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Du mythe du Sida...

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  • Du mythe du Sida...

    Plusieurs scientifiques de renom viennent de demander, le 9 décembre 2008, le retrait des premiers papiers "scientifiques" qui étaient à l'origine de l'hypothèse VIH = Sida.

    Top Scientists Ask Medical Journal Science
    To Retract Original AIDS Papers


    SAN FRANCISCO (Rethinking AIDS) Dec. 9, 2008—The international nonprofit scientific organization Rethinking AIDS gave its full support today to 37 senior researchers, medical doctors and legal professionals who are requesting that the medical journal Science withdraw four seminal papers on HIV authored by Dr. Robert Gallo—papers widely touted as proof that HIV is the "probable cause of AIDS." An online posting of the letter can be found here.

    "With new findings that undermine the scientific integrity and veracity of Gallo's four papers, the entire basis of the theory that HIV causes AIDS may now be questioned," says Rethinking AIDS president David Crowe.

    The letter to the journal comes at a time when the microbiology world is abuzz about Gallo's omission from the 2008 Nobel Prize in medicine for the discovery of HIV, contrary to an international agreement that the two teams should share credit. French scientists Drs. Luc Montagnier and Francoise Barré-Sinoussi are instead to be given the award, a decision that also implicitly questions the scientific integrity of Gallo's claim of the discovery. Montagnier, however, admitted on camera more than a decade ago that his experiments did not purify any virus.

    The four papers were originally published on May 4, 1984, a few days after a press conference by Gallo announcing he had discovered the "probable cause of AIDS." Now, a British investigative journalist has shown that Gallo's claim was based on last-minute alterations to documents that make false claims about the results of his lab work and research experiments. The letter to Science sent by the 37 experts on Monday, Dec. 1, 2008, includes a copy of Gallo’s handwritten changes to the article, a letter from an electron microscopy expert indicating that Gallo’s samples did not contain any virus, and a letter from Gallo to a researcher verifying that HIV could not be purified directly from human materials.

    The investigative conclusion prompting the letter to Science was made by journalist Janine Roberts, author of Fear of the Invisible, a book that examines the origin of several disease theories. "I was shocked when I read the original draft of the key scientific paper now widely cited as proving HIV causes AIDS," says Roberts. "Gallo's handwritten last-minute changes had reversed what the scientists in his lab had originally concluded. This demonstrates a stunning disregard for the scientific process and a very disturbing breach of public trust."

    It is clear that the seminal research published on HIV contained unjustified claims and alterations. In 1993, governmental investigators determined Gallo had so poorly recorded his key and much-cited experiment that it was impossible to repeat and verify it.

    In the early 1990s, several highly critical reports on the research underlying Gallo's papers were produced as a result of governmental inquiries working under the supervision of scientists nominated by the National Academy of Sciences and the Institute of Medicine. The Office of Research Integrity (ORI) of the U.S. Department of Health and Human Services concluded that the lead paper of the four was "fraught with false and erroneous statements" and that the “ORI believes that the careless and unacceptable keeping of research records . . . reflects irresponsible laboratory management that has permanently impaired the ability to retrace the important steps taken." Further, a Congressional Subcommittee on Oversight and Investigations produced a staff report on the papers, containing scathing criticisms of their integrity.

    Rethinking AIDS — an international group of more than 2,600 scientists, doctors, journalists, health advocates and others — offers several eminent medical and scientific experts to comment on this and other AIDS issues currently in the news:

    Etienne de Harven, M.D.*
    Professor Emeritus, University of Toronto
    Saint Cézaire, France
    Member and professor in cell biology, Sloan Kettering Institute, New York, 1956-1981. Isolated and obtained the first electron microscopic studies of the murine Friend leukemia virus, and retroviral budding. Frequent critic of the "isolation" of HIV, and past president of Rethinking AIDS. Dr. de Harven can comment on the science of retrovirus isolation.

    Janine Roberts
    Investigative Reporter
    Bristol, U.K.

  • #2
    Voici un article d'Etienne de Harven qui résume la situation durant les deux dernières années 2007 - 2008.

    Faut-il voir le sida autrement ?

    07-08-2008 - Plusieurs événements, survenus durant l’année 2007-2008, donnent à penser qu’il faut, en effet, répondre affirmativement à cette question.

    Par ordre chronologique, ces événements sont les suivants :

    1) - La parution, durant l’été 2007, du livre de James Chin sous le titre The AIDS Pandemic – The collision of epidemiology with political correctness, paru chez Radcliffe Publishing. Le Docteur James Chin est un épidémiologiste d’une grande renommée internationale qui exerça, pendant plusieurs années, à Genève, les fonctions de directeur du programme mondial du SIDA à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Son autorité sur toute matière médicale relative à l’épidémiologie du SIDA est indiscutable. Son livre récent a créé une grande émotion car il y est très clairement établi:
    a) qu’il n’y a aucune raison de redouter une extension du SIDA au sein de la population hétérosexuelle mondiale, le SIDA apparaissant uniquement dans une petite population à haut risque population compôsée d’homosexuels et de drogués intraveineux ;
    b) que les statistiques, provenant de l’OMS sur la prévalence d’une infection par le “VIH”, sont tout à fait exagérées, exagération dont le but était d’entretenir la peur d’une extension de l’épidémie à la population générale, extension qui n’a jamais été observée;
    c) que les fonds consacrés au VIH/SIDA sont largement excessifs vu le caractère très limité de la population exposée au risque du SIDA.

    2) - En septembre 2007, la firme pharmaceutique Merck & Co a annoncé la décision d’arrêter leur essai clinique d’un vaccin contre le VIH. Cette décision était basée sur le fait que, parmi les quelque 3.000 participants à ce test clinique, la séropositivité est apparue plus fréquemment chez les vaccinés que dans le groupe contrôle traité par un placebo. Cette observation, et la décision prise par Merck, ont fait dire au Dr. Anthony Fauci (Directeur des programmes SIDA aux Instituts de la Santé des USA, NIH) que, en matière de SIDA, « les chercheurs vont devoir tout revoir ». (Référence dans le Wall Street Journal du 8 novembre, 2007).

    3) - Dans le numéro du 10 mai 2008, du British Medical Journal, nous trouvons, sous la plume de Roger England (chairman de Health Systems Workshop, Grenada), un article intitulé : « The writing is on the wall for UNAIDS ». On y trouve les phrases suivantes : « Le VIH est un problème majeur en Afrique du Sud, mais n’est pas une catastrophe mondiale », « Ce n’est plus une hérésie de souligner que l’on dépense beaucoup trop pour le VIH… », « ONUSIDA a perdu contact avec la réalité… », « Pourquoi une agence de l’ONU pour le VIH et non pour la pneumonie ou le diabète qui tue chacun plus de gens ? », « Il faudrait fermer ONUSIDA rapidement… », « L’industrie mondiale du HIV est bien trop grande, et hors contrôle. Nous avons créé un monstre avec trop de conflits d’intérêt et de réputations en jeu… ».

    4) - Les conclusions de James Chin, publiées en 2007, semblent coïncider avec celles Kevin de Cock qui dirige le département VIH/SIDA à l’Office Mondial de la Santé, et qui sont rapportées par Jeremy Laurance dans le numéro du 8 juin, 2008 de The Independent. On peut y lire : « L’Office Mondial de la Santé a accepté le fait que la menace d’une épidémie hétérosexuelle mondiale du SIDA a disparu » ; et que « la stratégie promue par les principales organisations du SIDA pour la prévention universelle de la maladie a peut-être été mal dirigée ».

    5) - Les conclusions de Kevin de Cock sont rapportées par Brendan O’Neill, dans le numéro du 12 juin, 2008, du Guardian sous le titre « L’exploitation du SIDA », avec comme sous-titre : « La peur du SIDA fut la panique de santé publique la plus mensongère, la plus fausse et la plus cynique des 30 dernières années ». « Il est enfin admis, au plus haut niveau, qu’il n’y a aucune menace de pandémie mondiale du SIDA parmi les hétérosexuels ».

    6) - Tout récemment, comme rapporté dans Nice-Matin du 15 juillet et provenant du Financial Times du 11 juillet, la firme Roche annonce la décision de suspendre toute recherche sur de nouveaux médicaments contre le VIH.

    7) - Et plus récemment encore, le New York Times du 18 juillet 2008 nous informe de la décision prise par le Dr. Anthony Fauci, déjà cité plus haut, d’interrompre tous les essais cliniques de vaccins anti-VIH soutenus et financés à Washington par le NIH. Le motif justifiant cette décision étant que les scientifiques reconnaissent l’insuffisance de leurs connaissances relatives aux interactions entre le VIH et le système immunitaire.

    Et c’est dans ce climat que nous apprenons que le Docteur Peter Piot, médecin belge qui assumait, depuis sa création en 1995, la position de Directeur Exécutif de ONUSIDA à Genève, a pris récemment la décision de ne pas demander le renouvellement de son mandat. Une pure coïncidence? J’ai une forte tendance à en douter.

    Docteur Etienne de Harven,
    Prof. Émérite de l’Université de Toronto,
    06530 Saint Cézaire sur Siagne. <[email protected]>
    http://www.votre-sante.com/news.php?...8053793&page=0

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    • #3
      Un petit historique, à l'occasion de la Conférence Officielle sur le SIDA qui s'est tenue en juillet 2002 à Barcelone.

      Rencontre internationale afin de reposer le problème du SIDA: "REEVALUATION SCIENTIFIQUE DE L'HYPOTHESE DU VIH-SIDA".


      HISTOIRE DE LA REMISE EN QUESTION DU SIDA.

      Depuis 1987, les données contredisant une étiologie du SIDA consistant en un seul virus n'ont fait que s'accumuler. C'est ainsi que s'est constitué un réseau de scientifiques du monde entier -le Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH/SIDA- dans le but de mener à bien une recherche impartiale sur la base suivante : Le VIH est-il réellement la cause du SIDA?

      Malgré de nombreuses faiblesses, l'hypothèse du VIH-SIDA est encore la seule base sur laquelle reposent les politiques de santé publique qui tentent de contrôler la propagation du SIDA en exigeant:

      1) la pratique du "sexe sûr", 2) l'utilisation de seringues "propres" pour l'injection de drogues toxiques non stérilisées et 3) l'administration à long terme de puissants poisons métaboliques tels que l'AZT.
      Cette hypothèse est également l'unique base sur laquelle reposent des programmes de recherche dirigés presque exclusivement vers le développement de médicaments conçus pour interférer dans la réplique du VIH.

      C'est dans le but de proposer une prévention et un traitement du SIDA en fonction de ce que nous savons réellement que nous demandons une réévaluation de l'hypothèse VIH-SIDA qui tiendra compte des pour et des contres. L'obligation des scientifiques consiste à envisager les questions les plus désagréables et les plus difficiles, y compris de remettre en question les théories les plus valorisées, spécialement lorsque les réponses peuvent éviter souffrance et morts inutiles.
      Le Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH/SIDA s'est formé grâce à nos efforts pour obtenir la publication d'une lettre (extrait ci-dessous) dans plusieurs revues scientifiques reconnues. Toutes ont refusé.

      "Le grand public croit qu'un rétrovirus appelé VIH est la cause du groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent en cause cette hypothèse. Nous proposons qu'un groupe indépendant et approprié élabore une réévaluation consciencieuse de l'évidence qui existe en faveur et contre cette hypothèse. Nous proposons également que soient élaborées et menées à bien des études épidémiologiques critiques."

      Cette lettre a d'abord été signée par des dizaines de scientifiques, puis brusquement, par des centaines d'entre eux.
      Nous tenons à souligner que les dissidents du sida ne proviennent pas des médecines appelées à tort "alternatives", mais de l'élite même de la science médicale officielle. Nous pouvons citer entre autres:

      - Dr Peter Duesberg (Etats-Unis), agrégé de biologie moléculaire et cellulaire de l'Université de Berkeley, en Californie, membre de l'Académie Nationale des Sciences, découvreur des gènes du cancer. Il a été le premier à réaliser la carte de la structure génétique des rétrovirus.
      - Dr Charles Thomas (Etats-Unis), premier coordinateur du groupe, ex professeur de chimie biologique à l'Université de Harvard, à la tête de la Fondation Hélicon, une organisation de recherche sans bénéfices, à San Diego.
      - Dr Gordon Stewart (Grande Bretagne), épidémiologiste, consultant de l'OMS, ancien professeur de santé publique à l'Université de Glasgow.
      - Dr Harvey Bialy (Etats-Unis), virologue, ex éditeur scientifique de la très orthodoxe revue "Biotecnology".
      - Dr Harry Rubin (Etats-Unis), virologue, membre de l'Académie Nationale des Sciences, Université de Berkeley.
      - Dr R.C. Strohman (Etats-Unis), biologiste cellulaire, Université de Berkeley.
      - Dra. Eleni Eleopulos (Australie), biophysicienne, biochimiste, Royal Perth Hospital.
      - Dr Wieland (Allemagne), Institut Max Plank, Heidelberg.
      - Phillip E. Johnson (Etats-Unis), professeur de Droit. Université de Berkeley.
      - Dr David Rasnick (Etats-Unis), Biologiste moléculaire, biochimiste, concepteur des inhibiteurs de la protéase.
      - Dr Etienne de Harven (France), spécialiste en microscopie électronique.
      - Dr Alfred Hassing (Suisse), Anatomopathologiste, microbiologiste, ancien professeur d'immunologie. Berne.
      - Dr Kary Mullis, biochimiste, inventeur de la technique de réaction en chaîne polymérase PCR pour établir des tests génétiques, invention pour laquelle il a reçu le Prix Nobel de Chimie en 1993 et qui est actuellement utilisée mondialement et de manière frauduleuse, comme l'a affirmé le Dr Mullis lui-même, pour mesurer la charge virale.

      Soulignons que deux autres prix Nobel ont également remis en question l'hypothèse officielle. L'année suivante, des centaines de scientifiques se sont ralliés à cette remise en question. Plus tard, d'autres groupes se sont formés dans le monde entier. Le réseau s'est développé de plus en plus. IMPORTANT: Voir fichier ci-joint de contacts et bibliographie
      Il est important de tous les remercier pour leur courage et d'avoir osé aller à contre-courant. Cette attitude révèle une grande honnêteté mais suppose également un danger pour eux.

      Au moment de prendre sa retraite, le prestigieux biologiste moléculaire, le Dr Stroman de l'Université de Berkeley, Californie, reconnaissait:
      "Duesberg et tous ceux qui remettent en question le modèle selon lequel le VIH est la cause du SIDA ont raison". Cet homme a attendu son départ à la retraite pour faire cette affirmation et éviter ainsi qu'on ne lui retire les financements de sa recherche, comme cela est arrivé au professeur Peter Duesberg. Duesberg disposait d'une bourse de recherche uniquement destinée à une vingtaine de scientifiques américains jusqu'à ce qu'il ait l'honnêteté et le mérite de dénoncer (depuis le début) le mensonge de l'hypothèse officielle du SIDA.

      Stroman ajoutait que "de nombreux scientifiques remettent en question l'hypothèse orthodoxe selon laquelle le VIH est la cause du SIDA" mais il reconnaissait que "ces scientifiques n'oseront pas le dire jusqu'à leur départ à la retraite", par peur de tous types de représailles, entre autres économiques.
      Nous assisterons bientôt à une "épidémie de dissidents" qui viendront grossir les rangs des centaines de signataires du document intitulé Rethinking Aids (Repenser le sida) datant du début des années 90, et ceux des nombreux scientifiques qui depuis ont également rallié la dissidence.


      CONTRE LA CENSURE DANS LES SCIENCES.

      "La base de la science consiste à ne jamais s'arrêter de questionner" Albert Einstein.

      Durant la rencontre que nous organisons à Barcelone entre les 8 et 11 juillet 2002, nous dénoncerons, avec votre appui, la censure des hypothèses dissidentes sur le SIDA dans la science orthodoxe. Une conférence est organisée préalablement le 4 mai dans le cadre du salon Bioculutura Barcelone, à 19h.

      Les conférences officielles sur le SIDA ont lieu tous les deux ans dans un pays différent. Par conséquent, cette année se présente comme l'unique opportunité de dire ce que nous avons à dire depuis notre propre pays. En fait, ces conférences ne sont qu'un show organisé par les multinationales de l'industrie médico-pharmaceutique, une industrie qui par excellence, n'a aucun fondement scientifique. Ces multinationales sont étroitement liées à l'industrie biotechnologique, chimique et militaire. Elles s'appuient toutes sur un même axe, visant à promouvoir un monde toujours plus injuste par l'intermédiaire de leurs institutions respectives: FMI, OMC, BANQUE MONDIALE.

      Le mensonge du SIDA, particulièrement pour ce qui concerne l'invention de l'épidémie dans le tiers-monde où les maladies de la pauvreté toujours plus fréquentes ont été rangées sous le nom de SIDA (et ne sont pas traitées), ne fait qu'accroître le nombre de morts et la peur. C'est un élément supplémentaire de la stratégie de dépeuplement, eugéniste et génocide menée par les puissants.

      Durant cette rencontre, nous donnerons la parole aux scientifiques dissidents tels que le Dr Roberto Giraldo, agrégé en immunologie, Président du Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH-SIDA, lors de conférences, d'interventions publiques gratuites, de 2 conférences de presse et d'un séminaire plus technique sur les traitements alternatifs non toxiques.

      Voir le rapport de ce réunion : http://www.sidasante.com/critique/edh.htm
      Dernière modification par Passant, 05 janvier 2009, 18h11.

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      • #4
        Et pour plus d'informations, voir notamment le site du médecin américain Dr Roberto Giraldo: http://www.robertogiraldo.com/

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