Le Président Abdelaziz Bouteflika a annoncé la fin des années d’embellie et d’aisance financière qu’a connue l’Algérie depuis plus de neuf ans, et le début des années d’austérité.
Des années qui imposent à l’Etat « la macération dans la dépense de ses ressources financières à cause des répercussions négatives de la crise économique mondiale et le recul des revenus des exportations pétrolières.»
Le Président Abdelaziz Bouteflika a appelé le peuple à « se serrer la ceinture » et à se retrousser les manches, à ne pas compter sur l’Etat et à renforcer la solidarité et la mutualité sociale à cause des années d’austérité qui menacent l’Algérie à l’effet de la crise économique mondiale.
Le Président Abdelaziz Bouteflika a affirmé, lors de sa visite à Ghardaïa, qu’il n’y a plus autant d’argent dans les caisses, et « il n’y a plus de surplus financier dans le trésor public pouvant être distribué ». Il a indiqué « on a pas un seul dinar d’excèdent, et si on l’avait, on l’aurait remis à la wilaya de Ghardaïa. »
Selon le Président « Si, par le passé, l’Etat était généreux dans la distribution des fonds, des projets et des dons aux wilayas, alors ça ne sera plus le cas prochainement.»
Le Président Bouteflika a avoué « Si les appareils et les institutions de l’Etat avaient fait leur devoir, la question serait plus facile et la situation serait meilleure.» A noter que c’est le deuxième aveu d’échec exprimé par le Président après celui exprimé lors de l’ouverture de la conférence des présidents d’APC (Assemblée Populaire Communale).
El Khabar
Des années qui imposent à l’Etat « la macération dans la dépense de ses ressources financières à cause des répercussions négatives de la crise économique mondiale et le recul des revenus des exportations pétrolières.»
Le Président Abdelaziz Bouteflika a appelé le peuple à « se serrer la ceinture » et à se retrousser les manches, à ne pas compter sur l’Etat et à renforcer la solidarité et la mutualité sociale à cause des années d’austérité qui menacent l’Algérie à l’effet de la crise économique mondiale.
Le Président Abdelaziz Bouteflika a affirmé, lors de sa visite à Ghardaïa, qu’il n’y a plus autant d’argent dans les caisses, et « il n’y a plus de surplus financier dans le trésor public pouvant être distribué ». Il a indiqué « on a pas un seul dinar d’excèdent, et si on l’avait, on l’aurait remis à la wilaya de Ghardaïa. »
Selon le Président « Si, par le passé, l’Etat était généreux dans la distribution des fonds, des projets et des dons aux wilayas, alors ça ne sera plus le cas prochainement.»
Le Président Bouteflika a avoué « Si les appareils et les institutions de l’Etat avaient fait leur devoir, la question serait plus facile et la situation serait meilleure.» A noter que c’est le deuxième aveu d’échec exprimé par le Président après celui exprimé lors de l’ouverture de la conférence des présidents d’APC (Assemblée Populaire Communale).
El Khabar
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