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QUITO - L'Equateur a annoncé jeudi la suspension des opérations des compagnies française Perenco et italienne Agip Oil, dans le cadre des baisses de production décidées par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
"La décision a été prise" de fermer les puits exploités par Agip Oil, a indiqué le ministre équatorien du Pétrole Derlis Palacios, en soulignant qu'il était devenu "plus coûteux" d'exploiter ces gisements car la chute des cours ne permettait plus de couvrir les investissements.
Concernant Perenco, la suspension de son activité a été ordonnée à la suite d'un achoppement dans les négociations menées avec le gouvernement socialiste de Rafael Correa qui vise à modifier les contrats des compagnies pétrolières afin d'accroître les recettes de l'Etat.
Ce blocage est dû à "la position intransigeante de son associé (américain) Burlington", a précisé le ministre.
Ces mesures de suspension permettront à l'Equateur, plus petit membre de l'Opep, de réduire sa production à 453.000 barils quotidiens, contre 520.000 b/j auparavant, conformément à l'objectif fixé en novembre par l'Opep.
Les deux compagnies ne se sont pas encore prononcés sur la décision adoptée par l'Equateur. Les autres compagnies qui opèrent dans le pays andin, l'hispano-argentine Repsol-YPF, la brésilienne Petrobras et la chinoise Andes Petroleum, ont accepté la renégociation de leur contrat.
REPSOL-YPF
PETROBRAS
(©AFP / 08 janvier 2009 19h58)
"La décision a été prise" de fermer les puits exploités par Agip Oil, a indiqué le ministre équatorien du Pétrole Derlis Palacios, en soulignant qu'il était devenu "plus coûteux" d'exploiter ces gisements car la chute des cours ne permettait plus de couvrir les investissements.
Concernant Perenco, la suspension de son activité a été ordonnée à la suite d'un achoppement dans les négociations menées avec le gouvernement socialiste de Rafael Correa qui vise à modifier les contrats des compagnies pétrolières afin d'accroître les recettes de l'Etat.
Ce blocage est dû à "la position intransigeante de son associé (américain) Burlington", a précisé le ministre.
Ces mesures de suspension permettront à l'Equateur, plus petit membre de l'Opep, de réduire sa production à 453.000 barils quotidiens, contre 520.000 b/j auparavant, conformément à l'objectif fixé en novembre par l'Opep.
Les deux compagnies ne se sont pas encore prononcés sur la décision adoptée par l'Equateur. Les autres compagnies qui opèrent dans le pays andin, l'hispano-argentine Repsol-YPF, la brésilienne Petrobras et la chinoise Andes Petroleum, ont accepté la renégociation de leur contrat.
REPSOL-YPF
PETROBRAS
(©AFP / 08 janvier 2009 19h58)