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Un ancien ministre canadien parle de la situation sécuritaire en Algérie
Les rues d’Alger moins dangereuses que celles de Washington
Par :Rubrique Radar
Lu : (942 fois)
“Je vais deux ou trois fois par an en Algérie. C’est vrai qu’il y a parfois des attentats, mais j’ai l’impression que cela prend des proportions plus grandes dans les médias étrangers. Les autorités tentent d’éradiquer le terrorisme avec des mesures de sécurité accrues. Dans une certaine mesure, il est plus dangereux de marcher la nuit dans les rues de Washington que dans celles d’Alger.” C’est ce qu’a déclaré Denis Paradis, ancien ministre canadien, dans un entretien accordé au journal les Affaires. M. Paradis a par ailleurs révélé avoir participé “à une négociation au terme de laquelle un éleveur canadien de vaches laitières Holstein transférera sa technologie génétique embryonnaire à un éleveur algérien dans le cadre d’une co-entreprise”.
Les rues d’Alger moins dangereuses que celles de Washington
Par :Rubrique Radar
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“Je vais deux ou trois fois par an en Algérie. C’est vrai qu’il y a parfois des attentats, mais j’ai l’impression que cela prend des proportions plus grandes dans les médias étrangers. Les autorités tentent d’éradiquer le terrorisme avec des mesures de sécurité accrues. Dans une certaine mesure, il est plus dangereux de marcher la nuit dans les rues de Washington que dans celles d’Alger.” C’est ce qu’a déclaré Denis Paradis, ancien ministre canadien, dans un entretien accordé au journal les Affaires. M. Paradis a par ailleurs révélé avoir participé “à une négociation au terme de laquelle un éleveur canadien de vaches laitières Holstein transférera sa technologie génétique embryonnaire à un éleveur algérien dans le cadre d’une co-entreprise”.