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Un réseau terroriste démantelé à Tizi-Ouzou

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  • Un réseau terroriste démantelé à Tizi-Ouzou

    Nouveau succès des services de sécurité dans leur lutte contre les groupes terroristes en Kabylie. Hier, mardi deuxième jour de l'Aïd, trois terroristes présumés ont été arrêtés dans la région de Fréha, près de Tizi-Ouzou, a appris toutsurlalgérie (****************) de sources sécuritaires locales. Les services de sécurité ont agi sur la base de renseignements fournis par un terroriste capturé vivant au cours d'une autre opération menée le 1er décembre dernier près Tizi-Ouzou et au cours de laquelle quatre autres islamistes armés ont été tués.

    Les trois terroristes présumés interpellés mardi sont natifs de la de l'est de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ils sont soupçonnés d'avoir apporté un soutien logistique et fourni des renseignements aux groupes armés terroristes de l'ex-GSPC. Selon les mêmes sources de nouvelles arrestations pourraient intervenir dans les prochains jours dans le cadre de l'enquête menée actuellement par les services de sécurité : le réseau en question serait constitué de dix individus soupçonnés de soutien au terrorisme.

    TSA

  • #2
    au diable les terro

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    • #3
      qui veut on convaincre? a force de repeter le meme khorti.

      Il n existe qu un terroriste depuis le 19 mars 1962: c est l etat ALGERIEN.

      desinformation "a la DRS". Pourquoi l etat algerien parles d arreter des terroristes alors qu il en a libere' 2500 terroristes cela fait a peine 2 ans?

      ah oui, l info s adresse aux moutons.
      Et c est pas des moutons qui ecrivent ou dibvulgue une telle information.

      M-n-M
      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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      • #4
        un an sans attentat ......shuuuuuuuuuuuuuuut

        DEPUIS L’APPARITION DU TERRORISME Alger : un an sans attentat

        Le dernier attentat terroriste perpétré dans la capitale remonte au 11 décembre 2007. Il s’agit du double attentat à la voiture piégée ayant ciblé les sièges de l’ONU et du Conseil constitutionnel sis, respectivement, à Hydra et à El-Biar. Quelques mois plus tard, le département de l’intérieur annonce le démantèlement du réseau du GSPC activant dans l’Algérois. Un an après, jour pour jour, aucun acte terroriste n’a été enregistré au niveau de la capitale. Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Jamais depuis le début de la violence terroriste, la capitale n’a enregistré une aussi longue «accalmie» sécuritaire. Selon des spécialistes de la question terroriste, cet état de fait est «la conséquence de la nouvelle stratégie de lutte anti-terroriste mise sur pied par les pouvoirs publics au lendemain des attentats du 11 décembre 2007». Une idée confortée par une source sécuritaire, qui a indiqué pour sa part que «la contre-attaque contre les réseaux du GSPC a été menée au niveau des maquis où sont signalés les terroristes». «L’offensive menée par les forces de l’ANP au printemps 2008, ajoutée au démantèlement de tous les réseaux dormants activant dans l’axe Alger-Boumerdès- Tizi-Ouzou n’a pas tardé à porter ses premiers fruits». Résultats : deux mois après les attentats perpétrés contre les sièges de l’ONU et du Conseil constitutionnel, le département de l’intérieur annonce la mise hors d’état de nuire de 18 terroristes, tous des candidats kamikazes potentiels et membres de la cellule du GSPC activant au niveau de la capitale. Le 28 janvier 2008, Bouzegza Abderahmane, émir de la katiba El- Farouk, est éliminé au cours d’une opération menée par l’armée dans la wilaya de Boumerdès. Trois mois après, soit en avril 2008, le coordinateur du GSPC dans la région du centre, en l’occurrence Samir Saïoud alias Mossaâb, tombe lui aussi à Boumerdès, plus exactement à Si- Mustapha, un des fiefs de la zone 2 du GSPC. Selon notre source, «la nouvelle stratégie de lutte anti-terroriste mise en place depuis une année avait pour principal objectif de frapper la tête du commandement terroriste et couper ainsi toute forme de contact et de liaison avec les autre structures opérant dans les centres urbains». D’ailleurs, à ce propos, il est important de rappeler que le GSPC s’est doté, en 2006, d’un nouveau commandement pour Alger, qui, auparavant, dépendait organiquement de la zone 2 et était rattaché à Boumerdès et Tizi-Ouzou. Ce commandement disposait, à cet effet, d’une gestion autonome qui coordonnait ses opérations avec la direction, basée dans les maquis de Kabylie. En effet, les attaques successives de Beaulieu (El-Harrach), puis de Réghaïa et Dergana, à l’est de la capitale, fin octobre 2006, puis celle de Bouchaoui, en décembre 2006, du Palais du gouvernement et Bab-Ezzouar, le 11 avril dernier, et enfin celles des sièges de l’ONU et du Conseil constitutionnel, le 11 décembre 2007, démontrent que depuis la collusion définitive GSPC-Al Qaïda, une nouvelle stratégie pour Alger venait de prendre forme. Selon les spécialistes de la question sécuritaire, la stratégie fixée par le GSPC pour la capitale consistait en la recherche d’un double impact, politique et médiatique. Pour les responsables en charge de la sécurité, l’enjeu était de taille. Il fallait agir vite et frapper là où «l’ennemi ne s’attendait guère», d’autant plus que les attentats ont été commis au cœur de la capitale, en plein jour, et ciblant spécialement des institutions de l’Etat. Question : cette «longue» accalmie signifie- t-elle que les pouvoirs publics ont définitivement réussi à épargner la capitale de la terreur des attentats kamikazes ? A. B.

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        • #5
          Carlos

          Tant mieux pour les algérois, je leur souhaite que la sécurité s'installe durablement....
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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