "maintenant quatre mois" par la France. Deux jours après, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Eric Chevallier a déclaré que la situation du diplomate Mohamed Ziane Hasseni est une "procédure judiciaire sur laquelle le pouvoir exécutif n'a pas de prise".

  • #2
    Le maintien du diplomate Mohamed Ziane Hasseni sous contrôle judiciaire en France est une «atteinte grave» aux droits de l'homme, a affirmé jeudi à Alger le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme (CNCPPDH), Farouk Ksentini. M
    Est-ce le même Ksentini complice du viol constitutionnel qui a le culot ici de donner des leçons de droit et de justice à la France ?

    Tfouh !

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