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Ban nomme Christopher Ross envoyé personnel pour le Sahara occidental

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  • Ban nomme Christopher Ross envoyé personnel pour le Sahara occidental

    2009-01-08 1036



    NEW YORK (Nations Unies), 7 janvier (Xinhua) - - Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a informé mercredi le Conseil de sécurité de son intention de nommer Christopher Ross, des Etats-Unis, au poste d'Envoyé personnel pour le Sahara occidental.M. Ross remplacera Peter van Walsum, a précisé la porte-parole du secrétaire général.
    Il travaillera avec les parties et les pays voisins en s'appuyant sur la résolution 1813 du Conseil de sécurité et les précédentes résolutions et sur les progrès réalisés jusqu'à ce jour, avec pour objectif une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui accordera l'auto-détermination à la population du Sahara occidental, a-t-elle ajouté.
    Par ailleurs, le secrétaire général a informé le Conseil qu'il avait l'intention de nommer Michael von der Schulenburg comme Représentant exécutif du Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Sierra Leone (UNIPSIL). M. von der Schulenburg, qui est actuellement le Représentant exécutif par intérim du Bureau des Nations Unies au Sierra Leone, remplacera Victor Da Silva Angelo.

  • #2
    BAN KI-MOON A L’INTENTION DE NOMMER SON ENVOYÉ SPÉCIAL POUR LE SAHARA OCCIDENTAL ET SON REPRÉSENTANT EXÉCUTIF AU BUREAU INTÉGRÉ DES NATIONS UNIES POUR LA CONSOLIDATION DE LA PAIX EN SIERRA LEONE


    Le Secrétaire général a informé le Conseil de sécurité de son intention de nommer M. Christopher Ross, des États-Unis, au poste d’Envoyé spécial pour le Sahara occidental et M. Michael von der Schulenburg, de l’Allemagne, au poste de Représentant exécutif pour le Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Sierra Leone (BINUCSIL), respectivement en remplacement de MM. Peter Van Walsum et Victor Da Silva Angelo.


    M. Ross travaillera avec les parties et les pays voisins sur la base de la résolution 1813, récemment adoptée par le Conseil de sécurité, et des résolutions antérieures, en vue de parvenir à une solution politique durable et mutuellement acceptable, laquelle devrait assurer l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.


    M. Ross a accompli une longue et remarquable carrière au sein du Département d’État américain, où il s’est spécialisé dans les questions concernant les régions du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Il a été Ambassadeur des États-Unis en Syrie et en Algérie et, avant la présente nomination, un des conseillers principaux sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à la Mission permanente des États-Unis auprès des Nations Unies. Il a également occupé le poste de Conseiller principal à l’ambassade américaine à Bagdad, en 2004.


    Actuellement Représentant exécutif adjoint pour le BINUCSIL, M. Michael von der Schulenburg occupe une position unique pour diriger la toute première mission intégrée de consolidation de la paix. Tout au long de sa carrière, il a acquis une riche expérience couvrant presque tous les aspects des activités des Nations Unies dans les domaines de l’aide au développement, de l’aide humanitaire, de la réforme de la gestion, de la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants, du règlement des conflits et des affaires politiques. Il a occupé diverses fonctions au service des Nations Unies, en particulier en Haïti, au Pakistan, en Afghanistan, en République islamique d’Iran et en Iraq. Il a également effectué de brèves missions en Afghanistan, en République arabe syrienne et en Somalie, et plus récemment, il a occupé le poste de Représentant spécial adjoint principal pour les affaires politiques au sein de la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Iraq (MANUI).

    cet article est de l'onu et voyons maintenant la version du journal marocain Lematin.ma

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    • #3
      EditorialChristopher Ross, un signal américain au Sahara Publié le : 08.01.2009 | 15h56 Quelques heures seulement après que M. Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, eût annoncé officiellement la nomination de Christopher Ross comme son «Envoyé personnel au Sahara», le gouvernement des Etats-Unis s'est empressé, ce qui est significatif, à recommander aux parties en conflit la poursuite du processus de négociations de Manhasset. C'est donc une personnalité américaine qui succède à M. Peter van Walsum pour reconduire le processus de pourparlers entre le Maroc et le polisario - et en principe accessoirement l'Algérie et la Mauritanie - interrompus depuis mars dernier. Ainsi, confirmation est faite de la désignation de ce diplomate chevronné. Agé de 65 ans, crédité d'une large connaissance du monde arabe, il a été en poste à Fès notamment comme directeur du Centre américain, ensuite à Damas et à Alger comme ambassadeur. Il est réputé d'une grand rigueur, il était également chargé jusqu'ici d'une mission sensible au Département d'Etat américain : la coordination de la lutte antiterroriste. La porte-parole de M. Ban Ki-moon à l'ONU a déclaré que «M. Christopher Ross travaillera avec les parties (en conflit) et les pays voisins sur la base de la résolution la plus récente du Conseil de sécurité 1813 et des précédentes résolutions en se fondant sur les progrès réalisés jusqu'à présent dans la recherche d'une solution politique, juste et durable».

      La lecture sémantique profonde de tels propos ne laisse en effet aucun doute sur la volonté des Nations unies de tracer le cadre de travail du nouveau diplomate chargé du dossier du Sahara. Il lui est assigné, en effet, comme objectif de poursuivre sur la base des résolutions pertinentes 1754, 1783 et 1813 - votées en avril 2007, en avril et en septembre 2008 - la mission d'une négociation politique. Cependant, le plus important dans le propos, qui ne souffre aucune concession à l'ambiguïté, se lit aussi en filigrane : il n'y a plus de retour en arrière, et le seul chemin pour mettre en œuvre une solution «juste et durable», comme le dit la porte-parole de l'ONU est de se conformer aux trois résolutions. On ne peut pas ne pas souligner le fait que de tels propos, lancés du haut des Nations unies, aient été quelques heures plus tard corroborés par la déclaration du porte-parole d'Etat adjoint du Département d'Etat américain, Robert Wood.

      Tout en se félicitant de la nomination de Christopher Ross, il a affirmé que « les Etats-Unis ont exhorté les parties à continuer à négocier sans conditions préalables et en bonne foi, avec un esprit de réalisme et de compromis en vue de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable ». Le porte-parole adjoint au Département d'Etat n'en reste pas, au demeurant, à ce niveau de l'analyse. Dans un hommage indirect mais appuyé à Peter van Walsum, il souhaite que Christopher Ross « puisse poursuivre l'excellent travail de l'ancien émissaire au Sahara, dont le leadership intellectuel, le professionnalisme et le dévouement étaient exemplaires ». En choisissant une personnalité américaine pour remplacer Peter van Walsum, dont le mandat avait expiré en août dernier, en lui fixant l'esprit et la lettre de sa mission, M. Ban Ki-moon entend s'inscrire de nouveau, sans aucune altération, dans la même dynamique de quête pour une paix, fondée sur la négociation.

      Or, au-delà de ce choix, le nouvel émissaire incarne aussi l'engagement explicite des Etats-Unis à s'impliquer davantage et directement dans le processus de négociations sur le Sahara. C'est en définitive une nouvelle preuve de leur volonté de cautionner le succès d'un processus – qui a connu quatre rounds –, appelé non seulement à continuer mais aussi, si l'on s'en tient aux recommandations du Conseil de sécurité, à s'accélérer de manière substantielle. La nomination de Christopher Ross en qualité d'Envoyé personnel au Sahara de M. Ban Ki-moon illustre également les déclarations que Condoleezza Rice, secrétaire d'Etat américaine, avait faites lors de sa tournée, en automne dernier, dans le Maghreb. « Il va y avoir une nouvelle série de négociations, avait-elle lancé à Alger, nous allons la soutenir, il y a de bonnes idées sur la table et il y a des moyens d'aller de l'avant. Nous n'avons pas besoin de repartir de zéro… ».

      Le gouvernement algérien, témoin direct d'une aussi solennelle déclaration, a cru abonder dans le même sens. Et son ministre des Affaires étrangères, Mourad Médelci, tout à son ultime lucidité a annoncé en septembre dernier, lors de la dernière Assemblée générale des Nations unies que « dans ce contexte, l'Algérie estime absolument important que la dynamique créée par le processus de Manhasset soit préservée et encouragée». Et de poursuivre : « L'Algérie ne saurait assez insister sur la responsabilité que les deux parties, le Royaume du Maroc et le Front polisario, assument à cet égard et les engage à poursuivre le processus des négociations et à faire preuve de la volonté politique indispensable pour son succès ».

      En douterait-on donc encore ! Nous prenons au mot le chef de la diplomatie algérienne, afin qu'il se conforme à la légalité internationale, aux résolutions du Conseil de sécurité, à l'exigence politique et intellectuelle qu'il n'est d'autre voie à une solution définitive qu'un règlement politique, donc une négociation sur la base de ce qui existe que le Conseil de sécurité, l'Assemblée générale ensuite, dans le même souci d'efficacité, ont tour à tour entériné. La dynamique de négociation n'a été rendue possible depuis 2007, soit après trente-deux de ruineuses entraves, qu'à la suite de la proposition d'autonomie que le Royaume du Maroc, sous les hautes instructions de S.M. Mohammed VI, a soumise à l'ONU. Cette proposition, qui a emporté l'adhésion de la communauté mondiale, confirme la volonté du Royaume de transcender les blocages de toutes sortes et de mettre en œuvre une solution juste, durable et démocratique. Les Nations unies, les Etats-Unis, l'Union européenne, le monde arabe, l'Asie et l'Afrique l'ont bel et bien compris et lui apportent leur indéniable soutien.

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      • #4
        obama le noir va faire payer cher la vente d oranges au regime de l apartheid
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #5
          Ban nomme Christopher Ross envoyé personnel pour le Sahara occidental

          le Maroc et l'Algerie crient victoire!!! bizare alors ki qui perd dans cette histoire l'USA pt'etre

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          • #6
            attendons de voir si Ban Ki Moon lui demandera de construire sur ou Van Walsum a laisse le dossier, en d'autres termes ce qu'a dit Rice (pas question de revenir en arriere) ou bien s'il lui demandera de tout remettre a plat. A ce moment, une ou l'autre partie pourra crier victoire...

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            • #7
              pourtant sa fait un moment qui vous criez victoire

              se que dit l'onu:M. Ross travaillera avec les parties et les pays voisins sur la base de la résolution 1813, récemment adoptée par le Conseil de sécurité, et des résolutions antérieures, en vue de parvenir à une solution politique durable et mutuellement acceptable, laquelle devrait assurer l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.

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              • #8
                pourtant sa fait un moment qui vous criez victoire
                Exactement comme vous.
                Coucher du soleil à Agadir

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