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Yasmina Khadra : "Il n'existe pas d'opposition à Bouteflika"

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  • Yasmina Khadra : "Il n'existe pas d'opposition à Bouteflika"

    L’écrivain et directeur du Centre Culturel Algérien à Paris, Yasmina Khadra, s’exprime, dans l’entretien qui suit, de son dernier roman, de la censure en Algérie et du troisième mandat de Bouteflika

    1- Ce que le jour doit à la nuit raconte l’histoire d’un algérien vivant parmi les français dans une Algérie colonisée. Pourquoi ce choix, et quel message vouliez-vous passer à travers ce livre ?


    Yasmina Khadra : Il n’y a pas de message, mais une nécessité littéraire de raconter l’Algérie coloniale en essayant de replacer chaque chose dans son contexte. L’histoire de l’Algérie est fascinante. Il me suffit d’ouvrir n’importe quel livre pour m’y diluer, traverser les générations et revivre des époques instructives, denses, chargées de repères aujourd’hui disparus ou travestis. Il me tenait à cœur de revisiter mon pays, d’essayer de le voir sous un angle personnel afin de mieux me l’approprier. Kateb Yacine, Mohammed Dib, Mouloud Mammeri, Feraoun, Mechakra, Moufdi Zakaria, Al Khalifa, pour ne citer que ces monuments, m’ont largement initié. Camus, Gide, chacun avec son talent, parfois avec ses maladresses et ses approches révoltantes de morgue et de raccourcis (Guy de Maupassant, entre autres), m’ont interpellé. Je suis la somme de tous les écrivains qui m’ont nourri, la synthèse des livres qui m’ont éveillé aux êtres et aux choses. J’ai voulu, à mon tour, apporter ma pierre à l’édifice. Une pierre parmi d’autres. J’estime que notre pays reste encore, et encore à découvrir.

    2- Le roman est une belle histoire d’amour, qui connaît des déchirements, mais qui finit par la réconciliation et le pardon. Aujourd’hui le passé reste toujours vif, et des tensions entre les deux rives de la méditerranée existent encore. Etes-vous optimistes pour l’avenir, sachant que la France sous Sarkozy, a permis à un certains moment aux partisans de l’Algérie française de tenir des propos blessants notamment à travers le fameux article 23, abrogé, qui glorifiait la colonisation française, particulièrement en Afrique du Nord ?

    YK : Politiquement, il reste beaucoup à faire pour que l’Algérie et la France puissent un jour se regarder en face. Les calculs et les haines torpillent l’ensemble des initiatives louables, et les slogans séditieux supplantent parfois les chants et les prières. Bien sûr, l’immaturité d’une certaine élite politicienne, nostalgique et revancharde, fausse les débats, mais les peuples se doivent de dépasser les traumatismes afin de construire, ensemble, des lendemains moins incléments, plus raisonnables et plus justes. Glorifier la colonisation est une grossière manœuvre, une indélicatesse malencontreuse. Par respect pour les morts des deux camps, nous devons plutôt panser les blessures et ranger au placard le chauvinisme et la cocarde qui ne sont, en réalité, que des artifices pour noceurs déphasés.

    3- Votre roman, n’a pas été cité pour les grands prix littéraire en France. Votre vive réaction dans le journal Le Parisien a crée une polémique dans le milieu littéraire parisien. Pensez-vous êtes victime du racisme ?


    YK : Je n’aime pas l’injustice, et je la dénonce partout où je la rencontre. J’ai dit ce que je pense de ces institutions, et c’est tout. Pour qu’un écrivain avance, il faut qu’il tourne la page. En ce qui me concerne, c’est chose faite. Ce qui m’importe est mon lectorat.

    4- « Ce que le jour doit à la nuit » vient de recevoir deux distinctions : il est élu le meilleur roman de l’année 2008 en France et a décroché le Prix du roman France télévision 2008. Cela vous satisfait-il ?

    .
    YK : Je crois qu’une dyslexie bien de chez nous rend la réception de mes propos totalement biaisée. Je n’ai pas parlé de la France, ni de Paris, mais du petit milieu parisien. La France est le pays qui m’a le plus soutenu. De la Médaille d’or de l’Académie française à la Légion d’honneur, du prix des Libraires à ceux des lecteurs, des critiques aux lycéens, jamais aucun pays ne m’a renouvelé avec autant d’enthousiasme sa confiance. Je n’ai jamais réclamé de prix. J’ai eu le courage intellectuel de mettre le doigt sur une absurdité.

    5- Que pensez-vous du dernier salon du Livre d’Alger et de la censure qui a frappé certains écrivains algériens et étrangers. Quelle votre réaction au limogeage d’Amine Zaoui ?


    YK : Le Salon d’Alger se doit de s’ouvrir aux idées, aux débats et aux rencontres plurielles. Il est impératif de le confier aux professionnels, et non aux fonctionnaires. C’est un rendez-vous ambitieux et un territoire de découverte et de conquête. C’est aux journalistes, aux éditeurs et aux Amis du livre qu’échoit la mission de l’organisation à tous les niveaux : conférences, signatures, attributions des prix littéraires, etc. Or, le Salon d’Alger est confié à des fonctionnaires qui, souvent, risquent leur poste à la moindre erreur, d’où ces précautions excessives qui bloquent des livres dans les ports, excluent des auteurs controversés, imposent la censure et fausse l’ambiance festive censée enthousiasmer les foules et les convives. Quant au limogeage d’Amine Zaoui, il rappelle des centaines d’autres limogeages qui s’opèrent dans le monde. J’ignore ce qui s’est passé et n’ai pas d’avis à donner là-dessus. Ce que je sais, c’est qu’Amine Zaoui s’était beaucoup investi dans son travail. Il a apporté un souffle formidable à la BN et lancé des projets titanesques à travers le pays, telles les caravanes du livre, les mille bibliothèques. Il a enrichi le programme de la BN en y conviant des intellectuels et des poètes de grande envergure.

    6- Quand vous êtes arrivé au CCA de Paris, vous l’aviez trouvé moribond. Qu’est-ce que vous avez pu réaliser comment changements depuis vous que dirigez ce centre et quels sont vos projets d’avenir pour cet établissement?


    YK : Je l’ai trouvé à l’image de la mentalité des Algériens : livré à lui-même. Un CCA détesté par les siens, isolé dans sa convalescence, et boudé par ceux-là mêmes qui sont censés lui insuffler de l’audace et de l’engouement : les artistes et les écrivains qui n’arrivent pas à dissocier le Régime de l’Algérie. Cette mentalité a la peau dure. Elle refuse de s’assagir, et c’est dommage. J’essaye de m’appuyer sur quelques bonnes consciences pour faire avancer les choses, et j’y arrive bien. J’ai envoyé 3 universitaires d’Algérie aux USA, et il y en aura d’autres ; je suis en relation avec certaines universités européennes pour provoquer des projets universitaires avec l’Algérie ( tel l’IEP d’Aix-en-Provence ), et j’essaye d’élargir les champs de manœuvre du CCA en me joignant à des projets collectifs et internationaux dans le domaine artistique. Cependant, je reste perplexe quant au support médiatique qui devrait accompagner les efforts consentis. D’éminents artistes viennent exposer au CCA, des conférenciers et des personnes intéressantes y sont invités, et nos médias préfèrent regarder ailleurs. J’ignore s’il s’agit d’un état d’âme, d’une hostilité viscérale pour la chose culturelle ou d’une connivence assassine; dans les deux cas de figure, c’est triste.

    7- que pensez-vous du troisième mandat de Bouteflika ?


    YK : Que c’est un aboutissement naturel. L’opposition étant devenue une rente. Seuls les Islamistes militent concrètement, avec détermination et efficacité. Ils disposent d’une vraie doctrine et s’appuient sur une stratégie réaliste et gérable pour un projet de société clairement défini : un état théocratique. Les autres partis ne sont que des caisses de résonnance durant les élections, et des caisses noires en temps de jachère et des siestes post-digestives.

    Entretien réalisé par Fayçal AnseurSource : www.************.com

  • #2
    J’ignore s’il s’agit d’un état d’âme, d’une hostilité viscérale pour la chose culturelle ou d’une connivence assassine; dans les deux cas de figure, c’est triste.
    C’est le tout à la fois Mr Khadra, ce pouvoir développe une austérité envers le paysage culturel populaire parce qu’il a clairement illustré sa peur d’une culture consciente algérienne.
    En temps d’une Algérie normale un écrivain de cette renommée qui dirige le CCA lui donne logiquement une renommé mondiale, mais c’est normal que le pouvoir va détourner les regards de vos initiatives comme il le fait chaque pour des milliers d’initiatives à travers l’Algérie qui ne soutiennent pas la vision Bouteflika.
    Je ne suis pas de ceux qui vous traiteront de collabo du pouvoir parce qu’il est temps qu’on disjoint ce pouvoir des institutions étatiques, sur ce terrain on pourrait intervenir et se regrouper pour former des élans d’une opposition déterminée à la centrale-bureaucratique.
    Je préfère de loin cette forme de lutte avec les risques de compromission que l’atmosphère de nos oisifs politiciens qui sont toujours en siestes post-digestives pour emprunter vos propos !
    Ils ne donnent même pas l’ordre de départ à leurs troupes militantes parce que comme responsables ils veulent d’abord connaitre « les règles de jeux » pour la compagne du fric, en termes simples les pistes des mangeoires !
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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    • #3
      J’ai envoyé 3 universitaires d’Algérie aux USA, et il y en aura d’autres ; je suis en relation avec certaines universités européennes pour provoquer des projets universitaires avec l’Algérie ( tel l’IEP d’Aix-en-Provence ), et j’essaye d’élargir les champs de manœuvre du CCA en me joignant à des projets collectifs et internationaux dans le domaine artistique. Cependant, je reste perplexe quant au support médiatique qui devrait accompagner les efforts consentis. D’éminents artistes viennent exposer au CCA, des conférenciers et des personnes intéressantes y sont invités, et nos médias préfèrent regarder ailleurs.
      Dieu merci ! CCA sauvé ..

      Y K Courage ! courage ! courage ! continuez !
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        Camus, Gide, chacun avec son talent, parfois avec ses maladresses et ses approches révoltantes de morgue et de raccourcis (Guy de Maupassant, entre autres), m’ont interpellé
        Rien que ça?

        J’ai envoyé 3 universitaires d’Algérie aux USA, et il y en aura d’autres ; je suis en relation avec certaines universités européennes pour provoquer des projets universitaires avec l’Algérie ( tel l’IEP d’Aix-en-Provence ), et j’essaye d’élargir les champs de manœuvre du CCA en me joignant à des projets collectifs et internationaux dans le domaine artistique
        Et pour l'histoire des universitaires, j'aimerai savoir comment, pourquoi et dans quelle mesure?
        Est-ce le pouvoir de l'écrivain? Celui du Directeur du CCA?

        D’éminents artistes viennent exposer au CCA, des conférenciers et des personnes intéressantes y sont invités, et nos médias préfèrent regarder ailleurs.
        Pour ce qui est des médias, il devrait savoir, que la médiation s'invite et se demande.

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        • #5
          les artistes et les écrivains qui n’arrivent pas à dissocier le Régime de l’Algérie
          Ce problème est bien réel. Dissocier les institutions de l'état de ceux qui les dirigent est d'autant plus difficile que ces mêmes dirigeants se comportent comme si ces institutions sont des propriétés privées. Ses institution sont faites, non pas pour servir le peuple algérien, ou les ressortissants algériens, mais pour servir les intérêts d'une caste qui ne veut rien lâcher. La liste des étudiants boursiers de l'état algérien en Europe postée sur ce forum il y a de cela quelques mois en est la preuve. Il suffit de mettre les pieds dans un consulat algérien pour se rendre compte qu'il n'a pas pour première mission l'accueil des algériens expatriés. Je n'ai pas eu l'occasion de me rendre au CCA, je ne peux donc juger le travail de Yasmina Khadra, mais le reste des institutions que j'ai eu à visiter ne m'offrent pas l'image d'institutions accueillantes.

          7- que pensez-vous du troisième mandat de Bouteflika ?

          YK : Que c’est un aboutissement naturel
          Je veux bien croire à l'envie de bien faire de Yasmina Khadra, mais avec cette phrase, il montre la prix de la soumission. Le fait qu'il soit un intellectuel éclairé rend cette repense encore plus inacceptable. Un viol n'est jamais un processus naturel, l'installation d'une dictature est loin d'être un processus naturel. Il justifie par un discours primitif inacceptable. Le vide qui s'est créé sur la seine politique algérienne est le résultat d'une politique de verrouillage du champ médiatique et associatif des amis de Mr Bouteflika.
          « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

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          • #6
            Je veux bien croire à l'envie de bien faire de Yasmina Khadra, mais avec cette phrase, il montre la prix de la soumission. Le fait qu'il soit un intellectuel éclairé rend cette repense encore plus inacceptable. Un viol n'est jamais un processus naturel, l'installation d'une dictature est loin d'être un processus naturel. Il justifie par un discours primitif inacceptable. Le vide qui s'est créé sur la seine politique algérienne est le résultat d'une politique de verrouillage du champ médiatique et associatif des amis de Mr Bouteflika.
            s'il n'etait pas parmi les preferés du regime pour la facade exterieure
            jamais on ne l'aurais nommé
            et à paris svp !
            c'est juste une reponse militaire à un autre militaire dissident et dangereux en europe pour leurs theses
            pour dire les savants intello des servives sont avec nous
            les autres
            sont des analphabetes aigris qui n'ont pas pu suivre l'algerie de bouteflika (tolerante et moderne) .
            yasmina khadra c'est la republique
            comme houari boumedienne c'est le pays
            lui c'est le boumessehoul qui fait dans la prostenation à ses maitres
            dommage belle plume qui sert les chiens
            Dernière modification par Medj, 13 décembre 2008, 11h22.

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            • #7
              Est-ce le pouvoir de l'écrivain? Celui du Directeur du CCA?
              A vrai dire ; Le pouvoir de l écrivain qui a su mettre en place un service d urgence pour sa dynamisation , ce centre qui a été été délaissé auparavant au profit des médiocres et des khobzistes ..
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                Houari... Sérieusement,as-tu mis les pieds au CCA? Qu'est-ce qui a changé ( mis à part la moquette... bien entendu).
                Le soucis avec ce personnage, on ne sait jamais qui parle, l'écrivain, le directeur, l'ancien militaire ( par ailleurs avec son sermon sur le pardon mutuel, on se demande comment il a pu servir le drapeau....) ou l'homme en proie à un égocentrisme maladif....

                IL faut bien différencier, une politique culturelle, un opportunisme et une motivation saine pour la culture.

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                • #9
                  Houari... Sérieusement,as-tu mis les pieds au CCA?
                  -possible l inspecteur Llob te communiquera l information si j y étai

                  Qu'est-ce qui a changé ( mis à part la moquette... bien entendu)
                  En tant que tu es membre de Bouillon de culture ….Le changement opéré , tu le sais plus que moi ….

                  IL faut bien différencier, une politique culturelle, un opportunisme et une motivation saine pour la culture.
                  Plutôt une politique culturelle nourrit d une motivation saine pour la culture purement algérienne sans démagogie , ni une culture néo….
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    par cette derniere sortie, je crois de plus en plus que le commandant n a pas imagine' les scenarios de ces creations litteraires. Bien au contraire, il en a ete un acteur, createur de certains faits sanglants que vous pouvez deviner.

                    Avouez quand meme que une annee apres avoir pondu un brulot contre le regime goujat algerien, il se trouve catapulte' au poste de directeur du CCA?

                    ce sont tous des esclaves du systeme qui font leur travail d opposition de figuration avant de se retrouver sur les bancs des grands... Khalida, la dame du PT, la debauche-journaliere de la kabylie, ceux qui siegent au l APN (l ANP est un lapsus!), tous sans exception car ils legitimisent la perduration des assassins, et bien d autres...

                    M-n-M
                    Dernière modification par mmis_ttaq-vaylit, 13 décembre 2008, 17h50.
                    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                    • #11
                      Quand je lis ce genre d’intervention j’aimerai savoir ce que ça dégage comme solution, on est tous ok avec ce constat, que c’est tous des khoubzistes, esclaves du pouvoir ex.., à part ceux qui servent et sont servi par ce pouvoir personne ne dira logiquement le contraire !
                      Dernière modification par postra, 13 décembre 2008, 18h49.
                      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                      • #12
                        mmis_ttaq-vaylit

                        Après, ce que tu dis de cet écrivain je ne peux pas le cautionné parce que il faut d’abord ramener des preuves tangibles,
                        accepter d’assumer la responsabilité d’une école ou d’un centre culturel algérien ne fait pas de nous des complices d’assassins, on peut faire bouger les choses aussi de cette manière en investissant le moindre espace d’expression.
                        Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                        • #13
                          Après, ce que tu dis de cet écrivain je ne peux pas le cautionné parce que il faut d’abord ramener des preuves tangibles,
                          accepter d’assumer la responsabilité d’une école ou d’un centre culturel algérien ne fait pas de nous des complices d’assassins, on peut faire bouger les choses aussi de cette manière en investissant le moindre espace d’expression.
                          accepter de servir un systeme criminel et traitre de la nation c'est etre son complice
                          point barre !
                          je connais beaucoup de gens trés competent qui ont decliné des postes clé dans le pouvoir du apprenti dictateur ou ont claqué la porte .
                          Et pas des moindres !
                          tu dois les connaitre ou dois je te faire un schéma !
                          alors ce n'est pas etre un strapontin à paris dans un cercle que ne frequentent que les nostalgiques QUI fera qq chose.

                          le CCA mon ami est une façade exterieure du systeme
                          il n'y a que les serviteurs zélés pour la redorer
                          on ne va pas s'amuser à mettre un opposant POUR BOUGER LES CHOSES.
                          Dernière modification par Medj, 13 décembre 2008, 19h15.

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                          • #14
                            Bonjour Postra,
                            beaucoup, et pas des moindres, ont essaye' de changer le systeme de l interieur. Ils ont fini a el Alia avec des honneurs de leurs assassins (comme Boudiaf) ou pieges par le "poste-piege" qui nourrit la panse sans fond des nantis du pouvoir.

                            YK fait figure d arriviste en politique par rapport a ceux qui ont combattu avec integrite le gouvernement algerien assassin depuis le 19 Mars 1962.

                            Sa plume est majestueuse.
                            Ses soubresauts verbaux? meme oued el harrach n en voudra pas.

                            Mmis.
                            Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                            • #15
                              YK fait figure d arriviste en politique
                              Encore faut-il qu'il ait prétendu faire de la politique...

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