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Les perspectives énergétiques de l’Algérie ont été présenté par Mr Meziane, le PDG de Sonatrach à Johannesburg lors du 18 ème congrés Mondial du Pétrole .
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Au cours de son intervention, lors d'une session plénière consacrée à la question de l'énergie en Afrique où les patrons des firmes pétrolières de la Libye, du Nigeria, de l'Angola et de l'Afrique du Sud se sont également exprimés sur leurs propres perspectives énergétiques, M. Meziane a concentré son exposé sur les ambitions de la Sonatrach à la faveur, notamment de l'entrée en application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures.
Le représentant algérien a affirmé que la compagnie nationale des hydrocarbures aborde actuellement une nouvelle phase, celle de son adaptation à l'économie de marché et au processus de la mondialisation. “Nous avons des atouts certains pour réussir cette mutation et assurer la pérennité de Sonatrach qui est devenue maintenant un grand groupe pétrolier et gazier, intègre d'amont en aval et présent à l'étranger dans une dizaine de pays”, a-t-il affirmé. Pour lui, la Sonatrach a la volonté de “demeurer parmi les leaders mondiaux de l'énergie”.
Suivant de très près l'évolution des marchés et aspirant à consolider davantage les positions qu'elle détient, l'Algérie, a-t-il précisé, projette de produire 2 millions de barils de pétrole en 2010 et prévoit de porter le niveau de ses exportations de gaz naturel et en GNL à 85 milliards de m3 et à 100 milliards de m3 en 2015. Pour cela, “nous renforçons la présence de Sonatrach en Algérie où elle reste leader, et nous nous employons à développer sa présence en international en tant qu'acteur énergétique à part entière”, a dit M. Meziane selon lequel cela est une option d'avenir déterminée par les tendances d'évolution des compagnies pétrolières dans le monde. Dans le domaine de l'électricité, il a insisté sur le fait que l'Algérie étant située à quelques encablures du marché européen, on ne peut se priverd'imaginer l'interconnexion qui va permettre la boucle qui sera réalisée grâce, notamment aux deux câbles sous-marins que l'Algérie souhaite voir se réaliser parallèlement aux deux gazoducs le Medgaz et le Ghalsi, qui vont relier le pays directement à l'Europe par l'Espagne à l'Ouest, et l’Italie par l'Est.
La nouvelle loi relative aux hydrocarbures en Algérie a été également abordée dans ses grandes lignes.
Selon le premier responsable de Sonatrach, cette loi va renforcer l'ouverture du domaine minier et les activités de transformation, de transport et de distribution a l'investissement privé. Il a ainsi considéré que les nouveaux modes de gestion qui introduisent plus de transparence et qui réduisent la bureaucratie vont donner plus d'incitation aux investisseurs pour saisir les grandes opportunités qui leur sont offertes.
La Sonatrach, selon lui, compte exploiter de façon optimale toute l'énergie et tous les moyens qui deviendront disponibles à partir du moment où “elle n'aura plus à exercer les missions de puissance publique” dont lui faisait obligation l'ancienne législation sur les hydrocarbures. “Nous serons désormais un partenaire recherché et non plus imposé”, a souligné M. Meziane.
Source: APS
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Au cours de son intervention, lors d'une session plénière consacrée à la question de l'énergie en Afrique où les patrons des firmes pétrolières de la Libye, du Nigeria, de l'Angola et de l'Afrique du Sud se sont également exprimés sur leurs propres perspectives énergétiques, M. Meziane a concentré son exposé sur les ambitions de la Sonatrach à la faveur, notamment de l'entrée en application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures.
Le représentant algérien a affirmé que la compagnie nationale des hydrocarbures aborde actuellement une nouvelle phase, celle de son adaptation à l'économie de marché et au processus de la mondialisation. “Nous avons des atouts certains pour réussir cette mutation et assurer la pérennité de Sonatrach qui est devenue maintenant un grand groupe pétrolier et gazier, intègre d'amont en aval et présent à l'étranger dans une dizaine de pays”, a-t-il affirmé. Pour lui, la Sonatrach a la volonté de “demeurer parmi les leaders mondiaux de l'énergie”.
Suivant de très près l'évolution des marchés et aspirant à consolider davantage les positions qu'elle détient, l'Algérie, a-t-il précisé, projette de produire 2 millions de barils de pétrole en 2010 et prévoit de porter le niveau de ses exportations de gaz naturel et en GNL à 85 milliards de m3 et à 100 milliards de m3 en 2015. Pour cela, “nous renforçons la présence de Sonatrach en Algérie où elle reste leader, et nous nous employons à développer sa présence en international en tant qu'acteur énergétique à part entière”, a dit M. Meziane selon lequel cela est une option d'avenir déterminée par les tendances d'évolution des compagnies pétrolières dans le monde. Dans le domaine de l'électricité, il a insisté sur le fait que l'Algérie étant située à quelques encablures du marché européen, on ne peut se priverd'imaginer l'interconnexion qui va permettre la boucle qui sera réalisée grâce, notamment aux deux câbles sous-marins que l'Algérie souhaite voir se réaliser parallèlement aux deux gazoducs le Medgaz et le Ghalsi, qui vont relier le pays directement à l'Europe par l'Espagne à l'Ouest, et l’Italie par l'Est.
La nouvelle loi relative aux hydrocarbures en Algérie a été également abordée dans ses grandes lignes.
Selon le premier responsable de Sonatrach, cette loi va renforcer l'ouverture du domaine minier et les activités de transformation, de transport et de distribution a l'investissement privé. Il a ainsi considéré que les nouveaux modes de gestion qui introduisent plus de transparence et qui réduisent la bureaucratie vont donner plus d'incitation aux investisseurs pour saisir les grandes opportunités qui leur sont offertes.
La Sonatrach, selon lui, compte exploiter de façon optimale toute l'énergie et tous les moyens qui deviendront disponibles à partir du moment où “elle n'aura plus à exercer les missions de puissance publique” dont lui faisait obligation l'ancienne législation sur les hydrocarbures. “Nous serons désormais un partenaire recherché et non plus imposé”, a souligné M. Meziane.
Source: APS
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