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Les compétences algériennes à l’étranger à la disposition de leur pays.

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  • Les compétences algériennes à l’étranger à la disposition de leur pays.

    Une passerelle pour le transfert du savoir-faire
    Les compétences algériennes à l’étranger à la disposition de leur pays

    mardi 23 décembre 2008
    par Samira Amrouche
    ITMag-dz.com
    La formation, la recherche et le développement sont les thèmes abordés lors du 2e colloque (FRD-2008) de l’Association des compétences algériennes, en présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès, ainsi que des cadres universitaires, les représentants des institutions et de nombreux universitaires qui travaillent en France, au Canada et aux Etats-Unis. La formation, la recherche et le développement sont des piliers importants dans le développement économique.
    Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, Djamel Ould Abbès, a indiqué que l’un des objectifs de ce colloque est de mettre en place des ponts entre les chercheurs algériens établis à l’étranger et leur pays. Le 2e colloque a connu la participation d’une centaine de chercheurs et de compétences algériens qui ont présenté des communications différentes en fonction de leur spécialité. L’échange du savoir-faire a été le principal sujet du colloque. Ce colloque a été l’occasion d’échanger des idées sur les nouvelles technologies, la formation, la question du développement durable, le développement économique ainsi que le transfert des compétences dans le domaine de la recherche scientifique pour développer le secteur en Algérie qui enregistre un grand retard. « Plus de 100 000 cadres algériens sont établis à l’étranger. Parmi eux, pas moins de 1500 sont des chercheurs et experts de renom dans plusieurs domaines », affirme Mustapha Khiati, président de la Fondation pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem). Pour sa part, Hafid Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a abordé dans son intervention le thème de la nouvelle politique de la recherche en Algérie. Il dira à ce sujet que l’Algérie a connu la mise en place de 680 laboratoires au niveau national. Par ailleurs, il indiquera qu’il faut valoriser le travail des universités algériennes, d’ailleurs « nous sommes en phase de préparation pour la mise en place de centres de transfert des technologies, et le premier centre sera à Tlemcen. Le lien entre l’université et l’industrie est important, il permet de valoriser le projet de l’innovation et des recherches universitaires. Nous avons un projet d’observatoire national pour gérer les risques en Algérie », a-t-il ajouté. De son côté, Yamna Djellouli Tabet de l’université de Maine Le Mans, lors de sa communications sur le développement et l’emploi par la recherche et la formation professionnelle, a précisé que les formations professionnalisantes dispensées par les universités et appuyées par des professionnels spécialisés sont des outils qui ont fait leurs preuves sur le terrain. Concernant les objectifs de ces formations, Yamna Djellouli explique que ces formations permettent d’acquérir des compétences et des expertises. Ce colloque est une occasion de renforcer les liens entre les universités et les compétences algériennes. Le professeur Youssef Toumi a indiqué pour sa part que la collaboration entre université, industrie et université est la base du développement économique d’un pays. L’Algérie a des centaines de milliers d’experts dans différents domaines, dont la majorité est basée à l’étranger... L’objectif de ce deuxième colloque est de créer justement des opportunités et un espace où les compétences algériennes à l’intérieur et à l’extérieur du pays pourraient échanger leurs expériences et redonner la confiance aux compétences à travers des échanges et le transfert de savoir-faire.

  • #2
    On dirait que tout le monde à décider de s'unir. Mais ce sont les Euroméditerranéènnes qui ont commencé
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      On dirait que tout le monde à décider de s'unir. Mais ce sont les Euroméditerranéènnes qui ont commencé
      Avec une Zwina a leur tete, je suppose !?
      Parles nous un peu plus de ton association ...

      Sur un autre topic, bien suuuuur !!!

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      • #4
        yaou kiiiiiiiiiiiouwwwwwwwwwwwwwwwww
        c'est des paroles en l'air ca fait des années qu'ils en parlent et ils arrivent toujours pas a trouver de compromis
        PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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