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delirium tremens

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  • delirium tremens

    Les heures se succédent,les jours se poursuivent
    Et moi; égarée sans repères
    Je regarde défiler les instants
    je voie dérober les moments
    sans gout sans odeur
    sans but sans couleur
    Je gaspille le plus imporatnt
    Impie fille de satan
    Dois-je bouger ou rester-la
    Voir sans me voir
    Sans droit sans devoir.
    Ou suis-je maintenant?!
    Que sont mon espace et mon temps?!
    Des distances résumés en un point
    Le commencement est-ce ou est-ce deja la fin?
    Incommode situation
    Grotesque raisonnement
    Rendez-moi mes forces
    Rendez-moi mon innocence
    Remontez ce temps maudit
    Remettez-moi aux royaumes des bannis
    la-bas meme loin je m'y plais............
    riena_del_sole
    Dernière modification par reina_del_sole, 20 décembre 2008, 14h01.

  • #2
    Tu n'aurais pas du repousser la porte
    Et par curiosité y entrer
    Fallait rester là où tu te sentes
    Reine del sole
    Maintenant tout est vérouillé
    Mm les tgv n y vont jamais
    Les métro aussi
    Fallait y rester
    Et ne pas tenter
    l'aventure

    Maintenant reste à t'habituer
    à ton nouveau environnement
    mettre et se soumettre
    aux nouvelles règles
    nouvelles lois
    accépter que la porte
    se ferme derrière-toi

    C'est un passage, il se doit
    de le traversser
    donc patiente
    j'vois de là ...Une issue ,une voie
    fais pas trop de bruit
    si tu veux l'atteindre

    Allez! arrête de crier
    tu risques de reveiller
    les démons et les diables
    qui chôment en ces moments froid
    Dernière modification par NaZwA, 20 décembre 2008, 19h17.

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    • #3
      merveilleuse joute bien que je n'y comprends pas grand choses !
      Ah ya ddin qessam !
      Neqqim tojor d agad ur neswi !

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      • #4
        quel belle reponse je vous en remercie

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        • #5
          Depuis le temps, je n’ai pas vu le temps passer
          Il m’a à peine effleuré mais sans me caresser
          Personne ne m’a averti de son furtif passage
          Et je ne l’ai pas entendu traîner ses bagages.

          Ainsi alternaient les hivers des dizaines de fois,
          Ils se bousculaient sur leur court layon, parfois
          J’avais juste le temps de les voir au loin s’éloigner
          Sans pouvoir rien y faire, alors je me suis résigné.

          Je n’ai pas eu le temps de contempler l’horizon
          Je croyais y parvenir un jour, au fil des saisons
          Mais mon regard l’a confondu avec un mirage
          Et la marée était si forte qu’elle emporta le rivage.

          Si j’avais su que mes années seraient aussi brèves
          Je ne me serai pas attardé à planter tant de rêves
          Je les aurai tous délaissés et arrosés moins souvent
          Pour pouvoir aisément, être emportés par le vent.

          Au dernier tournant, le temps a ralenti sans s’arrêter.
          Il doutait de ne pas m’avoir procuré ce que je méritais
          En voyant tous ces trésors perdus au fond de mon être,
          Mais qui sont là, fanés et appelés bientôt à disparaître.

          Alors le temps se retourna afin de revenir en arrière
          Mais dans son dos se dressait une nuée de barrières
          Il scruta une dernière fois ce qui sera avec moi, enterré
          Puis s’est assis près de moi et a pris… le temps de pleurer.
          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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          • #6
            trop belles toutes ces perles qui viennent aguayer les coeurs de chaleur et de jouissance mentale .. et le temps passe ....merci beaucoup pour le partage .
            "Ce que la chenille appelle la fin du monde,
            le sage l'appelle le papillon." Richard Bach.

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            • #7
              je suis flattée de lire des parcelles de vous quelques mots qui en disent long sur la sensibilité qui hante les autres esprits errants ..................merci d'etre comme vous etes

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              • #8
                que c'est beau ce que votre plume a dessiner en lettres virtuelles

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