Plusieurs dizaines de membres de la police autonome palestinienne ont fait irruption à Gaza dans l'immeuble du Conseil législatif palestinien, qui tenait séance, pour protester contre la liberté d'action que l'Autorité de Mahmoud Abbas laisse au mouvement intégriste Hamas.
http://permanent.nouvelobs.com/etran...6383.html?1203
http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=6346&1506
Une vingtaine de policiers palestiniens ont pénétré lundi dans l'enceinte du parlement palestinien, tirant des coups de feu en l'air pour protester contre le manque de moyens des forces palestiniennes au lendemain de vifs affrontements avec des militants du Hamas dans la Bande de Gaza.
Les affrontements à Gaza et dans le camp de réfugiés voisin de Shati ont fait rage pendant six heures, ne s'apaisant que vers minuit dimanche après l'intervention de médiateurs égyptiens. Il s'agissait des accrochages palestiniens les plus violents depuis 1996. Les militants du Hamas ont attaqué un commissariat local avec des fusils d'assaut et des grenades RPG. Le numéro deux de la police dans le camp de Shati, Ali Makawi, a été tué dans les accrochages.
"Hier, nous n'avions pas assez de munitions", a expliqué l'un des policiers qui manifestaient lundi. "Nous n'avions rien pour nous protéger". "Donnez-nous au moins des balles pour protéger les gens et protéger nos commissariats", a-t-il plaidé. "Notre commandant est mort sous nos yeux et nous manquions de munitions". AP
Les affrontements à Gaza et dans le camp de réfugiés voisin de Shati ont fait rage pendant six heures, ne s'apaisant que vers minuit dimanche après l'intervention de médiateurs égyptiens. Il s'agissait des accrochages palestiniens les plus violents depuis 1996. Les militants du Hamas ont attaqué un commissariat local avec des fusils d'assaut et des grenades RPG. Le numéro deux de la police dans le camp de Shati, Ali Makawi, a été tué dans les accrochages.
"Hier, nous n'avions pas assez de munitions", a expliqué l'un des policiers qui manifestaient lundi. "Nous n'avions rien pour nous protéger". "Donnez-nous au moins des balles pour protéger les gens et protéger nos commissariats", a-t-il plaidé. "Notre commandant est mort sous nos yeux et nous manquions de munitions". AP
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