«Le PAP est un slogan du FLN de l'un de nos congrès»
Pour ce qui est de la réunion de l'OPEP à Oran, le SG du FLN estime que «c'est la première fois de l'histoire de l'OPEP, qu'il a été décidé d'une forte réduction de la production de pétrole, il faut valoriser tout cela. Pour ce qui est des effets, ils ne sont pas immédiats (il y a des mécanismes qu'il faut connaître), il faut les attendre dans quelques semaines.»
Belkhadem déclare, par ailleurs, être pour un autre programme quinquennal «l'Algérie a les moyens de le financer sur fonds propres.» Cela ne nécessite pas, selon lui, une révision du modèle économique. «Il l'a déjà fait,» a-t-il dit en rejetant la comparaison entre le PAP du temps du président Chadli et les financements publics des projets d'investissement.
«La comparaison n'est pas de mise, le PAP était un slogan de l'un de nos congrès, c'était essentiellement de la consommation, mais maintenant les projets structurants produisent, ce n'est pas palpable à leur réalisation mais plus tard.» Il prend comme exemple la stratégie industrielle qui dit-il «sera prochainement mise en oeuvre et pour laquelle il y a des filières qu'on doit choisir et financer sur concours du budget de l'Etat.» Il affirme que «l'année prochaine le nouveau programme quinquennal sera discuté et adopté.»
Les finances du FLN sont, a-t-il tenu à dire, «essentiellement d'origine militante, en plus de la dotation du ministère des Finances, en plus du nombre des députés élus sur la base des résultats du conseil constitutionnel. Nous présentons annuellement au ministère de l'Intérieur le rapport sur la gestion financière du parti fait par le commissaire aux comptes»
Interrogé sur son appréciation de ce qui se dit par le Maroc sur l'Algérie, Belkhadem soutiendra que «le Maroc est un pays frère, sa sécurité c'est la nôtre, sa stabilité c'est la nôtre, nos différences, il ne faut pas qu'elles soient sur le dos des peuples.» Il dira que «le Maroc nous reproche notre soutien au peuple sahraoui, nous tenons à son autodétermination conformément à la légalité internationale et nous voulons tout le bien au Maroc.»
Sa rencontre et ses discussions avec Abdallah Djaballah, Belkhadem les classent dans la case «du secret de la amana.»
Le SG du FLN indiquera que «600.000 agents sont mobilisés pour assurer l'organisation de l'élection présidentielle de 2009 sans compter les éléments des services de sécurité et 5 milliards de dinars annoncés sont pour l'organisation de cette élection et non pas pour la campagne électorale.»
Pour ce qui est de la réunion de l'OPEP à Oran, le SG du FLN estime que «c'est la première fois de l'histoire de l'OPEP, qu'il a été décidé d'une forte réduction de la production de pétrole, il faut valoriser tout cela. Pour ce qui est des effets, ils ne sont pas immédiats (il y a des mécanismes qu'il faut connaître), il faut les attendre dans quelques semaines.»
Belkhadem déclare, par ailleurs, être pour un autre programme quinquennal «l'Algérie a les moyens de le financer sur fonds propres.» Cela ne nécessite pas, selon lui, une révision du modèle économique. «Il l'a déjà fait,» a-t-il dit en rejetant la comparaison entre le PAP du temps du président Chadli et les financements publics des projets d'investissement.
«La comparaison n'est pas de mise, le PAP était un slogan de l'un de nos congrès, c'était essentiellement de la consommation, mais maintenant les projets structurants produisent, ce n'est pas palpable à leur réalisation mais plus tard.» Il prend comme exemple la stratégie industrielle qui dit-il «sera prochainement mise en oeuvre et pour laquelle il y a des filières qu'on doit choisir et financer sur concours du budget de l'Etat.» Il affirme que «l'année prochaine le nouveau programme quinquennal sera discuté et adopté.»
Les finances du FLN sont, a-t-il tenu à dire, «essentiellement d'origine militante, en plus de la dotation du ministère des Finances, en plus du nombre des députés élus sur la base des résultats du conseil constitutionnel. Nous présentons annuellement au ministère de l'Intérieur le rapport sur la gestion financière du parti fait par le commissaire aux comptes»
Interrogé sur son appréciation de ce qui se dit par le Maroc sur l'Algérie, Belkhadem soutiendra que «le Maroc est un pays frère, sa sécurité c'est la nôtre, sa stabilité c'est la nôtre, nos différences, il ne faut pas qu'elles soient sur le dos des peuples.» Il dira que «le Maroc nous reproche notre soutien au peuple sahraoui, nous tenons à son autodétermination conformément à la légalité internationale et nous voulons tout le bien au Maroc.»
Sa rencontre et ses discussions avec Abdallah Djaballah, Belkhadem les classent dans la case «du secret de la amana.»
Le SG du FLN indiquera que «600.000 agents sont mobilisés pour assurer l'organisation de l'élection présidentielle de 2009 sans compter les éléments des services de sécurité et 5 milliards de dinars annoncés sont pour l'organisation de cette élection et non pas pour la campagne électorale.»
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