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Pétrole : la Sonatrach va mettre en sommeil certains projets

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  • Pétrole : la Sonatrach va mettre en sommeil certains projets

    Le pétrolier algérien Sonatrach réfléchirait à geler certains de ses grands projets d'investissement, selon 'La Tribune', notamment la raffinerie de Tiaret. Des informations confirmées par le président de la compagnie lui-même, Mohamed Meziane. Ce sont essentiellement les projets pétrochimiques qui seront touchés, alors que l'entreprise a prévu de maintenir ses 45 Milliards de Dollars d'investissement entre 2008 et 2012 (66% dans l'amont, 34% dans l'aval).

    Bourse.Challenges.fr

  • #2
    des difficultés àsaisir : ils gelent des investissements d'une part et ils maintiennent des investissements avec une valeur de 45 milliars de dollars sur 4 ans d'autre part c ça ?
    la raffinerie de tiaret est en construction; le projet est entre les mains des chinois comment faire pour geler un projet industriel en pleine realisation?!! du pur fantasme ..autre remarque , les investissements petrochimiques ne sont pas decidés par sonatrach mais par le ministere de l'energie , sonatrach est un outil de la politique energetique , industrelle du pays , exemple , le ministre ed l'energie pourrait a la riguer revoir la distribution des actifs sur les nouveaux investissement s, en redirigeant les efforts financiers propres de sonatrach vers son metier de base àsavoir l'exploration, exploitation ??et que c l'etat qui garantira financierement les nouveaux investissements en petrochimie ..
    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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    • #3
      un pays monoiexportateur qui investit 45 milliars de dollars en 4 ans ds la petrochimie uniquement vaut mieux qu'une puissance exportatrice qui tend la main pour acheter son blé , tu ne le pense pas si hamza ?

      ceci dit , juste pour cadrer les choses ds leur contexte; les firmes petrolieres gelent des projets industriels , arretent meme l'exploitation de certains gisements non conventionnels car tt simplement devenus non rentables .. actuellement .. c comme ces gisements de petrole où le petrole coute 60 dollars au puit ..pour ce qui est des projets petrochimiques algeriens , ils concernent la raffinage , les engrais , les gazs indistriels, les matieres premieres plastique ;.donc aucun risque de non rentabilité .. juste une question de rationalité d'utilisation des ressources financieres .
      en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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      • #4
        très belle réponse jamaloup, pour ceux qui comprennent.

        galek el7hore yefham belghamza ouelbeti bedebza.

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        • #5
          un pays monoiexportateur qui investit 45 milliars de dollars en 4 ans ds la petrochimie uniquement vaut mieux qu'une puissance exportatrice qui tend la main pour acheter son blé , tu ne le pense pas si hamza ?
          Non je le pense pas. Pourquoi ? relis ta réponse tu trouveras ma réponse.
          ceci dit , juste pour cadrer les choses ds leur contexte; les firmes petrolieres gelent des projets industriels , arretent meme l'exploitation de certains gisements non conventionnels car tt simplement devenus non rentables ..
          Justement la Sonatrach se trouve hors de ce cadre, tout simplement parce que c'est une entreprise étatique qui benificie d'un appui financier et administratif de la part du gouvernement. Contrairement aux entreprises dont tu parles qui relèvent du secteur privé, donc aide limitée de la part du gouvernement, si ce n'est absente. De plus tu ne peux pas comparer la situation de Sonatrach aux autres entreprises, vu le cout faible/moyen de l'extraction du pétrole en Algérie, contrairement aux differents coins du globe ou l'extraction d'un baril peut aller jusqu'a 40$. C'est pour cela que les dirigeants algériens disent que l'Algérie peut tenir jusqu'a 5 ans en cette période de crise et avec un prix du baril de 25$, c'est parce que tout simplement les résultats de Sonatrach seront toujours aux verts ( Benefice seulement dans le secteur pétrolier, quant a la balance elle sera dificitaire, du coup, recours aux reserves de change.

          Pour l'autre qui se la joue intello, je le laisse méditer sur cet adage : Makidkhoul mabine l'7am ou dfar ghir loussekh..

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          • #6
            amicalement tu sais tres bien que sauf quelques exceptions , nos marocains de FA ne sont pas ici pour comprendre , ils viennent avec leur idées preconçues , avec leur articles propagandistes , bref pas pour discuter mais pour convaincre , ils ne font ds la rhetorique alawite ..
            àpropos du sujet , sur aljazeera ,le koweit vient de rompre un contrat en petrochimie avec les americains , valeur :17,5 milliars de dollars, seulement remarque :le contrat a été rompu par le parlement kowetien contre l'avis du gouvernement ....je pense que c dans le doute , et les hesitations actuelles qu'il faut maintenir de tels projets , dans qques années ils donneront de l'or
            en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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            • #7
              Un organisme de financement de l'investissement sera créé prochainement
              La pétrochimie bénéficiera d'un soutien accru de l'Etat


              Le Maghreb (16-12-2008)

              Le développement de la pétrochimie reste l'un des axes majeurs de la nouvelle politique industrielle. Au vu de l'importance du secteur, le gouvernement entend apporter une aide spécifique au développement de certains projets. Il est vrai que le P-DG de la Sonatrach, M. Mohamed Meziane, avait exclu, samedi, tout arrêt de projets d'investissement de la compagnie qui serait dû au manque de financement. Il a affirmé, à ce propos, que la quasi-totalité des projets de Sonatrach sont maintenus car "ils sont dans la phase de maturation" sans écarter néanmoins la possibilité de geler certains projets en pétrochimie et qui n'ont pas encore été attribués.

              N'oublions pas non plus que Sonatrach prévoit un plan d'investissement de 45,5 milliards de dollars entre 2008 et 2012, soit 8 milliards de dollars d'investissement annuellement. Aussi, les banques publiques, ayant enregistré un excès de liquidités, se sont récemment impliquées dans le financement de nombreux projets énergétiques dans le cadre de ce qu'on appelle le Project financing. C'est dans ce contexte particulier que le gouvernement entend aussi soutenir les efforts d'investissements dans le domaine de la pétrochimie''. C'est ainsi que dans le cadre du plan d'action présenté dimanche devant l'APN, par le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, le gouvernement annonce clairement qu'il accompagnera la réalisation, dans le pôle d'Arzew, des projets déjà conclus, à savoir l'unité de vapocraquage de l'éthane, l'unité de méthanol, et les trois unités de production d'ammoniac et d'urée. Le même plan prévoit également un soutien à six autres projets en cours de discussion, à savoir la réalisation d'unités respectivement de craquage de fuel, de naphta et d'acide téréphtalique et PET à Skikda, d'une unité de propane et polypropylène à Arzew, d'une unité d'ammoniac et dérivés à Béni Saf ainsi qu'une raffinerie de brut à Tiaret. Il s'agit également de poursuivre le développement de nouvelles capacités de production d'électricité, y compris à travers de nouvelles approches telles que la centrale hybride (solaire-gaz) de Hassi R'mel et la ferme éolienne de Tindouf, le renforcement des infrastructures énergétiques à l'image de la dorsale gazière Est-Ouest dans les Hauts-Plateaux et la promotion d'investissements destinés à la transformation des produits miniers.

              Partenariat : de nouvelles règles avant fin 2008

              Ne perdons pas de vue que le développement de la pétrochimie a beaucoup misé sur la notion de partenariat. Et ce n'est pas un trait caractéristique de la pétrochimie. Nombre de projets industriels d'importance devront recourir au partenariat. Et les pouvoirs publics n'ont pas l'intention de laisser la porte ouverte aux dérives et entendent bien encadrer les opérations. C'est ainsi qu'en matière de partenariat, le plan d'action du gouvernement précise qu'il bénéficiera de nouvelles orientations définies par le chef de l'Etat et les règlements seront finalisés avant la fin de l'année en cours.

              Ce faisant plus clair, le plan table sur la "recherche de partenaires étrangers de qualité qui pourront bénéficier du marché national consolidé par les plans de charge offerts par la relance économique en cours dans divers secteurs" et de "l'octroi de la gestion à partenaire à travers des associations, où différents investisseurs nationaux conserveront la majorité des capitaux". N'oublions pas que le gouvernement avait annoncé, l'été dernier, qu'il entendait bien conserver la majorité du capital dans tous les projets réalisés en partenariat. Le plan d'action du gouvernement précise également que certaines branches industrielles connaîtront un renforcement avec l'aboutissement de partenariats en cours de discussions à l'image de projets de partenariats dans les secteurs de la sidérurgie, de la transformation d'aluminium, de l'industrie pharmaceutique, de la production de ciment ainsi que de l'industrie automobile.

              Lever les financements nécessaires

              Le plan d'action cite également "la possibilité de lever les crédits nécessaires sur le marché local, ce qui constitue un avantage en cette période de raréfaction du crédit dans le monde". Aussi, le plan d'action du gouvernement prévoit la création d'un nouvel organisme national chargé exclusivement du financement des investissements. Ce nouvel organisme financier, dont le dossier est en cours de finalisation par le gouvernement, sera un autre outil de financement permettant aux opérateurs d'accéder aux ressources financières pour financer les projets d'investissements importants. Le plan d'action du gouvernement a cité le projet de création de cet organisme pour expliquer que les effets de la crise financière internationale ne seront pas une entrave aux gros projets d'investissements, notamment ceux relevant du domaine de la pétrochimie, de l'électricité ainsi que des mines et dérivés qui nécessitent des crédits importants. Par ailleurs, la poursuite de la modernisation de l'ensemble du secteur financier (banques, fiscalité, douanes...) est une action qui figure parmi les priorités du gouvernement. Dans le domaine fiscal, le gouvernement s'attellera à mettre en oeuvre les dispositions fiscales les plus récentes qui simplifient le contrôle pour les petits contribuables, allègent la pression fiscale sur les opérateurs économiques, augmentent les ressources des communes et renforcent la limitation aux transferts de bénéfices par les sociétés étrangères. Concernant le secteur de la PME, le plan d'action assure que le gouvernement veillera à la mise en oeuvre des mesures d'encouragement fiscales arrêtées cette année au profit des entrepreneurs, à l'application effective de la garantie de l'Etat désormais accordée aux crédits couverts par la caisse de garantie pour les PME (CGPME) et à l'accroissement du soutien à la mise à niveau des entreprises.

              Le plan d'action indique aussi que conformément aux directives présidentielles, un dossier global sera finalisé avant la fin 2008 en vue d'améliorer les conditions de promotion de l'investissement dans la PME.

              Samira G.
              Dernière modification par icosium, 29 décembre 2008, 13h54.
              "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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              • #8
                Sonatrach va investir également à l'international

                Sonatrach va investir 1,5 milliard $ d’ici 2012

                (Les Afriques) Sonatrach prévoit 1,5 milliard $ d'investissements d'ici à 2012. « Nous avons un plan à 2015 d'assurer 30% de notre chiffre d'affaires à travers l'international, que ce soit par la production, l'exploration, mais aussi la commercialisation » a déclaré Mohamed Meziane, le PDG de la compagnie.

                Mohamed Meziane a également annoncé la création en cours de la société de commercialisation du gaz en Espagne, en Italie et une prochaine en France.

                29-12-2008
                "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                • #9
                  hamza wallah g rien pigé de ton analyse , tu parle de pêtrole tu dis que la sonatrach sera tj au vert , par contre elle ne l'est plus sur les projets sur lesquels elle investit? , par definition un investissement quel quelquil soit est un risque ,economique , finacier, politique àprendre .. la sonatrach c'est pas l'algerie , je te l'ai dit , c'est le ministere de l'energie qui decide de la politique d'investissement ds le domaine ,de la politique d'investissement de sonatrach est influencée par les memes authorités puisques les actifs de sonatrach sont 100 % publiques .. l'essentiel est qu'à10 dollars sonatrach est au vert , et que les reserves de change peuvent faire tourner l'algerie avec tt ses investissements nouveaux pendant 5 ans .. ds 5 ans si la crise est tj là ses miseres auront l'air de rien devant celles des autres .
                  en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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