L’Algérie serait-elle devenue si stérile pour qu’une poignée d’opportunistes aille parler en son nom et solliciter d’un homme dépassé par l’histoire de prendre en main les destinées d’un pays en besoin d’un véritable sauveur ?
Y aurait-il pénurie d’hommes pour qu’un peuple qui compte en son sein des milliers d’universitaires et des centaines de sommités scientifiques accepte de se faire dicter des conditions par un militaire à la retraite qui n’a pas été au-delà de la deuxième année de l’enseignement moyen ?
Les Algériens capables de se proposer pour servir leur pays seraient-ils intimidés par de pseudo opposants qui n’ont de supporters qu’une poignée d’agitateurs spécialistes de l’invective sous la burqa de la lâcheté de l’anonymat sévissant dans le monde virtuel du net ?
Qu’arrive-t-il à cette Algérie où plus une seule voix n’arrive à s’élever pour dénoncer la « hogra », l’arbitraire et l’injustice si ce n’est celle de Ali Benhadj le numéro du FIS dont les premiers détracteurs brillent par leur silence ?
Qu’est-il arrivé à ce pays qui a enfanté les Ben Mehidi, Haouès, Abbane, Ben Boulaïd et de centaines d’autres figures qui ont marqué l’histoire contemporaine de l’humanité, pour que ne restent sur la scène politique que les larbins supportés par de lâches poltrons en quête de miettes à mettre sous la dent ?
Qu’arrive-t-il à ce pays où l’ancien tortionnaire devient héros et le touriste politique joue au ténor de l’opposition muette et le lâche anonyme s’improvise opposant ?
Par quelle malédiction a été frappée l’Algérie pour que son sort se joue dans les coulisses entre de vieux schnocks séniles protégés par des opposants muets comme des carpes soutenus par une nouvelle race de terroristes spécialistes des accusations gratuites et de l’insulte à défaut d’arguments fournis par leurs protecteurs ?
Que Dieu protège l’Algérie et lui réserve un meilleur avenir que lui réaliseront ses enfants sincères.
Hichem ABOUD
LE 6/01/2009
Y aurait-il pénurie d’hommes pour qu’un peuple qui compte en son sein des milliers d’universitaires et des centaines de sommités scientifiques accepte de se faire dicter des conditions par un militaire à la retraite qui n’a pas été au-delà de la deuxième année de l’enseignement moyen ?
Les Algériens capables de se proposer pour servir leur pays seraient-ils intimidés par de pseudo opposants qui n’ont de supporters qu’une poignée d’agitateurs spécialistes de l’invective sous la burqa de la lâcheté de l’anonymat sévissant dans le monde virtuel du net ?
Qu’arrive-t-il à cette Algérie où plus une seule voix n’arrive à s’élever pour dénoncer la « hogra », l’arbitraire et l’injustice si ce n’est celle de Ali Benhadj le numéro du FIS dont les premiers détracteurs brillent par leur silence ?
Qu’est-il arrivé à ce pays qui a enfanté les Ben Mehidi, Haouès, Abbane, Ben Boulaïd et de centaines d’autres figures qui ont marqué l’histoire contemporaine de l’humanité, pour que ne restent sur la scène politique que les larbins supportés par de lâches poltrons en quête de miettes à mettre sous la dent ?
Qu’arrive-t-il à ce pays où l’ancien tortionnaire devient héros et le touriste politique joue au ténor de l’opposition muette et le lâche anonyme s’improvise opposant ?
Par quelle malédiction a été frappée l’Algérie pour que son sort se joue dans les coulisses entre de vieux schnocks séniles protégés par des opposants muets comme des carpes soutenus par une nouvelle race de terroristes spécialistes des accusations gratuites et de l’insulte à défaut d’arguments fournis par leurs protecteurs ?
Que Dieu protège l’Algérie et lui réserve un meilleur avenir que lui réaliseront ses enfants sincères.
Hichem ABOUD
LE 6/01/2009
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