Un solo pour Soprano, composé par le grand Mozart comme dédicace à sa fiancée Constance.
Voici la sérénade pour vents, version sacrée, avec le plus sacré des instruments à vent, la voix.
Si on a souvent dit que celle de Dieu s'exprimait à travers la musique de Mozart, c'est notamment en pensant à cet "Et Incarnatus Est". Le compositeur arrive à suggérer un mouvement ascendant infini, comme une élévation extatique et sereine vers la perfection. Et cette musique qui parle d'incarnation, a trouvée son incarnation absolue dans le chant supernaturel, entrelacée par les bois (flûte, hautbois, basson).
Fermez les yeux et écouter frémir les poiles de vos poiles :
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Voici la sérénade pour vents, version sacrée, avec le plus sacré des instruments à vent, la voix.
Si on a souvent dit que celle de Dieu s'exprimait à travers la musique de Mozart, c'est notamment en pensant à cet "Et Incarnatus Est". Le compositeur arrive à suggérer un mouvement ascendant infini, comme une élévation extatique et sereine vers la perfection. Et cette musique qui parle d'incarnation, a trouvée son incarnation absolue dans le chant supernaturel, entrelacée par les bois (flûte, hautbois, basson).
Fermez les yeux et écouter frémir les poiles de vos poiles :
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