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Jugement d'un gosse de 5 ans

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  • Jugement d'un gosse de 5 ans

    Cela s'est passé lundi dernier à Ménéa, près de Ghardaïa. Le petit Oussama est accusé - tenez-vous bien !- de coups et blessures sur la personne d'une proche parente qui ne serait autre que sa tante paternelle. L'enfant ne s'exprimant pas encore convenablement, l'audition par la police ainsi que l'interrogatoire du juge ont tourné court, « l'accusé » s'étant muré dans un silence entrecoupé de sanglots, ne comprenant visiblement pas ce qui lui arrive.
    En matière d'amour comme de testaments, le dernier est le seul valide et annule les précédents.

  • #2
    :22: :22: :22: sans commentaire :22: :22: :22:
    Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue.

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    • #3
      la hchouma pour sa tante paternelle :22:


      PS : ton lien ne s'affiche pas .

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      • #4
        Ya déjà eu un topic comme ça , je me souvien plus du titre

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        • #5
          Malade, la justice algérienne se couvre de ridicule en jugeant un enfant de cinq ans:

          peut-on juger les juges ?

          Une fois de plus la Justice algérienne fait parler d'elle et se couvre de ridicule en jugeant un enfant de cinq ans en séance publique et après l'avoir convoqué personnellement et fait auditionner par la police locale sur ordre du juge.

          Cela s'est passé lundi dernier à Ménéa, près de Ghardaïa. Le petit Oussama est accusé - tenez-vous bien !- de coups et blessures sur la personne d'une proche parente qui ne serait autre que sa tante paternelle.

          L'enfant ne s'exprimant pas encore convenablement, l'audition par la police ainsi que l'interrogatoire du juge ont tourné court, « l'accusé » s'étant muré dans un silence entrecoupé de sanglots, ne comprenant visiblement pas ce qui lui arrive.

          L'enfant a tout de même été blâmé et son père condamné à régler tous les frais de justice. Le pauvre Oussama serait traumatisé et nul ne peut prévoir les séquelles futures de ce traumatisme.

          Au-delà du zèle incompréhensible et frisant le ridicule de l'instance judiciaire locale, il convient de souligner que le magistrat en charge de « l'affaire » a gravement violé les procédures en matière de jugement des délits des mineurs, notamment en présentant l'intéressé en audience publique.

          De même qu'il fait fi de toutes les conventions ratifiées par l'Etat algérien en matière de protection de l'enfance. Dès lors, une question bigrement sérieuse se pose : y a-t- il, dans le dispositif judiciaire algérien, une possibilité de juger les juges en faute ? Ou, chargés de rendre la justice, seraient-ils eux-mêmes au dessus de cette justice qui fait parler d'elle trop souvent ces derniers temps ?

          On se rappelle de Habiba, cette jeune femme de Tiaret, traînée devant les tribunaux pour s'être convertie au christianisme et pour avoir été en possession d'exemplaires de la Bible.

          L'affaire avait défrayé la chronique, tout comme celle des trois ouvriers d'Alger jetés en prison où ils ont croupi près de deux mois avant d'être relaxés et dont le crime se résume au fait d'avoir fumé en plein jour, sur leur chantier, durant le mois de ramadhan.

          Pour le même « délit », de jeunes gens ont été condamnés, à Biskra, à trois ans de prison ferme et de lourdes amendes et ils ne devraient leur salut qu'à l'injonction des plus hautes autorités de l'Etat, notamment celle du chef du gouvernement.

          Les exemples sont nombreux et, à chaque fois, l'attitude de la Justice a été scandaleuse. Cela est inacceptable et interpelle à la fois les autorités et les consciences.

          Il ne s'agit ici que de cas rapportés par les médias, mais combien d'Algériens ont été victimes d'erreurs judiciaires ou d'excès de zèle de la part de juges qui semblent échapper à tout contrôle ?


          Le fait est grave car tout se passe comme si certains magistrats, forts de leurs prérogatives et assurés de leur impunité, troquent trop souvent leur casquette de juges contre celle de militants, surtout pour tous les délits touchant de près ou de loin à la religion.

          Le tout dans un pays où les libertés individuelles, collectives et de conscience sont constitutionnellement garanties...


          source: tout sur l algerie com

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          • #6
            le juge devrait etre relever de ces fonctions c'est honteux 5 ans ou on va
            عَلى قَدْرِ أهْلِ العَزْم تأتي العَزائِمُ

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            • #7
              Tragique...

              Le peu que j'ai lu dans ce qui est posté me porte à croire que ce jeune garçon aurait des problèmes de comportement.
              Ceci dit, il aurait fallu faire un diagnostique, cher à établir quels sont ses problèmes et lui donner de l'aide.

              Ces gens ne mérite pas de punition: Ils méritent qu'on les aide quand ils en ont besoin.

              Malheureusement en Algérie on est a des années limières derrière le reste du monde quant à nos façon d'élever et de traiter nos enfants, en général.

              Ceci me rappelle un incident il y a quelque années: Une personne assez âgée a un handicap: Il est bègue.
              Il s'adresse à quelqu'un difficilement... l'autre s'ennerve... et accuse le bègue de s'être moqué de lui....
              Inutile de parler de la suite: L'humiliation que le monsieur bèque a subi de la part des gens dit normaux...
              C'est avec tristesse que je vois cet enfant abandonné à son sort... et quel sera son avenir ?
              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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              • #8
                L'article est celui posté par Nedjma.
                En matière d'amour comme de testaments, le dernier est le seul valide et annule les précédents.

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