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Le gros village de Tizi Ameur dans la commune de Aïn Zaouïa dans la daïra de Draâ El Mizan, sis à environ une quarantaine de km au sud-ouest du chef-lieu de wilaya Tizi Ouzou, a été le théâtre d’un affreux crime qui a bouleversé la région de Boumahni.
En effet, alors que rien ne le laissait prévoir, un homme, B.M, âgé d’environ quarante ans et enseignant au centre de formation professionnel de Mechtras dans la daïra de Boghni, sans doute pris d’un excès de folie, dimanche dernier vers les neuf heures, a assassiné sa femme. Selon les gens de ce village, l’enseignant a tout simplement égorgé sa femme à la suite d’une dispute de couple et, semble-t-il, devant les enfants qui assistaient, hagards, au crime.
Le plus âgé des enfants, une fillette de treize ans qui, paraît-il, aurait hélas, assisté à l’innommable. La victime est mère de cinq enfants et âgée de 38 ans. On ne connaît pas le mobile ayant poussé ce père à cette extrémité, lui qui paraissait être équilibré, mais a toujours été un solitaire, assurant correctement son travail et très peu amateur des cafés et autres lieux publics.
La gendarmerie de Frikat, qui s’est déplacée sur les lieux du drame, aura à mener son enquête pour essayer d’éclaircir les raisons du drame. On sait que l’assassin s’est constitué prisonnier auprès de la garde communale de Boumahni après avoir accompli son forfait. L’affaire a été prise en main par la gendarmerie de Frikat.
- L'Expression
En effet, alors que rien ne le laissait prévoir, un homme, B.M, âgé d’environ quarante ans et enseignant au centre de formation professionnel de Mechtras dans la daïra de Boghni, sans doute pris d’un excès de folie, dimanche dernier vers les neuf heures, a assassiné sa femme. Selon les gens de ce village, l’enseignant a tout simplement égorgé sa femme à la suite d’une dispute de couple et, semble-t-il, devant les enfants qui assistaient, hagards, au crime.
Le plus âgé des enfants, une fillette de treize ans qui, paraît-il, aurait hélas, assisté à l’innommable. La victime est mère de cinq enfants et âgée de 38 ans. On ne connaît pas le mobile ayant poussé ce père à cette extrémité, lui qui paraissait être équilibré, mais a toujours été un solitaire, assurant correctement son travail et très peu amateur des cafés et autres lieux publics.
La gendarmerie de Frikat, qui s’est déplacée sur les lieux du drame, aura à mener son enquête pour essayer d’éclaircir les raisons du drame. On sait que l’assassin s’est constitué prisonnier auprès de la garde communale de Boumahni après avoir accompli son forfait. L’affaire a été prise en main par la gendarmerie de Frikat.
- L'Expression
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