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Le projet du lancement des cartes à puce au profit des assurés sociaux verra bientôt le jour puisque pas plus tard qu’hier, les responsables du ministère de la Sécurité sociale et les responsables de la direction de la CNAS ont procédé à l’ouverture des plis.
Sur les 33 soumissionnaires qui ont procédé au retrait des cahiers des charges auprès des services de la CNAS, 8 offres émanant de grandes entreprises algériennes et étrangères, plus particulièrement françaises, ont été retenues dans cette présélection. L’évaluation technique et financière, dira le chargé du projet, M. Touati Boualem, de la direction de la CNAS, se fera dans une semaine. Il a affirmé que les offres financières varient entre 30 millions et 13 millions d’euros, mais il a tenu à préciser que ses services sont dans l’obligation de non seulement prendre en compte le volet financier mais de savoir avec exactitude que proposent sur le volet technique les soumissionnaires.
Il est vrai, selon M.Touati Boualem, que les soumissionnaires sont de grosses boîtes, «des leaders mondiaux en matière de carte à puce, notamment pour les grandes entreprises françaises. Mais cela ne nous empêche pas de bien tester le côté technique et les propositions que feront les entreprises présélectionnées pour la concrétisation de ce projet», a-t-il affirmé. L’on compte du côté étranger, plutôt des françaises, 5 entreprises (Top Carte monétique, Imprimerie nationale de France, SAGEM, AXACTO, Oberthure). Du côté algérien, trois entreprises ont été présélectionnées: il s’agit en fait de la nouvelle entreprise de carte à puce HB Technologie et de deux entreprises algériennes, SAIM et GEM Plus. Le chargé du projet a signalé que l’étude des offres sera clôturée le 15 décembre pour que la sélection définitive soit faite et remise au conseil d’administration, puis au ministère du Travail dès le mois de janvier pour son approbation.
Ceci étant, la première phase du projet sera donc lancée à partir du mois de février de l’année 2006. Il s’agit, selon M. Touati, d’une opération pilote, une phase test qui concernera 5 wilayas du pays et touchera 700.000 assurés sociaux, soit 10% de la population des assurés. Selon toujours le chef du projet, la généralisation de l’opération se fera en 2007 à la lumière des résultats. Il a affirmé qu’en 2008, l’ensemble des assurés sociaux disposeront d’une carte à puce et l’ensemble des pharmaciens, médecins et structures hospitalières (privé et public) disposeront des moyens pour l’utilisation de ces cartes.
En fait, ce projet s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme de modernisation engagé par le département de Tayeb Louh. Il s’agit de plusieurs projets qui ont été mis en oeuvre, dont le plan informatique de développement, qui englobe le lancement d’une carte à puce pour les assurés sociaux. Une carte qui comportera l’ensemble des informations et des données concernant l’assuré (nature de sa maladie, ses traitements, ses médecins traitants ou la structure hospitalière où il a subi des soins, son travail, etc. Cette carte permettra à l’assuré et notamment aux partenaires conventionnés le transfert de données sécurisées, la signature électronique, le contrôle et le suivi permanent. C’est un moyen qui servira en premier lieu à lutter contre la fraude.
Sur les 33 soumissionnaires qui ont procédé au retrait des cahiers des charges auprès des services de la CNAS, 8 offres émanant de grandes entreprises algériennes et étrangères, plus particulièrement françaises, ont été retenues dans cette présélection. L’évaluation technique et financière, dira le chargé du projet, M. Touati Boualem, de la direction de la CNAS, se fera dans une semaine. Il a affirmé que les offres financières varient entre 30 millions et 13 millions d’euros, mais il a tenu à préciser que ses services sont dans l’obligation de non seulement prendre en compte le volet financier mais de savoir avec exactitude que proposent sur le volet technique les soumissionnaires.
Il est vrai, selon M.Touati Boualem, que les soumissionnaires sont de grosses boîtes, «des leaders mondiaux en matière de carte à puce, notamment pour les grandes entreprises françaises. Mais cela ne nous empêche pas de bien tester le côté technique et les propositions que feront les entreprises présélectionnées pour la concrétisation de ce projet», a-t-il affirmé. L’on compte du côté étranger, plutôt des françaises, 5 entreprises (Top Carte monétique, Imprimerie nationale de France, SAGEM, AXACTO, Oberthure). Du côté algérien, trois entreprises ont été présélectionnées: il s’agit en fait de la nouvelle entreprise de carte à puce HB Technologie et de deux entreprises algériennes, SAIM et GEM Plus. Le chargé du projet a signalé que l’étude des offres sera clôturée le 15 décembre pour que la sélection définitive soit faite et remise au conseil d’administration, puis au ministère du Travail dès le mois de janvier pour son approbation.
Ceci étant, la première phase du projet sera donc lancée à partir du mois de février de l’année 2006. Il s’agit, selon M. Touati, d’une opération pilote, une phase test qui concernera 5 wilayas du pays et touchera 700.000 assurés sociaux, soit 10% de la population des assurés. Selon toujours le chef du projet, la généralisation de l’opération se fera en 2007 à la lumière des résultats. Il a affirmé qu’en 2008, l’ensemble des assurés sociaux disposeront d’une carte à puce et l’ensemble des pharmaciens, médecins et structures hospitalières (privé et public) disposeront des moyens pour l’utilisation de ces cartes.
En fait, ce projet s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme de modernisation engagé par le département de Tayeb Louh. Il s’agit de plusieurs projets qui ont été mis en oeuvre, dont le plan informatique de développement, qui englobe le lancement d’une carte à puce pour les assurés sociaux. Une carte qui comportera l’ensemble des informations et des données concernant l’assuré (nature de sa maladie, ses traitements, ses médecins traitants ou la structure hospitalière où il a subi des soins, son travail, etc. Cette carte permettra à l’assuré et notamment aux partenaires conventionnés le transfert de données sécurisées, la signature électronique, le contrôle et le suivi permanent. C’est un moyen qui servira en premier lieu à lutter contre la fraude.
Trés bonne initiative et gare aux fraudes ! la carte Vital en France à fait l'objet de plusieurs utilisations frauduleuse.
Ca bouge enfin !
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