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Fait : MAD 82,8 Md à investir dans le secteur énergétique d’ici 2015.
Analyse : Dans le cadre du plan stratégique du Ministère de l’Energie et des Mines, un programme d’investissement de MAD 82,8 Md pour la période 2009-2015 a été annoncé en vue de pérenniser la production d’énergie au Maroc.
Par type d’énergie, l’électricité accapare 82% du montant global d’investissement, soit MAD 68 Md. Cette enveloppe devrait permettre la réalisation de 2 centrales thermiques à Safi ainsi que deux autres sur le site de JORF LASFAR (opérationnelles en 2012). A cela s’ajoute la construction de deux turbines à gaz de 100 MW chacune qui seront opérationnelles à partir de 2011. Pour sa part, le secteur de raffinage et de distribution du pétrole s’adjuge un budget d’investissement de MAD 12,8 Md (environ 15% du total). Enfin, MAD 2 Md seront consacrés à l’exploration et au développement des schistes.
Conclusion : Dans un secteur qui demeure fortement dépendant des importations, ces investissements devraient permettre au Maroc de gagner en terme d’autonomie énergétique afin de se prémunir contre les perturbations des marchés internationaux.
BMCE Capital Bourse
Analyse : Dans le cadre du plan stratégique du Ministère de l’Energie et des Mines, un programme d’investissement de MAD 82,8 Md pour la période 2009-2015 a été annoncé en vue de pérenniser la production d’énergie au Maroc.
Par type d’énergie, l’électricité accapare 82% du montant global d’investissement, soit MAD 68 Md. Cette enveloppe devrait permettre la réalisation de 2 centrales thermiques à Safi ainsi que deux autres sur le site de JORF LASFAR (opérationnelles en 2012). A cela s’ajoute la construction de deux turbines à gaz de 100 MW chacune qui seront opérationnelles à partir de 2011. Pour sa part, le secteur de raffinage et de distribution du pétrole s’adjuge un budget d’investissement de MAD 12,8 Md (environ 15% du total). Enfin, MAD 2 Md seront consacrés à l’exploration et au développement des schistes.
Conclusion : Dans un secteur qui demeure fortement dépendant des importations, ces investissements devraient permettre au Maroc de gagner en terme d’autonomie énergétique afin de se prémunir contre les perturbations des marchés internationaux.
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