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Le partenariat Canada-Algérie en discussion à Montréal

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  • Le partenariat Canada-Algérie en discussion à Montréal

    15-12-2008
    De notre correspondant au Canada
    Youcef Bendada

    C’est en pleine période de turbulences tant politiques qu’économiques sur la scène canadienne qu’aura lieu une rencontre entre des opérateurs canadiens et algériens le 18 décembre prochain à Montréal.

    C’est à l’initiative de l’Alliance d’affaires Canada-Algérie (AACA), qui s’associe à l’Alliance des manufacturiers et exportateurs du Québec (AMEQ), que cette rencontre aura lieu. Mais ce serait certainement suite à la demande expresse formulée par le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, qui avait rencontré au Canada, le 17 octobre dernier, les principaux responsables des entreprises canadiennes œuvrant, en Algérie, et avec lesquels il a convenu de la tenue le plus rapidement possible d’une telle rencontre pour que les entreprises canadiennes viennent «s’implanter durablement en Algérie, et explorer de nouveaux secteurs considérés comme essentiels pour le développement et pour le partenariat entre les deux pays, notamment les secteurs des assurances, des banques et des services».

    Ainsi, et alors que le Canada traverse une grave crise politique, à la suite de la menace qui plane sur le gouvernement conservateur d’être renversé par une coalition prête à le défaire par un vote de défiance sur le budget, cette rencontre se déroulera avec pour objectifs de présenter le programme de développement et d’investissement, en Algérie, ainsi que les grands projets d’infrastructures, de faire part des expériences réussies des entreprises canadiennes, en Algérie, d’évoquer la coopération sectorielle et les perspectives pour les PME canadiennes, et de mettre en exergue les opportunités d’affaires dans notre pays.

    Cette rencontre, qui viserait à promouvoir le «partenariat», vocable qui ne veut absolument rien dire puisque nous sommes le plus souvent dans le monde des affaires, et dont se gargarisent certains opérateurs, intervient, alors même que le Canada entre de plain-pied en mode de récession officiellement déclarée cette semaine. Le ralentissement économique, les mises à pied qui succèdent aux faillites et aux fermetures purement et simplement d’usines, la débâcle du secteur de l’automobile, la baisse historique du taux de base de la Banque du Canada qui atteint un niveau historique, la baisse des prix des matières premières, l’annulation de projets d’acquisitions d’entreprises qui se chiffrent en plusieurs dizaines de milliards de dollars, la baisse des mises en chantier dans le domaine de la construction, sont les nouvelles qui abreuvent les Canadiens, depuis plusieurs mois, mais ne découragent nullement les entreprises et leurs dirigeants qui multiplient les opérations de charme pour la conquête de marchés, puisque le domaine de l’international et de l’export des biens et services, est la source de l’enrichissement de ces entreprises et, donc, garant de la préservation de l’emploi.

    Ainsi, au cours de cette rencontre qui verra la participation, du côté canadien, de grosses pointures de l’engineering au niveau mondial tels que SNC Lavallin et Dessau (ex-Desseau-Soprin), les participants et conférenciers algériens ne sont pas des moindres, puisque ceux annoncés sont : MM. Abdelwahid Bouabdallah, P-DG d’Air Algérie, Mansouri Abdelkrim (ANDI), Ali Rezaïguia (conseiller de Sonatrach), et Ahmed Tibaoui (FCE). Des ateliers se dérouleront en après-midi, après le discours de M. Lawrence Cannon, ministre des Affaires étrangères du Canada.

    LA Tribune
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    Le partenariat Canada-Algérie en discussion à Montréal

    il faut inclure dans ses discussion le transfert de technologie et que tout se passe sur un partenariat de gagnant-gagnant.
    Mr NOUBAT

    Commentaire


    • #3
      Bof bof...
      La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

      Commentaire


      • #4
        il n ya que ceux qui n'ont pas de metier dans la main qui croivent a l'histoire du transfert de technologie.

        les gens sont fous de parler de transfert
        question
        ''Qui donnera son gagne pain?''

        Un seul: celui qui a perdu sa tete

        Commentaire


        • #5
          il faut inclure dans ses discussion le transfert de technologie et que tout se passe sur un partenariat de gagnant-gagnant.
          la reponse et dans le texte.
          l’initiative de l’Alliance d’affaires Canada-Algérie (AACA), qui s’associe à l’Alliance des manufacturiers et exportateurs du Québec

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