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L'Algérie déplore la résurgence de coups d'Etat en Afrique

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  • L'Algérie déplore la résurgence de coups d'Etat en Afrique

    L'Algérie déplore la résurgence de coups d'Etat en Afrique


    Par AFP , le 06/01/2009

    L'Algérie déplore la «forte résurgence» des coups d'Etat en Afrique et appuie la politique menée par l'Union africaine (UA) vis-à-vis de la Mauritanie et de la Guinée, selon des propos du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, rapportés par l'agence APS.

    Au cours d'un entretien lundi soir à la radio internationale algérienne cité par l'agence APS, M. Medelci a rappelé que l'UA avait décidé au cours de son sommet à Alger en 1999 qu'aucun pouvoir en Afrique ne pouvait être institué en dehors des règles constitutionnelles.

    "Aujourd'hui la Mauritanie comme la Guinée sont suspendus par l'UA" et la position algérienne "rejoint totalement" celle de l'organisation africaine, a-t-il souligné.

    "Dans tous les cas de figure, l'Algérie respectera rigoureusement ce principe", a-t-il affirmé, souhaitant que "chacun des deux pays revienne le plus tôt possible à l'ordre constitutionnel".

    Le ministre a également affirmé que l'Algérie avait répondu "positivement" à toutes les demandes de médiation dans le cadre de conflits locaux dans les pays du Sahel, citant en particulier le cas du Mali. Une cérémonie d'accueil de plusieurs centaines de rebelles touareg maliens favorables au processus de paix doit avoir lieu à Kidal (nord-est du Mali), comme prévu par l'accord d'Alger de juillet 2006, en présence de l'ambassadeur d'Algérie au Mali, médiateur en chef.

    Au sujet du Sahara occidental, M. Medelci a souhaité que le processus de Manhasset près de New York "se consolide" et qu'il permette aux deux parties (Front Polisario et Maroc) d'aboutir à une solution "conforme" au droit international.

    Evoquant la question des droits de l'homme dans ce territoire annexé en 1975 par le Maroc et dont le Polisario réclame l'indépendance, M. Medelci a souligné que son pays avait demandé la publication d'un rapport sur la question élaboré en 2006 par une équipe du Haut commissariat des droits de l'homme de l'ONU.

    ..................................



    Ce genre de propos fait vraiment sourire comme si l'Algérie était une démocratie où le pouvoir militaire est absent et où les droits de l'homme sont respectés aussi bien par Alger que par son rejeton à Tindouf

  • #2
    Nahnou ma’a Falastine dhalima aoue madhelouma» Houari Boumediène

    Commentaire


    • #3
      Coups d'Etat en Afrique : l'hypocrisie de Bouteflika




      [IMG]http://www.**************/files.php?file=bout_942445001.jpg[/IMG]
      Après avoir de la bouche de Messahel, appelé au "respect de la Constitution" ... en Mauritanie, l'Algérie récidive dans les sermons hypocrites et déplore la «forte résurgence» des coups d'Etat en Afrique.
      Au cours d'un entretien lundi soir à la radio internationale algérienne cité par l'agence APS, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a déclaré que l'Algérie appuie la suspension par l'Union africaine (UA) de la Mauritanie et de la Guinée . M. Medelci a rappelé que l'UA avait décidé au cours de son sommet à Alger en 1999 qu'aucun pouvoir en Afrique ne pouvait être institué en dehors des règles constitutionnelles.
      Aucun pouvoir ?
      Depuis le sommet à Alger en 1999, le président Bouteflika a eu recours à, au moins, deux putshes, pour rester au pouvoir "en dehors des règles constitutionnelles". Tout est dans le style...
      En 2004, il avait, au moyen des méthodes inavouables de la terreur et de l’utilisation éhontée des moyens de l’Etat, arraché un second mandat. pris un sérieux ascendant sur ses adversaires, ou supposés tels, et il s’amusait à les écraser et à les ridiculiser aux yeux de l’opinion.
      Comment appeler l'outrage qu’il osera infliger à la plus grande formation politique du pays, le FLN, qui avait commis le sacrilège de préférer soutenir la candidature de son leader, Ali Benflis plutôt que la sienne ? C'était pourtant, devant nos yeux, un événement putschiste digne des républiques bananières : Bouteflika va tout simplement déclarer « hors-la-loi » le FLN de Benflis et en créer un autre à la tête duquel il va désigner un fidèle, Abdelaziz Belkhadem ! La mise « hors-la-loi » du parti a été décidée dans la nuit du 4 octobre 2003 par un juge que le président Bouteflika avait fait siéger de force ! Ce grotesque épisode restera dans le lexique médiatique sous l’appellation de « justice de la nuit ». Il était tellement révoltant que des magistrats finirent, naturellement, par s’en indigner. Parmi eux, le procureur adjoint qui refusa de signer le jugement et le président du Syndicat national des magistrats, Mohamed Ras El Aïn, qui annonça son désaccord en conférence de presse. La riposte de Bouteflika fut immédiate : les deux hommes furent limogés et, à la place de Ras El Aïn, le président installa un homme de confiance !
      Aucun pouvoir en Afrique ne pouvait être institué en dehors des règles constitutionnelles, dites-vous ?
      Puis le putsch se banalisa : la télévision, que le président monopolisait pour son usage exclusif, était interdite à l'opposition, tout comme les salles de meeting. L’unique chaîne filmait, en revanche, et à longueur de soirées, les tournées du président-candidat distribuant de généreuses enveloppes aux provinces, finançant sa campagne électorale avec l’argent du Trésor public. Bouteflika se conduisait comme l’empereur déjà élu, écrasant dans l’œuf, et avec arrogance, tout embryon de rivalité.
      En 2008, pour arracher un troisième mandat que ne lui permettait pas la Constitution, Abdelaziz Bouteflika l'a tout simplement violée et institué le pouvoir à vie !
      Aucun pouvoir en Afrique ne peut être institué, depuis 1999, en dehors des règles constitutionnelles, dites-vous ?
      Quelle différence entre les putsches algériens de 2004 et de 2008 et les putsches de la Mauritanie ou de la Guinée ?
      Aucune.
      Peut-être les chars en moins...
      Et l'hypocrisie en plus...

      M.B.

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      • #4
        Nahnou ma’a Falastine dhalima aoue madhelouma» Houari Boumediène
        L'ambassadeur d'Israël expulsé du Venezuela

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        • #5
          Les paroles de Boumedienne sont devenu le Saint Coran,allaho akbar.L'ignorance et la stupidité
          Coucher du soleil à Agadir

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