Ce que des générations avaient construit a été dilapidé dans le casino mondial
par Friedrich Romig
Les politiciens autrichiens tels que Vranitzky et Schüssel, ou encore Andreas Khol, qui a agi comme éminence grise pendant des décennies, nous ont menés dans l’Union européenne et imposé l’euro. Ils ont été fort soutenus par des gens du deuxième rang, ainsi de Mock, Busek, Klima, Fischler, les anciennes ministres des Affaires étrangères Ferrero-Waldner et Plassnik, sans oublier les béni-oui-oui du Parlement ainsi que les fonctionnaires sans caractères représentant le pays à Bruxelles qui, tous, ont agi pour que le pays perde sa souveraineté tout autant que sa monnaie et s’enfonce dans la faillite globale. Ils ont préparé le terrain aux profiteurs et aux banquiers criminels qui se sont lancés dans ce casino mondial où de gigantesques sommes du patrimoine national ont été perdues à tout jamais en quelques années.
Schüssel avait prétendu que l’élargissement à l’Est était une chance à saisir par l’Autriche qui est maintenant engagée dans ces pays par 600 milliards d’euros, ce qui représente près du double du produit brut intérieur. Les crédits ne seront jamais remboursés et ces engagements ont déjà perdu entre 50 et 80% de leur valeur; pour sauver ce qui reste, on injecte de nouveaux crédits. Les cours des banques et sociétés d’assurances, fortement exposées, telles que Raiffeisen International, Erste Bank ou Vienna Insurance ont chuté comme les feuilles mortes en automne, des banquiers fort honorés tels que Treichl ou Konrad ou encore Stepic en sont à mendier de l’aide auprès de l’Etat! La banque de crédit communal (Kommunalkreditbank), fondée à l’origine pour soutenir les communes, a perdu des centaines de millions dans des spéculations à Chypre et en Islande; elle fut vendue à l’Etat pour deux euros. Cette année, la Volksbank doit faire son deuil de 362 millions d’euros dans ses participations à cette banque et en plus réinvestir 300 millions pour des «affaires structurelles» avec des banques en faillite en Islande, avec Lehman&Brothers, etc. Elle en est à solliciter un milliard d’euros auprès de l’Etat, comme si ce dernier possédait une corne d’abondance.
Le patrimoine national est dilapidé et on en a pour un siècle à payer des intérêts
Les contrats de leasing transfrontaliers, conclus par les communes et des entreprises relevant de l’Etat, s’élèvent à 20 à 30 milliards euros. La firme Tiwag a vendu son usine électrique de Sellrain-Silz pour environ 1,5 milliard d’euros, puis l’a reprise en leasing pour cent ans. Le prix de vente fut déposé dans des banques étrangères. Mais, les banques de dépôts s’effondrent l’une après l’autre, et de larges franges du prix d’achat disparaissent et ce qui reste c’est l’obligation pour la firme Tiwag de payer l’emprunt pendant cent ans! Cela ressemble fort à la façon d’agir d’un propriétaire de maison qui aurait pendant des années économisé pour acheter sa maison, l’aurait ensuite vendue, puis brûlé la somme recueillie, pour ensuite la louer, c’est-à-dire la payer une deuxième fois.
La suite http://*******************/L-Autriche-est-en-faillite!_a27280.html
A quand la France ?
LePost
par Friedrich Romig
Les politiciens autrichiens tels que Vranitzky et Schüssel, ou encore Andreas Khol, qui a agi comme éminence grise pendant des décennies, nous ont menés dans l’Union européenne et imposé l’euro. Ils ont été fort soutenus par des gens du deuxième rang, ainsi de Mock, Busek, Klima, Fischler, les anciennes ministres des Affaires étrangères Ferrero-Waldner et Plassnik, sans oublier les béni-oui-oui du Parlement ainsi que les fonctionnaires sans caractères représentant le pays à Bruxelles qui, tous, ont agi pour que le pays perde sa souveraineté tout autant que sa monnaie et s’enfonce dans la faillite globale. Ils ont préparé le terrain aux profiteurs et aux banquiers criminels qui se sont lancés dans ce casino mondial où de gigantesques sommes du patrimoine national ont été perdues à tout jamais en quelques années.
Schüssel avait prétendu que l’élargissement à l’Est était une chance à saisir par l’Autriche qui est maintenant engagée dans ces pays par 600 milliards d’euros, ce qui représente près du double du produit brut intérieur. Les crédits ne seront jamais remboursés et ces engagements ont déjà perdu entre 50 et 80% de leur valeur; pour sauver ce qui reste, on injecte de nouveaux crédits. Les cours des banques et sociétés d’assurances, fortement exposées, telles que Raiffeisen International, Erste Bank ou Vienna Insurance ont chuté comme les feuilles mortes en automne, des banquiers fort honorés tels que Treichl ou Konrad ou encore Stepic en sont à mendier de l’aide auprès de l’Etat! La banque de crédit communal (Kommunalkreditbank), fondée à l’origine pour soutenir les communes, a perdu des centaines de millions dans des spéculations à Chypre et en Islande; elle fut vendue à l’Etat pour deux euros. Cette année, la Volksbank doit faire son deuil de 362 millions d’euros dans ses participations à cette banque et en plus réinvestir 300 millions pour des «affaires structurelles» avec des banques en faillite en Islande, avec Lehman&Brothers, etc. Elle en est à solliciter un milliard d’euros auprès de l’Etat, comme si ce dernier possédait une corne d’abondance.
Le patrimoine national est dilapidé et on en a pour un siècle à payer des intérêts
Les contrats de leasing transfrontaliers, conclus par les communes et des entreprises relevant de l’Etat, s’élèvent à 20 à 30 milliards euros. La firme Tiwag a vendu son usine électrique de Sellrain-Silz pour environ 1,5 milliard d’euros, puis l’a reprise en leasing pour cent ans. Le prix de vente fut déposé dans des banques étrangères. Mais, les banques de dépôts s’effondrent l’une après l’autre, et de larges franges du prix d’achat disparaissent et ce qui reste c’est l’obligation pour la firme Tiwag de payer l’emprunt pendant cent ans! Cela ressemble fort à la façon d’agir d’un propriétaire de maison qui aurait pendant des années économisé pour acheter sa maison, l’aurait ensuite vendue, puis brûlé la somme recueillie, pour ensuite la louer, c’est-à-dire la payer une deuxième fois.
La suite http://*******************/L-Autriche-est-en-faillite!_a27280.html
A quand la France ?
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