En dépit du petit nombre de journalistes jugés
« Reporters sans frontières » classe l’Algérie à la 121ème position
L’organisation « Reporters Sans Frontières » a classé l’Algérie à la 121ème position en termes de respect de la liberté de la presse en 2008.
Elle a, néanmoins, constaté qu’il n’y a pas eu beaucoup de journalistes jugés par rapport aux années précédentes.
Dans le classement concernant le taux de garantie de la liberté de l’Information dans le monde, établi chaque année par l’organisation internationale « Reporters sans frontières », il a été indiqué qu’environ 10 journalistes algériens ont été jugés en 2008. Elle a qualifié, dans son rapport, le tribunal d’Alger Centre de « salle de rédaction », faisant allusion aux multiples journalistes qui y sont jugés.
Elle a donné l’exemple du directeur d’El Watan, M. Omar Belhouchet et du journaliste rédacteur de l’éditorial du même journal Amari Chawki qui ont été condamnés pour diffamation.
Cette organisation, qui est présidée par Robert Minar, a placé l’Algérie à la 121ème position en termes de respect des pays de la liberté de la presse. L’Algérie a été classée en deuxième position après le Maroc dont les autorités jettent les journalistes dans les prisons. La Libye a été classée par cette organisation à la 166ème position. Quant à la Mauritanie, elle a été classée comme meilleurs pays Maghrébin dans ce cadre, alors que la Tunisie, est classée parmi les derniers pays du Maghreb Arabe dans ce domaine.
Ce rapport a donné d’autres exemples de journaux dont les journalistes ont été condamnés. Il a expliqué, par ailleurs, que le journaliste, Arezki Ait Larbi, qui est un correspondant de journaux français, a été acquitté 10 ans après la plainte qui a été déposée contre lui pour diffamation, par le Directeur des Prisons. Le rapport a indiqué que la situation des journalistes algériens est « précaire » et que les autorités ferment les yeux concernant leurs revendications portant l’amendement de la loi sur l’Information, qui autorise la détention des journalistes pour des affaires relatives à des délits de presse.
« Reporters sans frontières » classe l’Algérie à la 121ème position
L’organisation « Reporters Sans Frontières » a classé l’Algérie à la 121ème position en termes de respect de la liberté de la presse en 2008.
Elle a, néanmoins, constaté qu’il n’y a pas eu beaucoup de journalistes jugés par rapport aux années précédentes.
Dans le classement concernant le taux de garantie de la liberté de l’Information dans le monde, établi chaque année par l’organisation internationale « Reporters sans frontières », il a été indiqué qu’environ 10 journalistes algériens ont été jugés en 2008. Elle a qualifié, dans son rapport, le tribunal d’Alger Centre de « salle de rédaction », faisant allusion aux multiples journalistes qui y sont jugés.
Elle a donné l’exemple du directeur d’El Watan, M. Omar Belhouchet et du journaliste rédacteur de l’éditorial du même journal Amari Chawki qui ont été condamnés pour diffamation.
Cette organisation, qui est présidée par Robert Minar, a placé l’Algérie à la 121ème position en termes de respect des pays de la liberté de la presse. L’Algérie a été classée en deuxième position après le Maroc dont les autorités jettent les journalistes dans les prisons. La Libye a été classée par cette organisation à la 166ème position. Quant à la Mauritanie, elle a été classée comme meilleurs pays Maghrébin dans ce cadre, alors que la Tunisie, est classée parmi les derniers pays du Maghreb Arabe dans ce domaine.
Ce rapport a donné d’autres exemples de journaux dont les journalistes ont été condamnés. Il a expliqué, par ailleurs, que le journaliste, Arezki Ait Larbi, qui est un correspondant de journaux français, a été acquitté 10 ans après la plainte qui a été déposée contre lui pour diffamation, par le Directeur des Prisons. Le rapport a indiqué que la situation des journalistes algériens est « précaire » et que les autorités ferment les yeux concernant leurs revendications portant l’amendement de la loi sur l’Information, qui autorise la détention des journalistes pour des affaires relatives à des délits de presse.
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