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16 ans de prison ferme pour les assassins d’une jeune fille

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  • 16 ans de prison ferme pour les assassins d’une jeune fille

    L’affaire de la jeune fille assassinée en juin 2002, Amel, 17 ans, et dont le cadavre a été brûlé à Seghirate, dans la wilaya de Boumerdès, enrôlée pour la 4e fois depuis, a été examinée avant-hier à huis clos par le tribunal criminel de Boumerdès.

    Les principaux accusés, B. Naïm et B. Djoudi, ont écopé de 16 ans de prison ferme chacun. H. Hamid et B. Nedjoua ont été condamnés à 7 ans de prison ferme et C. Amine a écopé de 4 ans de prison ferme. En février 2007, l’affaire avait été reportée pour la deuxième fois suite à la demande persistante de la défense de procéder à des analyses ADN afin de déterminer qui était le géniteur de l’enfant que la victime portait dans son ventre depuis quatre mois. Elle avait déjà été reportée pour un « approfondissement de l’enquête judiciaire ». Les faits s’étaient produits à Boumerdès. Le 2 juin 2002, un habitant de la région alerte la police sur l’existence d’un corps brûlé dans une décharge publique au lieudit Oued Lime (Seghirate).

    L’enquête sera remise à la gendarmerie « parce que cela s’est passé extra-muros ». Mais les investigations révèleront que la jeune fille, qu’on appelait Amel et qui n’est pas encore identifiée, avait passé la nuit en compagnie des accusés qui ont abusé d’elle dans le local d’une cave d’un bâtiment de la cité des 800 Logements du chef-lieu de wilaya. Selon les déclarations de B. Nedjoua, 22 ans, au moment des faits et originaire d’El Kala, présente à la dramatique soirée, et qui figure au box parmi les 4 accusés, l’un de ces derniers (B. Naïm) a fait boire à Amel, de force, une substance qui lui fera perdre conscience. Ensuite lui et son compagnon B. Djoudi se relayeront sur elle, témoigne l’accusée.

    Quelques instants après, lit-on dans l’arrêt de renvoi, le groupe a constaté que son corps s’est refroidi. Les accusés ont ignoré la proposition de Nedjoua d’emmener la victime à l’hôpital et décident alors de se débarrasser de son corps, selon B. Nedjoua. B. D. a ramené alors sa voiture, une Golf noire, selon le témoignage de celle-ci. Le cadavre a ensuite ét placé dans le coffre et emmené en vue d’être brûlé « avec des pneus et de l’essence », selon l’enquête.




    Par K. O. (El Watan)

  • #2
    en algerie on ecope de 16 ans de prison kan on viole et on brule une mineur vivante que tout les maniaque du monde se pointe en algerie rahi khabza on fait tout pour encorager le crime et la criminalite pour faire taire le peuple

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    • #3
      quelle justice algerienne?? est unique dans le mande!

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      • #4
        16 ans de prison...!!!!! C'est une blague.

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        • #5
          J'imagine que le principal chef d'inculpation retenu devait être le meurtre et non l'assassinat, ce qui explique les 16 ans.

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          • #6
            Il serait temps que les journalistes judiciaires algériens acquièrent un minimum de jargon juridique...

            Enfin bon, si j'ai bien compris, le journal qui publie l'aricle n'est pas une référence...

            Pour faire echo à ce que dit Ulysse, juridiquement, un meurtre et un assassinat ce n'est pas la même chose.
            « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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