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Barack Obama sera-t-il moins sioniste que George Bush?

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  • Barack Obama sera-t-il moins sioniste que George Bush?

    Pendant que les missiles des terroristes israéliens s'abattaient sur les Palestiniens à Gaza, le président-élu des Etats-Unis Barack Obama s'amusait en jouant au golf à Hawaï. Il n'a jusqu'à l'heure actuelle exprimé aucun avis sur le sujet. Ce qui laisse supposer qu'il approuve la stratégie criminelle d'Israel.

    Le 20 janvier prochain, Barack Obama sera inauguré. Pensez-vous qu'il tentera de modérer la position américaine en accélérant le processus de création d'un Etat palestinien indépendant, ou va-t-il au contraire s'efforcer de prouver aux chrétiens et aux juifs sionistes américains qu'ils avaient tort de douter de son amitié pour Israel ?

    Perso, je pense qu'il va suivre la 2e voie. Obama ne sera probablement pas moins sioniste que son prédécesseur.


    Barack Obama joue au golf pendant qu'Israel massacre les Palestiniens (30/12/2008).

  • #2
    En tous les cas il a dit qu'il privilégierais le dialogue avec l'Iran, chose qui ne servirait à rien si la politique américaine ne change pas en Palestine.
    Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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    • #3
      Il a parmi ses proches conseillers un ultra sioniste fils d'un ancien dirigeant du irgun milice terroriste juive avant la création de l'état sioniste Rahm Emanuel :

      La réponse de Rahm Emanuel offre aussi des indices d'une telle amitié, lorsqu'il explique que la racine du prénom Barack est Baruch, conférant ainsi une judaïté d'élection à Obama. Le père de Rahm est né à Jérusalem et fut membre de l'Irgun. Le judaïsme tout comme le sionisme sont des engagements indéfectibles pour le nouveau secrétaire général de la Maison Blanche. David Axelrod, un des plus proches et des plus efficaces conseillers d'Obama, fut aussi son témoin de mariage. Tout cela renvoie aux poubelles la propagande des Républicains qui présentèrent Obama comme "le candidat préféré du Hamas", même si cette organisation s'est déclarée contente de son élection.
      Confirmant qu'Obama incarne un au-delà du multiculturalisme (cf mon post du 20-10-2008), les résultats des élections montrent que 78% des Juifs américains ont voté pour lui (tout comme 68% d'Hispaniques et 56% des femmes), contrairement à leur prétendue peur d'un candidat supposé complaisant avec l'Iran. Ces données relativisent aussi les illusions des pro-Palestiniens qui croient, particulièrement en France, qu'Obama va renverser l'alliance des États-Unis avec Israël au profit d'un soutien à l'islamo-progressisme.
      http://philosophie.*****************...et-machia.html
      Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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      • #4
        Barack Obama, Israël et la Palestine

        Pendant sa campagne finalement victorieuse, Barack Obama avait pris rendez-vous avec le Proche et le Moyen-Orient, avec une liste de priorités qui ne comprenait pas nécessairement le dossier palestinien. Ses projets à moyen terme privilégiaient en effet un retrait en bon ordre d'Irak et une tentative d'ouverture de dialogue avec l'Iran pour l'empêcher d'accéder à l'arme nucléaire. M. Obama n'avait certainement pas songé devoir se pencher aussi vite sur Gaza et ses dépendances.

        En la matière, l'incertitude est particulièrement grande à propos de ce qu'il entend faire ou ne pas faire. Hormis un écart à propos de "l'indivisibilité" de Jérusalem devant l'assemblée annuelle du groupe de pression pro-israélien Aipac, le candidat Obama, silencieux depuis le début de l'offensive et qui n'avait jamais évoqué directement le sujet au cours des trois débats télévisés organisés pendant la campagne, s'en est tenu jusqu'à présent à du très classique : maintien de la relation unique qui lie les Etats-Unis et Israël, réaffirmation de l'impératif que constitue la sécurité de l'Etat juif, constat de la nécessité d'un Etat palestinien dans le cadre d'un accord négocié.

        Mis à part l'engagement de s'investir "dès le premier mois" dans ce processus de paix immobilisé par les échéances électorales israéliennes du 10 février, on est donc bien en peine de dire ce que la formule va recouvrir. Le poste d'envoyé spécial permanent pour la région, supprimé par George Bush, est en passe d'être recréé, mais pour y conduire quelle politique ?

        Les propos tenus par les émissaires du candidat dans divers cénacles laissent ouvertes bien des éventualités : de la modeste gestion de l'impasse (justifiée par l'absence de responsables charismatiques en Israël décidés à payer le prix de la paix, comme par la cassure du camp palestinien entre Fatah et Hamas), au choc constructif appuyé sur un solide corpus de textes de référence ("paramètres" Clinton de décembre 1999, "feuille de route" de juin 2003, Initiative de paix arabe de février 2002 relancée en mars 2007.) Ces textes devenus des classiques permettent d'entrevoir les modalités du règlement d'un conflit essentiellement territorial. Entre un think tank pro-israélien comme le Washington Institute for Near East Policy (Winep), qui plaide pour la sanctuarisation de la Cisjordanie contre le Hamas grâce à une coopération accrue entre les services de sécurité palestiniens et l'armée israélienne, et le Saban Center de la Brookings Institution, qui estime au contraire illusoire l'endiguement du Hamas, et qui prône la réinsertion des islamistes dans un gouvernement d'union qui laisserait la direction palestinienne négocier, une large palette d'options s'offre au nouveau président.

        Le contexte joue incontestablement en faveur de l'hypothèse d'un engagement limité. Selon Anthony Cordesman, du Center for Strategic and International Studies (CSIS), l'offensive israélienne contre Gaza aurait peut-être d'ailleurs comme objectif secondaire de dissuader le nouveau locataire de la Maison Blanche de prendre ce dossier à bras- le-corps.

        En Israël, le chef du Likoud, Benyamin Nétanyahou, plaide ouvertement en faveur d'une mise entre parenthèses du processus politique. L'ancien premier ministre prône "une paix économique" à même selon lui de réduire les tensions, et d'éviter les sujets délicats comme le sort de Jérusalem, le sort des réfugiés palestiniens ou le tracé des frontières. Son adversaire Tzipi Livni, qui dirige le parti centriste Kadima, dissuade également les Etats-Unis de s'entremêler dans le dialogue asymétrique avec les Palestiniens que les Israéliens affectionnent parce qu'il leur est particulièrement favorable.

        LES DISCOURS ET LA RÉALITÉ


        La rupture avec le statu quo actuel n'est pas non plus sans poser de problème à l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, fragilisée par l'opération contre Gaza, et qui s'arc-boute contre toute révision des relations avec le Hamas. Premier partenaire économique d'Israël et premier bailleur de fonds de l'Autorité palestinienne, l'Union européenne ne semble pas plus disposée à un tel réexamen qui vient de découpler sa relation avec Israël du dossier palestinien.

        Si Barack Obama devait faire ce choix d'un engagement minimal (que l'ancien émissaire Dennis Ross aurait résumé dans une formule assez saisissante "motion without movement", autrement dit le surplace), le camp assez homogène constitué par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne en serre-file illustrerait une nouvelle fois la formule utilisée en son temps à propos des Palestiniens par l'ancien ministre israélien des affaires étrangères Abba Eban, qui considérait que les premiers ne "perdent pas une occasion de perdre une occasion".

        Les opportunités n'ont pourtant pas manqué au cours des dernières années. Après l'élection de Mahmoud Abbas à la tête de l'Autorité palestinienne, le premier ministre israélien Ariel Sharon avait préféré à des négociations un retrait tactique de Gaza dont on mesure aujourd'hui les limites. Par la suite, ni l'accord interpalestinien de La Mecque, en 2007, ni la relance la même année, à Riyad (en présence du Hamas), de l'Initiative arabe (la normalisation en échange d'un retrait des territoires conquis en 1967) n'ont été saisis par les Occidentaux et par Israël.

        D'anciens conseillers de Bill Clinton du temps d'Oslo, comme Robert Malley, qui dirige le département Moyen-Orient du International Crisis Group qui voient leurs anciens collègues reprendre pied à la Maison Blanche, s'interrogent ouvertement sur leur capacité à prendre conscience des changements survenus depuis leur passage aux affaires et de tirer les leçons des échecs du processus d'Oslo que celui d'Annapolis, lancé en novembre 2007 par une administration Bush déjà en bout de course, a reproduits en accéléré.

        Le principal défaut d'Oslo a été identifié de longue date : le contraste entre les discours et la réalité sur le terrain. La stratégie occidentale vis-à-vis des territoires palestiniens se réduit pour l'instant à une approche conflictuelle : faire de la Cisjordanie contrôlée par l'Autorité palestinienne le "laboratoire" d'un éventuel Etat palestinien, pour précipiter la chute du Hamas à Gaza, un territoire laissé à la déshérence. A l'aune de la capacité de manoeuvre que conservent les islamistes dans leur réduit, en dépit du pilonnage israélien, elle n'est sans doute pas une garantie de succès.

        20 Minutes.

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        • #5
          Obama et son double machiavélien

          Par François Noudelmann •
          Et si le moment le plus intéressant de l'ascension d'Obama commençait maintenant? Le monde entier se réjouit de son élection et, certes, on ne va pas bouder notre joie. La victoire symbolique est immense et produit déjà ses effets. Cependant la période qui va de la victoire du 4 novembre à l'investiture du 20 janvier ne se limite pas à une transition entre le sortant et l'entrant. Pendant qu'on célèbre l'advenue d'une nouvelle ère, voire d'un nouveau Messie, l'élu travaille à construire son gouvernement.
          La constitution d'une équipe répond logiquement à la volonté d'appliquer un programme. Et l'on pourrait croire la tâche aisée pour Obama qui bénéficie d'une large majorité à la Chambre et au Sénat. Pourtant la lecture de la politique d'Obama va se découvrir petit à petit dans ses nominations (dont l'ampleur aux États-Unis est incomparable à celles de la France) et susciter probablement quelques surprises.
          La beauté et l'intelligence de ses discours ont fait d'Obama l'idéaliste dont le monde a tant besoin après le réalisme cynique et désastreux des années Bush. Il incarne l'avenir des États-Unis et cristallise sur lui tous les espoirs d'un monde plus juste et pacifique. Même George Bush célèbre le rassemblement démocratique d'un pays qui mène avec sérénité une transition entre des oppositions si fortes.
          Le ralliement de néo-conservateurs tels que Francis Fukuyama donnerait à croire que l'idéologie dominante a changé. Cet "Obamacon" dénonce aujourd'hui les "léninistes" de droite tels que Robert Kagan ou Bill Kristol qui ont bâti l'armature néo-conservatrice des dernières années et justifié l'unilatéralisme guerrier de l'Amérique, à travers le Project for the new American Century. L'heure est désormais au multilatéralisme affiché.
          La première nomination effectuée par Obama devrait toutefois tempérer cet enthousiasme naïf. En demandant à Rahm Emanuel, d'être son secrétaire général à la Maison Blanche, le futur Président a donné un signe très fort à l'establishment politique. Loin d'être l'homme du gouvernement consensuel et bi-partisan annoncé par Joe Biden, Rahm Emanuel est un libéral affirmé qui demeure haï par les Républicains. Et nombre de Démocrates se réjouissent de voir un stratège, surnommé "Rahmbo", organiser la transition mieux que ne l'avait gérée Clinton en son temps.

          [IMG]http://philosophie.*********************/noudelmann/images/2008/11/17/rtxadgr_2.jpg[/IMG] Le personnage de Rahm Emanuel fascine car il est comme un double d'Obama en version machiavélienne. Cet homme de 48 ans qui a travaillé dans l'administration Clinton a su gravir tous les échelons de la politique, devenant un représentant à la Chambre en 2003 alors même que les Clinton l'en avaient découragé. Il a vite accédé au 4e rang des dirigeants de la Chambre et briguait la première place, celle de Nancy Pelosi, au moment où Obama lui a demandé de le rejoindre.
          Devenu aussi un personnage de série télévisée — Josh dans The West Wing (A la Maison Blanche) —, Rahm Emanuel se découvre peut-être encore mieux dans un discours de 2005, lorsqu'il réunit alors plusieurs personnalités influentes pour récolter des fonds en faveur de la recherche sur l'épilepsie. Dans le style américain, ce moment fut l'occasion de portraits humoristiques. Hillary Clinton expliqua qu'elle n'avait pas décliné l'invitation car on ne peut risquer de devenir un ennemi de Rahm Emanuel, le coût étant très élevé. Un Républicain fit à son tour un éloge ambigu de Rahm, rappelant qu'il avait voté pour le Patriot Act, cette loi d'exception qui met sous surveillance la population sans contre-pouvoir, et que le Grand Old Party aimerait bien avoir un loup comme lui dans ses rangs. Bref, Rahm, connu aussi pour avoir posté un poisson pourri à un sondeur qui l'avait irrité, est "a Grade-A pain in the ass, a foulmouthed, ball-busting, pipe-hitting practitioner of realpolitik, the perfect bad cop", («un emmerdeur de première, une grande gueule, un casse-*******s, un marteleur acharné de la realpolitik, le vrai méchant flic») comme l'écrivait le New York Magazine il y a encore une semaine!
          Le discours le plus sidérant de cette cérémonie de 2005 est l'échange entre Obama et Emanuel, malgré le devoir de réserve que ce dernier s'était imposé pendant les primaires Clinton vs Obama. Une amitié très forte, évidente, lie ces deux élus de l'Illinois. Barack, décidément aussi irrésistible dans le registre drôle et pince-sans-rire que dans celui de prophète, s'émerveille qu'en portant un nom si peu "américain moyen", Rahm ait pu être élu. La réflexion revient aujourd'hui en miroir! Et surtout il fait rire toute l'assemblée en affirmant que Rahm a su adapter Le Prince de Machiavel pour la danse. Trois ans après cette demi-blague, la nomination du machiavélien donne quelques lumières sur le nouveau dirigeant américain.
          La réponse de Rahm Emanuel offre aussi des indices d'une telle amitié, lorsqu'il explique que la racine du prénom Barack est Baruch, conférant ainsi une judaïté d'élection à Obama. Le père de Rahm est né à Jérusalem et fut membre de l'Irgun. Le judaïsme tout comme le sionisme sont des engagements indéfectibles pour le nouveau secrétaire général de la Maison Blanche. David Axelrod, un des plus proches et des plus efficaces conseillers d'Obama, fut aussi son témoin de mariage. Tout cela renvoie aux poubelles la propagande des Républicains qui présentèrent Obama comme "le candidat préféré du Hamas", même si cette organisation s'est déclarée contente de son élection.
          Confirmant qu'Obama incarne un au-delà du multiculturalisme (cf mon post du 20-10-2008), les résultats des élections montrent que 78% des Juifs américains ont voté pour lui (tout comme 68% d'Hispaniques et 56% des femmes), contrairement à leur prétendue peur d'un candidat supposé complaisant avec l'Iran. Ces données relativisent aussi les illusions des pro-Palestiniens qui croient, particulièrement en France, qu'Obama va renverser l'alliance des États-Unis avec Israël au profit d'un soutien à l'islamo-progressisme.
          Cependant la présence de Rahm Emanuel, au regard de la politique américaine au Moyen-Orient peut être interprétée plus positivement comme la possibilité d'un dialogue qui ne sera plus inconditionnel. C'est même le pari de Jeffrey Goldberg, l'auteur du magnifique livre Prisoners (Prisonniers en Terre promise): dans The Atlantic, il espère qu'Israël acceptera plus volontiers les demandes de la nouvelle administration américaine pour respecter enfin ses engagements envers les Palestiniens. Rahm Emanuel ne fut-il pas chargé par Bill Clinton de mettre en scène, en 1993, la poignée de main entre Yitzhak Rabin et Yasser Arafat?
          L'idylle planétaire d'Obama ne doit donc pas nous faire oublier qu'une autre politique commence dès maintenant. Et que l'idéalisme effusif n'a qu'un temps, alors que les six mois prochains seront un marasme économique pour les États-Unis, assurément plus prioritaire pour le gouvernement que les Affaires étrangères. Pour autant, l'habileté stratégique ne signifie pas le retour du réalisme cynique. Le "Yes we can" se construit dans le spectre du "I have a dream". Or la haine des Républicains ne tardera pas à ressurgir pour tenter de détruire le rêve Obama et tous les changements qu'il annonce. C'est pourquoi il faut des Machiavel auprès des King.
          (Photo: Reuters)
          Réagissez à l'article
          Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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          • #6
            Barack Obama sera-t-il moins sioniste que George Bush?

            L Amerique ne changera jamais sa politique pro-sioniste , elle a seulement changé la couleur de son président ..
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              Barack Obama, Israël et la Palestine, par Gilles Paris

              Doublon, le texte du Monde a déjà été posté

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              • #8
                Pendant ce temps, l’offensive terrestre israélienne est en train de tenter d’éradiquer le Hamas, en éradiquant en priorité les habitants. Le silence assourdissant de l’administration Obama est révélateur d’un accord tacite pour cette punition collective. Chose encore plus inquiétante, l’alignement inconditionnel de Hillary Clinton sur la politique israélienne.
                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=108650


                le vent du changement ne viendra pas en palestine

                peut etre apres un national socialiste americain

                le predestine au commerce vient de demissionner
                la crise est tres serieuse

                un populiste
                gagnera les futures elections
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  Obamou a été élu grâce à l'appareil médiatique des sionistes américains !
                  Nabozy grâce à l'appareil médiatique des sionistes français et américains !

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                  • #10
                    en tout cas, ça ne peut pas etre plus pire qu'en temps de l'administration bush. je crois personellement qu'obama adoptera une position plus ferme vis a vis du lobby sioniste, et aura à ses cotés les juifs de gauches progressistes. il ne changera pas de cap, certes, mais fera de la crise au proche orient un des grands chantiers de son mandat.
                    il est convaincu, ainsi que la majorité qui la élu, que la stabilité economique et sécuritaire des usa passe pas une stabilité des points majeurs dans le monde, en premier lieu la création d'un etat palestinien souverain!
                    je crois qu'il ne permetra pas qu'israel se la joue solo et main de fer!

                    enfin...esperant!
                    ....If you're not writting, you're not thinking!

                    The Dice Man.

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                    • #11
                      Obama ne changera pas le monde: ne vous demandez pas ce qu'Obama peut faire pour le monde mais plutôt, ce que vous pouvez faire pour ce monde.

                      Interprétation libre de John F. Kennedy.

                      Avec de tel discours, le "new-deal" n'est pas à nos portes:

                      Obamou a été élu grâce à l'appareil médiatique des sionistes américains !
                      Nabozy grâce à l'appareil médiatique des sionistes français et américains !

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                      • #12
                        obama ne pourra pas forcer israel a ceder

                        cependant il a le tact pour changer les esprits

                        chose qu ila fait avec les voteurs blancs

                        alors esperons qu il pourra persuader arabes et juifs les deux cousins jures ennemis a laisser la raison battre les emotions......

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                        • #13
                          Je ne suis ni optimiste, ni pessimiste, je suis neutre, tout peut arriver et personnellement, le pire du pire aurait été une victoire de McCain.

                          Je pense que les israéliens ont fait exprès d'attaquer dans un moment coïncidant avec les derniers jours de Bush, ils en profitent ou ils en font cadeau à ce chien.

                          Cependant, je peux me tromper, les jours nous le diront.
                          J'étais là...

                          Commentaire


                          • #14
                            Vous croyez qu’Obama n’a pas été au courant des opérations israéliennes sur Gaza avant leur début ? Il a certainement donné le feu vert à Israël. Même le timing des opérations a été bien choisi. Juste avant la prise de fonctions officielles d’Obama. Comme ca, il peut se cacher derrière l’alibi que Bush est toujours président des USA.

                            Ses positions sur Israël sont claires :





                            Dernière modification par icosium, 05 janvier 2009, 12h05.
                            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

                            Commentaire


                            • #15
                              L'Amérique est pro Israel Obama n'a pas le choix, il le sera...
                              Il tentera comme Bush d'imposer les décisions d'Israel aux Palestiniens. Il n'y a que la forme qui changera. Obama fera participer d'autres puissances à la résolution du conflit.

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