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La carie dentaire, une affection omniprésente chez les enfants, figurerait désormais dans la catégorie des maladies infectieuses, selon un constat de l'Association dentaire de l'Ontario qui soutient que celle-ci est une source majeure d'absentéisme scolaire.
Loin d'être inoffensives, les conséquences de la carie peuvent non seulement entraîner de forts maux, mais aussi de l'infection, des difficultés de mastication et d'élocution, d'après le docteur Ian McConnachie, ancien président de l'association. Cette maladie peut avoir d'autres impacts négatifs sur les enfants, notamment en ce qui a trait à leur opinion d'eux-mêmes et à leur réussite académique, en plus d'être associée à des risques d'embonpoint.
Les dentistes invitent donc les parents à rester à l'affût de toutes modifications buccodentaires chez leurs enfants et notamment d'utiliser la brosse à dents et un dentifrice au fluorure aussitôt la première dent apparue. Les parents devraient aussi s'abstenir d'échanger des objets tels que tasses, ustensiles ou encore brosses à dents et même de partager des aliments avec leur progéniture.
Les spécialistes de l'association souhaiteraient, de la part des autorités gouvernementales ontariennes, l'adoption d'un programme visant à promouvoir l'accessibilité aux soins de santé dentaires pour les enfants provenant de ménages à salaire modeste. Or, tandis que David Caplan, ministre de la Santé, considère qu'un tel plan de soutien est déjà existant, les dentistes, quant à eux, jugent que le programme actuel est trop focalisé sur les traitements et qu'il laisse de côté les mesures préventives.
Le groupe revendique en plus le maintien de la fluoration de l'eau potable, une mesure de santé publique qui a démontré une certaine efficacité contre la carie dentaire.
Source: Santé Canoe
Loin d'être inoffensives, les conséquences de la carie peuvent non seulement entraîner de forts maux, mais aussi de l'infection, des difficultés de mastication et d'élocution, d'après le docteur Ian McConnachie, ancien président de l'association. Cette maladie peut avoir d'autres impacts négatifs sur les enfants, notamment en ce qui a trait à leur opinion d'eux-mêmes et à leur réussite académique, en plus d'être associée à des risques d'embonpoint.
Les dentistes invitent donc les parents à rester à l'affût de toutes modifications buccodentaires chez leurs enfants et notamment d'utiliser la brosse à dents et un dentifrice au fluorure aussitôt la première dent apparue. Les parents devraient aussi s'abstenir d'échanger des objets tels que tasses, ustensiles ou encore brosses à dents et même de partager des aliments avec leur progéniture.
Les spécialistes de l'association souhaiteraient, de la part des autorités gouvernementales ontariennes, l'adoption d'un programme visant à promouvoir l'accessibilité aux soins de santé dentaires pour les enfants provenant de ménages à salaire modeste. Or, tandis que David Caplan, ministre de la Santé, considère qu'un tel plan de soutien est déjà existant, les dentistes, quant à eux, jugent que le programme actuel est trop focalisé sur les traitements et qu'il laisse de côté les mesures préventives.
Le groupe revendique en plus le maintien de la fluoration de l'eau potable, une mesure de santé publique qui a démontré une certaine efficacité contre la carie dentaire.
Source: Santé Canoe