La Russie accélère son rapprochement avec l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). La 151e conférence des ministres du cartel qui se tiendra à Oran le17 décembre sera marquée par la participation d'une très forte délégation russe. Une source proche du président de l'Opep Chakib Khelil a indiqué à tousurlalgerie (www.****************) que cette délégation sera conduite par le premier ministre russe Vladimir Poutine. A Oran, M. Poutine devrait avoir des entretiens avec le président Bouteflika, également attendu sur place pour ce sommet (lire notre information du jour).
Outre le premier ministre, la délégation russe comprend une vingtaine de responsables de haut rang dont le vice-premier ministre, le ministre en charge du secteur de l'énergie et l'ensemble des patrons et dirigeants des entreprises russes du secteur du pétrole et du gaz à l'instar de Gazprom, Loukoil, etc.
La Russie, l'un des plus grand pays producteur de pétrole, n'exclut pas d'adhérer à l'Opep et de réduire sa production de brut, pour stabiliser le marché pétrolier, durement affecté par la crise économique mondiale et la baisse de la consommation de pétrole aux Etats-Unis.
« Nous devons défendre (nos intérêts), c'est notre source de revenus qu'il s'agisse du pétrole et du gaz », a déclaré jeudi le président russe, Dmitri Medvedev. «Nous ne devons nous laisser guider par aucun critère abstrait ni par des recommandations des organisations internationales... Ce sont nos intérêts nationaux, », a-t-il ajouté.
Le président en exercice de l'Opep, Chakib Khelil, a invité officiellement la Russie à devenir membre de l'Opep et à réduire sa production de brut. Le cartel envisage de réduire considérablement sa production de pétrole lors de sa réunion le 17 décembre à Oran. L'économie russe est dépendante en partie des recettes pétrolières et gazières.
TSA
Outre le premier ministre, la délégation russe comprend une vingtaine de responsables de haut rang dont le vice-premier ministre, le ministre en charge du secteur de l'énergie et l'ensemble des patrons et dirigeants des entreprises russes du secteur du pétrole et du gaz à l'instar de Gazprom, Loukoil, etc.
La Russie, l'un des plus grand pays producteur de pétrole, n'exclut pas d'adhérer à l'Opep et de réduire sa production de brut, pour stabiliser le marché pétrolier, durement affecté par la crise économique mondiale et la baisse de la consommation de pétrole aux Etats-Unis.
« Nous devons défendre (nos intérêts), c'est notre source de revenus qu'il s'agisse du pétrole et du gaz », a déclaré jeudi le président russe, Dmitri Medvedev. «Nous ne devons nous laisser guider par aucun critère abstrait ni par des recommandations des organisations internationales... Ce sont nos intérêts nationaux, », a-t-il ajouté.
Le président en exercice de l'Opep, Chakib Khelil, a invité officiellement la Russie à devenir membre de l'Opep et à réduire sa production de brut. Le cartel envisage de réduire considérablement sa production de pétrole lors de sa réunion le 17 décembre à Oran. L'économie russe est dépendante en partie des recettes pétrolières et gazières.
TSA
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