Je suis toujours dans la même chambre froide
Au plus haut de la montagne, dans ma colline oubliée
Lassé par le temps qui passe et les heures qui s’effacent
Lassé par les choses qui m’entourent, qui ne change de couleurs,
Comme les arbres et plantes qui entourent la maison, ne changent pas d’odeurs,
La vérité tu la connais comme elle te connait
Depuis ton départ, j’attends le retour de mes esprits,
Pour me réveiller enfin dans la joie d’un enfant
Qui reçoit son cadeau de l’Aïd dans ses vêtements flamboyants
Courir enfin dans les petites artères du village
Salué dans la bonne humeur tous les gens au passage
Sourire à toutes les femmes dans les jardins et fontaines
Un jour, un autre, avec toi à mes cotés
Pour me réveiller à la même heure chaque matin à coté de ton corps
Sentir sa chaleur qui me transpire, et ton odeur qui m’inspire
Les plus beaux poèmes de la manière
Elle est venue sur moi la douceur, avec sa main de dentelle
Me caressé sur les cheveux, elle m’ouvrait les yeux sans les ouvrir
Elle m’arrache d’un sommeil profond dans le monde des fables
Des pierres qui chantent sous les arbres qui parlent
Elle me tient par sa main d’eau claire,
Et me caressa le nez avec son parfum si cher
Elle me chanta les lettres de ton amour, et me conduit vers toi
J’étais le bonhomme le plus joyeux sous les cieux
Et je ne croyais mes yeux noyés dans ces lieux, sous mille lieux
Ne m’attends pas ce soir si je retourne à mon sommeil
Je voudrais tellement être dans ta discussion, dans l’eau de ta bouche
Pour l’asséchée comme mon cœur aride
Qui espère longuement les pluies brulantes de tes larmes
Qui aspire pitoyablement les goutes noires de ta plume
J’ai su que tu voulais de mes nouvelles toujours impatiente
Toujours pour écrire tu te sens Impuissante,
Je sais cela mon amour impossible, ne soit point inquiétante
J’ai su tes tristesses par le vent frais sur les feuilles de tes écrits
Je le sens toujours battre ce cœur pour moi comme un destin
Mais le destin ne veut répondre à mes festins
Pourrai-je un jour trouver la paix des ombres
Le repos de l’oubli qui efface toutes les blessures,
Lassé de moi à être le même, je ne change point
Je ne change pas ma chandelle fleur luisante
Malgré tout ce grand amour que je te porte
J’oublis toujours d’ouvrir et fermer les portes,
J’oublis toujours les promesses que j’en porte
La terre s’efface sous mes pieds, je gravite sous les nuages
Je me réveille en sursaut et je cris de toute mes forces
Les noms de ceux que j’aime,
J’avais peur que la solitude me parle
Dans sa voie morte et me dise « le rêve est fini »
Postr@
Au plus haut de la montagne, dans ma colline oubliée
Lassé par le temps qui passe et les heures qui s’effacent
Lassé par les choses qui m’entourent, qui ne change de couleurs,
Comme les arbres et plantes qui entourent la maison, ne changent pas d’odeurs,
La vérité tu la connais comme elle te connait
Depuis ton départ, j’attends le retour de mes esprits,
Pour me réveiller enfin dans la joie d’un enfant
Qui reçoit son cadeau de l’Aïd dans ses vêtements flamboyants
Courir enfin dans les petites artères du village
Salué dans la bonne humeur tous les gens au passage
Sourire à toutes les femmes dans les jardins et fontaines
Un jour, un autre, avec toi à mes cotés
Pour me réveiller à la même heure chaque matin à coté de ton corps
Sentir sa chaleur qui me transpire, et ton odeur qui m’inspire
Les plus beaux poèmes de la manière
Elle est venue sur moi la douceur, avec sa main de dentelle
Me caressé sur les cheveux, elle m’ouvrait les yeux sans les ouvrir
Elle m’arrache d’un sommeil profond dans le monde des fables
Des pierres qui chantent sous les arbres qui parlent
Elle me tient par sa main d’eau claire,
Et me caressa le nez avec son parfum si cher
Elle me chanta les lettres de ton amour, et me conduit vers toi
J’étais le bonhomme le plus joyeux sous les cieux
Et je ne croyais mes yeux noyés dans ces lieux, sous mille lieux
Ne m’attends pas ce soir si je retourne à mon sommeil
Je voudrais tellement être dans ta discussion, dans l’eau de ta bouche
Pour l’asséchée comme mon cœur aride
Qui espère longuement les pluies brulantes de tes larmes
Qui aspire pitoyablement les goutes noires de ta plume
J’ai su que tu voulais de mes nouvelles toujours impatiente
Toujours pour écrire tu te sens Impuissante,
Je sais cela mon amour impossible, ne soit point inquiétante
J’ai su tes tristesses par le vent frais sur les feuilles de tes écrits
Je le sens toujours battre ce cœur pour moi comme un destin
Mais le destin ne veut répondre à mes festins
Pourrai-je un jour trouver la paix des ombres
Le repos de l’oubli qui efface toutes les blessures,
Lassé de moi à être le même, je ne change point
Je ne change pas ma chandelle fleur luisante
Malgré tout ce grand amour que je te porte
J’oublis toujours d’ouvrir et fermer les portes,
J’oublis toujours les promesses que j’en porte
La terre s’efface sous mes pieds, je gravite sous les nuages
Je me réveille en sursaut et je cris de toute mes forces
Les noms de ceux que j’aime,
J’avais peur que la solitude me parle
Dans sa voie morte et me dise « le rêve est fini »
Postr@
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