Ceci n'est pas une blague : le ministère de l'Education vient d'ordonner aux directeurs des collèges et des lycées d'Algérie de veiller à ce que les filles laissent leur maquillage et leur mini jupes à la maison!
Relevant l'absurdité de cette mesure jugée discriminatoire, l'association nationale des hittistes professionnels (ANHP) s'est dite outragée. Dans un communiqué transmis à l'APS, le porte-parole de l'ANHP, un algérois surnommé "Moh la classe", a dénoncé cette mesure gouvernementale en affirmant : "La volonté du gouvernement d'empêcher les collégiennes et les lycéennes algériennes de se maquiller et de porter des mini-jupes est une insulte à tous les hittistes algériens qui ne survivent que grâce au doux espoir de séduire un jour l'une de ces belles créatures qui illuminent nos jours sombres. Si le gouvernement ne retire pas cette mesure honteuse, l'ANHP appellera ses membres à bloquer l'accès aux collèges et aux lycées algériens pendant tout le mois de janvier 2009. Pas de mini-jupes, pas de cours!"
Des lycéennes algéroises profitent des derniers jours avant l'interdiction des habits sexy.
Des hittistes inquiets de ne plus pouvoir mater les jeunes filles maquillées et en mini-jupes.
Relevant l'absurdité de cette mesure jugée discriminatoire, l'association nationale des hittistes professionnels (ANHP) s'est dite outragée. Dans un communiqué transmis à l'APS, le porte-parole de l'ANHP, un algérois surnommé "Moh la classe", a dénoncé cette mesure gouvernementale en affirmant : "La volonté du gouvernement d'empêcher les collégiennes et les lycéennes algériennes de se maquiller et de porter des mini-jupes est une insulte à tous les hittistes algériens qui ne survivent que grâce au doux espoir de séduire un jour l'une de ces belles créatures qui illuminent nos jours sombres. Si le gouvernement ne retire pas cette mesure honteuse, l'ANHP appellera ses membres à bloquer l'accès aux collèges et aux lycées algériens pendant tout le mois de janvier 2009. Pas de mini-jupes, pas de cours!"
Des lycéennes algéroises profitent des derniers jours avant l'interdiction des habits sexy.
Des hittistes inquiets de ne plus pouvoir mater les jeunes filles maquillées et en mini-jupes.
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