Tweet
L’ouverture de l’Institut de recherche d’Alger pour le développement durable de l’Afrique (Iradda) ne devrait plus tarder.
En effet, la visite à Alger de Konrad Osterwalder, sous-secrétaire général des Nations unies et recteur de l’université des Nations unies, jusqu’au samedi 13 décembre, va accélérer les choses. Pour rappel, la création de cet institut avait officiellement été validée en juin dernier à Paris, au siège de l’Unesco, par Hans van Ginkel, à l’époque recteur de l’université des Nations unies, et Mohamed Seghir Babès, président du Conseil national économique et social et initiateur de la demande.
« Le choix d’Alger pour l’institut n’est pas étonnant, analyse un spécialiste des Nations unies, car, dans le contexte africain, le pays bénéficie d’une certaine aura et a, par ailleurs, beaucoup fait pour les Objectifs du Millénaire pour le développement, que ce soit en matière de logement, d’alphabétisation ou d’accès à l’électricité ou à l’eau. »
Ce centre aura la même vocation (mais sans doute sans le volet formation) que la quinzaine d’instituts qui existent déjà au Venezuela, en Allemagne ou encore en Islande, à savoir appuyer les projets de développement durable sur le continent en matière d’environnement, d’économie… via un réseau de chercheurs algériens et africains.
Par Mélanie Matarese
El-Watan
En effet, la visite à Alger de Konrad Osterwalder, sous-secrétaire général des Nations unies et recteur de l’université des Nations unies, jusqu’au samedi 13 décembre, va accélérer les choses. Pour rappel, la création de cet institut avait officiellement été validée en juin dernier à Paris, au siège de l’Unesco, par Hans van Ginkel, à l’époque recteur de l’université des Nations unies, et Mohamed Seghir Babès, président du Conseil national économique et social et initiateur de la demande.
« Le choix d’Alger pour l’institut n’est pas étonnant, analyse un spécialiste des Nations unies, car, dans le contexte africain, le pays bénéficie d’une certaine aura et a, par ailleurs, beaucoup fait pour les Objectifs du Millénaire pour le développement, que ce soit en matière de logement, d’alphabétisation ou d’accès à l’électricité ou à l’eau. »
Ce centre aura la même vocation (mais sans doute sans le volet formation) que la quinzaine d’instituts qui existent déjà au Venezuela, en Allemagne ou encore en Islande, à savoir appuyer les projets de développement durable sur le continent en matière d’environnement, d’économie… via un réseau de chercheurs algériens et africains.
Par Mélanie Matarese
El-Watan