Smara, 17/12/08- Les séquestrés des camps de Tindouf, dans le sud algérien, souhaitent irrésistiblement le retour, coûte que coûte, à leur patrie, le Maroc, en réponse à l'appel "la patrie est miséricordieuse", a affirmé Said Belkadi, qui vient de regagner le Royaume.
La situation des séquestrés des camps de Tindouf s'empire de jour en jour, a déclaré à la MAP, Said Belkadi, soulignant qu'il est devenu de plus en plus difficile de vivre sous le joug d'une bande séparatiste s'adonnant à la prévarication au niveau des aides alimentaires fournies par des organismes humanitaires internationaux aux populations séquestrées.
Said Belkadi (42 ans), dont le retour coïncidait avec les fêtes de l'Aid Al Adha, a affirmé que des milliers de Marocains sahraouis séquestrés à Tindouf sont animés par ce souhait de retourner à leur patrie, que ce soit à travers la proposition royale visant l'octroi d'une large autonomie aux provinces du sud ou par n'importe quelle autre raison, l'essentiel pour eux est leur délivrance définitive des sbires du Polisario.
Rguibi d'origine, S. Belkadi, qui avait passé seize années dans les milices polisariennes, a mis l'accent sur les affres et les violations des droits de l'homme à l'intérieur des camps, citant à ce titre l'incarcération sans raison des personnes ainsi que la surveillance et le contrôle permanent dont font l'objet les personnes ne partageant pas les idées des séparatistes
La situation des séquestrés des camps de Tindouf s'empire de jour en jour, a déclaré à la MAP, Said Belkadi, soulignant qu'il est devenu de plus en plus difficile de vivre sous le joug d'une bande séparatiste s'adonnant à la prévarication au niveau des aides alimentaires fournies par des organismes humanitaires internationaux aux populations séquestrées.
Said Belkadi (42 ans), dont le retour coïncidait avec les fêtes de l'Aid Al Adha, a affirmé que des milliers de Marocains sahraouis séquestrés à Tindouf sont animés par ce souhait de retourner à leur patrie, que ce soit à travers la proposition royale visant l'octroi d'une large autonomie aux provinces du sud ou par n'importe quelle autre raison, l'essentiel pour eux est leur délivrance définitive des sbires du Polisario.
Rguibi d'origine, S. Belkadi, qui avait passé seize années dans les milices polisariennes, a mis l'accent sur les affres et les violations des droits de l'homme à l'intérieur des camps, citant à ce titre l'incarcération sans raison des personnes ainsi que la surveillance et le contrôle permanent dont font l'objet les personnes ne partageant pas les idées des séparatistes
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