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VAE VICTIS ! ... ou le bis repetita de l’Holocauste !

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  • VAE VICTIS ! ... ou le bis repetita de l’Holocauste !

    Peut-être, en ces circonstances douloureuses pour la population de Gaza, martyre, est-il utile d’évoquer le crime odieux perpétré par l’armée des lâches contre... un enfant ! Par ces vers en alexandrins, je veux rendre hommage à mes frères de Palestine que l’on assassine sous l’œil complice des États européens et arabes !



    MOHAMED...le petit Palestinien


    C’est à toi, Mohamed, que sont dédiés ces vers.
    Je ne te connais point, mais ne peux d’un revers,
    Oublier ton visage encor plein d’innocence
    Meurtri injustement, sans raison ni décence
    Par des usurpateurs, arrogants et cruels,
    Qui, dans passé proche ne furent point les bels,
    Oubliant aujourd’hui les souffrances d’hier,
    Et se vengeant à tort sur toi, enfant fier,
    Que la mort a ravi, peut-on dire, au berceau
    Sans justice pour toi, jeune et beau lionceau.
    Je ne te connais point, mais ne peux oublier
    Tes sanglots sous les feux que l’on ne peut nier,
    Ceux de l’enfant candide, innocente victime
    De l’injustice aveugle, impitoyable, ultime,
    Des adeptes du Mal, féroces, sans pitié,
    Égorgeant sans raison ton peuple, de moitié,
    Pillant sans vergogne, ses terres, ses maisons,
    Ne lui laissant ainsi, pour de fortes raisons,
    Que le choix des pierres, en combat inégal
    Contre la mitraille, les canons de Tsahal.
    Je ne peux oublier, et me souviens encor
    De tes derniers sanglots, qui sonnent comme un cor
    Aux oreilles d’un monde aveugle, sourd, muet,
    Qui n’écoute, inique, sans voir l’enfant fluet
    Que d’un côté unique, des Sirènes les chants
    De ceux qui ont force, ceux appelés puissants.
    Je revois ton visage étreint et mortifié
    Par la peur de mourir, caché avec pitié
    Par un père impuissant, arborant drapeau blanc
    Sans espoir et en vain, protégeant sous son flanc
    Ton petit corps frêle, tremblant et terrifié
    Effarouché, hagard, frémissant, horrifié
    Ne trouvant point refuge et n’ayant point de choix
    Que d’attendre la mort, qui éteindra ta voix.
    Soudain le jet fatal, ce jet du misérable
    Te touche de plein front, toi l’enfant adorable.
    Tu croules, inconscient, de sang tout maculé,
    Tes yeux fermés déjà, sur ce monde souillé
    Ne s’ouvriront jamais que dans un au-delà
    Où n’a cours l’assassin, que tu désignes là.
    Tu n’iras plus jouer, comme tous les enfants
    Tu ne rentreras plus pour baiser tes parents.
    Adieu, pour toujours, Mohamed, mon petit,
    Je ne t’oublierai que si Mort nous unit.

    signé... Makhlouq

    labanlieuesexprime.org

  • #2
    la banlieue s'exprime ce site est passablement raciste, son animateur Ahmed Moualek avait appelé à voter le gros porc de Le pen, donc lire un pareil torchon, c'est pas mon genre .

    c'est pas avec un terreau d'extreme droite qu'on peut envisager la paix sur la terre, ça se saurait


    PS

    VAE VICTIS c'est le nom d'un groupe de rock identitaire qui voue une haine sans merci aux juifs ET AUX ARABES

    franchement, j'espère que tu as d'autres références que tes références de fachos
    Dernière modification par skaya, 30 décembre 2008, 16h22.
    Ni dieu ni maitre

    Commentaire


    • #3
      la banlieue s'exprime ce site est passablement raciste, son animateur Ahmed Moualek avait appelé à voter le gros porc de Le pen, donc lire un pareil torchon, c'est pas mon genre .
      La labanlieuesexprime.org est libre d'appeler à voter pour qui elle veut , et si c'est un délit , je pense qu'il y' a en France , des magistrats et une justice plus compétents que moi dans ce genre d'affaires , en plus personne ne t'oblige à lire "pareil torchon" quant à moi , je continue à poster tout article que je trouve pertinent et ce quelque soit la source.
      VAE VICTIS c'est le nom d'un groupe de rock identitaire qui voue une haine sans merci aux juifs ET AUX ARABES
      Avant de poster ce poème , j'ai d'abord cherché la signification de VAE VICTIS que je ne connaissais pas :

      """ Vae Victis est une expression latine signifiant malheur aux vaincus, et prononcée par le chef gaulois Brennos qui avait vaincu Rome. De nos jours, cette expression s'emploie pour rappeler que le vaincu est à la merci du vainqueur, surtout pendant les négociations qui suivent le combat.

      in http://fr.wikipedia.org/wiki/Vae_Victis """"

      et ton groupe de rock ,je ne connais pas non plus , les gens qui crient et s'agitent derrière un micro ,ça ne m'interresse pas , je suis plutôt chansons à texte genre chaâbi algérois.

      franchement, j'espère que tu as d'autres références que tes références de fachos
      A part ces invectives non justifiées à mon sens, tu n'as rien dit sur le poème et pour une militante anti-facho , tu n'as pas réagi comme beaucoup ici sur le dernier crime islamophobe perpétré en France dans la région lyonnaise , en fait c'est le poème qui rappelle l 'assassinat de l'enfant Mohamed Adura par la soldatesque sioniste qui t'a géné ,je connais bien les "droitsdelhommistes" à géométrie variable dans ton genre :
      Dernière modification par DZone, 30 décembre 2008, 17h58.

      Commentaire


      • #4
        Que répondre à ces affirmations
        cites les sources d'extreme droite si tu veux, après tout, tu est libre !!! mais à mes yeux ce genres de sources n'ont pas un poil de crédbilité, vu leur haine viscérale du peuple juif, depuis des années, ils profitent de l'état de guerre en Palestine pour cracher leur venin, moi ce que j'en dit, c'est que ce site est une boutique de propagande antisémite.


        Je suis antisionniste mais pas antisémite, un excellent article de Pierre Stambul


        http://www.ujfp.org/modules/news/art...hp?storyid=394



        B]le cri de MAATA Sadek Bagdad :[/B]

        MOHAMED…le petit Palestinien

        C’est à toi, Mohamed, que sont dédiés ces vers.

        Je ne te connais point, mais ne peux d’un revers,

        Oublier ton visage encor plein d’innocence

        Meurtri injustement, sans raison ni décence

        Par des usurpateurs, arrogants et cruels,

        Qui, dans passé proche ne furent point les bels,

        Oubliant aujourd’hui les souffrances d’hier,

        Et se vengeant à tort sur toi, enfant fier,

        Que la mort a ravi, peut-on dire, au berceau

        Sans justice pour toi, jeune et beau lionceau.



        Je ne te connais point, mais ne peux oublier

        Tes sanglots sous les feux que l’on ne peut nier,

        Ceux de l’enfant candide, innocente victime

        De l’injustice aveugle, impitoyable, ultime,

        Des adeptes du Mal, féroces, sans pitié,

        Égorgeant sans raison ton peuple, de moitié,

        Pillant sans vergogne, ses terres, ses maisons,

        Ne lui laissant ainsi, pour de fortes raisons,

        Que le choix des pierres, en combat inégal

        Contre la mitraille, les canons de Tsahal.



        Je ne peux oublier, et me souviens encor

        De tes derniers sanglots, qui sonnent comme un cor

        Aux oreilles d’un monde aveugle, sourd, muet,

        Qui n’écoute, inique, sans voir l’enfant fluet

        Que d’un côté unique, des Sirènes les chants

        De ceux qui ont force, ceux appelés puissants.

        Je revois ton visage étreint et mortifié

        Par la peur de mourir, caché avec pitié

        Par un père impuissant, arborant drapeau blanc

        Sans espoir et en vain, protégeant sous son flanc



        Ton petit corps frêle, tremblant et terrifié

        Effarouché, hagard, frémissant, horrifié

        Ne trouvant point refuge et n’ayant point de choix

        Que d’attendre la mort, qui éteindra ta voix.

        Soudain le jet fatal, ce jet du misérable

        Te touche de plein front, toi l’enfant adorable.

        Tu croules, inconscient, de sang tout maculé,

        Tes yeux fermés déjà, sur ce monde souillé

        Ne s’ouvriront jamais que dans un au-delà

        Où n’a cours l’assassin, que tu désignes là.



        Tu n’iras plus jouer, comme tous les enfants

        Tu ne rentreras plus pour baiser tes parents.

        Adieu, pour toujours, Mohamed, mon petit,

        Je ne t’oublierai que si Mort nous unit.
        Dernière modification par skaya, 30 décembre 2008, 19h29.
        Ni dieu ni maitre

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        • #5
          skaya je me demande a quoi ça t'a servi de re-poster le même poème?!

          Sinon, ce poème est très touchant et très émouvant

          Commentaire

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