Le déchaînement aveugle et hystérique de l’armée sioniste criminelle contre les populations civiles de Gaza, vient de frapper moralement – par le Tribunal de l’Histoire -, l’Etat terroriste d’Israël, du sceau de l’infamie, attaché au crimes de guerre et aux crimes contre l’Humanité. Les dirigeants d’Israël – politiques et militaires -, responsables de la tragédie qui se déroule sous les yeux du monde entier, depuis 13 jours aujourd’hui, - 8 Janvier 2009 -, doivent désormais relever d’une Mise en accusation pénale internationale des chefs de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité et poursuivis devant un Tribunal Pénal International dûment constitué et susceptible de récusation par les représentants légitimes du peuple palestinien.
Ainsi, le « choc de Gaza » est désormais en marche. Au moins dans les mémoires et dans les esprits. Et ce choc, qui est aujourd’hui ressenti comme une profonde blessure à notre dignité et à notre honneur d’arabes et de musulmans, va désormais constituer un Acte d’Accusation qui restera ouvert en permanence et se traduira inexorablement dans les faits. D’abord par un double et violent divorce :
Le premier divorce, c’est celui entre les peuples arabo musulmans et leurs dirigeants .Ce divorce est déjà largement entamé, en tant que ces dirigeants, perçus depuis longtemps déjà, comme illégitimes, incompétents et corrompus, vont être de plus en plus rejetés par leur propre peuple et regardés comme des traîtres et des complices – au moins passifs – des crimes de génocide et des crimes de guerre, perpétrés contre les populations de Gaza, par les armées criminelles d’Israël, au moyens des armes les plus sophistiquées et les plus destructrices, voire interdites, qui leur sont inconditionnellement livrées, en particulier par les Etats-Unis et l’Europe.
Le second divorce, c’est celui entre ces mêmes peuples arabo musulmans et un Occident – Etats-Unis et Europe occidentale -, lui aussi perçu depuis longtemps et tout à la fois, comme commanditaire, complice, fourrier et bénéficiaire final du fait colonial israélien en Palestine. Un fait colonial qui représente en effet depuis plus de 60 ans, l’obstacle majeur et permanent, au développement socio politique et économique de l’ensemble des pays de la région, y compris le Grand Maghreb. Un fait colonial israélien qui prend de plus en plus aujourd’hui, les allures d’un bras armé de l’Occident, - et par l’Occident -, qui sème la mort et la destruction, afin de briser chez nous – et en nous -, toute volonté d’indépendance véritable et de résistance nationaliste, toute ambition de renaissance civilisationnelle et tout projet d’accès, pour nous et pour nos enfants, à la connaissance scientifique et technologique, ainsi qu’en témoignent le démantèlement de l’Irak et de l’Afghanistan ou l’acharnement occidental, contre les projets nucléaires légitimes de L’Iran.
Le « choc de Gaza » se traduira aussi, au sein de nos peuples, par une inflexible exigence d’épuration politique qui consistera à demander la mise en accusation formelle, des responsables politiques au sommet de l’Etat pour leur complicité, au moins passive, dans le massacre des centaines de palestiniens de Gaza, dont la plus de la moitié sont des femmes et des enfants, selon les statistiques les plus crédibles. Des responsables qui ont poussé l’ignominie et la soumission à leurs maîtres, jusqu’à interdire et disperser par la force brutale, à travers de nombreuses villes et capitales, toutes les manifestations populaires spontanées de soutien aux populations martyres de Gaza. Sans parlers de centaines d’arrestations. Confirmant ainsi, par de telles attitudes antinationales, les révélations arrogantes du Premier Ministre de l’ennemi,, le criminel Ehud Olmert, assurant dans une conférence de presse, que certains Chefs d’Etat arabes lui avaient téléphoné pour l’encourager à extirper de Gaza, le Gouvernement islamiste du Hamas.
Bien entendu, - comme toujours en pareille circonstance – les tenants du camp de l’abdication et de la soumission, pourront toujours arguer de la supériorité technologique des armées d’Israël, en particulier en matière d’aviation, de blindés et de puissance de feu. Soit. Mais alors à quoi servent vraiment nos forces armées, pullulant de soi-disant généraux chamarrés d’on ne sait quelles distinctions et disposant de centaines de milliards de dollars en budgets d’équipement militaires appelés à finir probablement dans les musées de la gabegie. ? A quoi serviraient donc ces armes et ces armées, en dehors bien entendu, des sales besognes de répression de leurs propres peuples, qui leur sont ordonnées par des régimes illégitimes et antinationaux, inféodés à des volontés et à des intérêts qui ne sont pas ceux de nos peuples ?
Et même, sommes-nous réellement dépourvus de tout moyen de pression sur l’ennemi sioniste et ses commanditaires et complices d’Occident ?
Pourquoi ne pas utiliser l’arme qui a fait trembler – y compris de froid -, l’Europe entière en Octobre 1973, comme semble nous le suggérer le Ciel, avec cette vague de grand froid qui s’abat actuellement sur l’Europe ?
Pourquoi ce silence officiel, sur l’usage de l’arme du pétrole et du gaz ? Oui, pour quelles raisons, depuis 1973, c’est devenu un quasi-tabou, dans nos pays arabes et musulmans producteurs de pétrole et de gaz, d’évoquer l’éventualité même, de l’usage de tels moyens de pression qui sont entre nos mains ? Quelle signification doit-on donner surtout, à ce consensus parfait des pays arabes, traditionnellement si divisés ? Un consensus qui rappelle étrangement les règles de l’»omerta »….
Depuis de longs mois, les palestiniens de Gaza, défient dans l’honneur et la dignité, la mort lente du fait du blocus israélo-égyptien ; aujourd’hui, et depuis de longs jours, ils subissent aussi, dans l’honneur et la dignité aussi, la mort violente qui leur tombe du ciel ou leur vient de terre ou de la mer, sous les bombardements hystériques de l’armée criminelle de l’Etat sioniste qui procède sauvagement, sous les yeux d’un monde médusé, au plus crapuleux des crimes de génocide, où les femmes et les enfants sont en train de payer le plus lourd tribut à cette folie, à proportion de plus de la moitié, parmi les centaines de morts et les milliers de blessés.
Ainsi, le « choc de Gaza » est désormais en marche. Au moins dans les mémoires et dans les esprits. Et ce choc, qui est aujourd’hui ressenti comme une profonde blessure à notre dignité et à notre honneur d’arabes et de musulmans, va désormais constituer un Acte d’Accusation qui restera ouvert en permanence et se traduira inexorablement dans les faits. D’abord par un double et violent divorce :
Le premier divorce, c’est celui entre les peuples arabo musulmans et leurs dirigeants .Ce divorce est déjà largement entamé, en tant que ces dirigeants, perçus depuis longtemps déjà, comme illégitimes, incompétents et corrompus, vont être de plus en plus rejetés par leur propre peuple et regardés comme des traîtres et des complices – au moins passifs – des crimes de génocide et des crimes de guerre, perpétrés contre les populations de Gaza, par les armées criminelles d’Israël, au moyens des armes les plus sophistiquées et les plus destructrices, voire interdites, qui leur sont inconditionnellement livrées, en particulier par les Etats-Unis et l’Europe.
Le second divorce, c’est celui entre ces mêmes peuples arabo musulmans et un Occident – Etats-Unis et Europe occidentale -, lui aussi perçu depuis longtemps et tout à la fois, comme commanditaire, complice, fourrier et bénéficiaire final du fait colonial israélien en Palestine. Un fait colonial qui représente en effet depuis plus de 60 ans, l’obstacle majeur et permanent, au développement socio politique et économique de l’ensemble des pays de la région, y compris le Grand Maghreb. Un fait colonial israélien qui prend de plus en plus aujourd’hui, les allures d’un bras armé de l’Occident, - et par l’Occident -, qui sème la mort et la destruction, afin de briser chez nous – et en nous -, toute volonté d’indépendance véritable et de résistance nationaliste, toute ambition de renaissance civilisationnelle et tout projet d’accès, pour nous et pour nos enfants, à la connaissance scientifique et technologique, ainsi qu’en témoignent le démantèlement de l’Irak et de l’Afghanistan ou l’acharnement occidental, contre les projets nucléaires légitimes de L’Iran.
Le « choc de Gaza » se traduira aussi, au sein de nos peuples, par une inflexible exigence d’épuration politique qui consistera à demander la mise en accusation formelle, des responsables politiques au sommet de l’Etat pour leur complicité, au moins passive, dans le massacre des centaines de palestiniens de Gaza, dont la plus de la moitié sont des femmes et des enfants, selon les statistiques les plus crédibles. Des responsables qui ont poussé l’ignominie et la soumission à leurs maîtres, jusqu’à interdire et disperser par la force brutale, à travers de nombreuses villes et capitales, toutes les manifestations populaires spontanées de soutien aux populations martyres de Gaza. Sans parlers de centaines d’arrestations. Confirmant ainsi, par de telles attitudes antinationales, les révélations arrogantes du Premier Ministre de l’ennemi,, le criminel Ehud Olmert, assurant dans une conférence de presse, que certains Chefs d’Etat arabes lui avaient téléphoné pour l’encourager à extirper de Gaza, le Gouvernement islamiste du Hamas.
Bien entendu, - comme toujours en pareille circonstance – les tenants du camp de l’abdication et de la soumission, pourront toujours arguer de la supériorité technologique des armées d’Israël, en particulier en matière d’aviation, de blindés et de puissance de feu. Soit. Mais alors à quoi servent vraiment nos forces armées, pullulant de soi-disant généraux chamarrés d’on ne sait quelles distinctions et disposant de centaines de milliards de dollars en budgets d’équipement militaires appelés à finir probablement dans les musées de la gabegie. ? A quoi serviraient donc ces armes et ces armées, en dehors bien entendu, des sales besognes de répression de leurs propres peuples, qui leur sont ordonnées par des régimes illégitimes et antinationaux, inféodés à des volontés et à des intérêts qui ne sont pas ceux de nos peuples ?
Et même, sommes-nous réellement dépourvus de tout moyen de pression sur l’ennemi sioniste et ses commanditaires et complices d’Occident ?
Pourquoi ne pas utiliser l’arme qui a fait trembler – y compris de froid -, l’Europe entière en Octobre 1973, comme semble nous le suggérer le Ciel, avec cette vague de grand froid qui s’abat actuellement sur l’Europe ?
Pourquoi ce silence officiel, sur l’usage de l’arme du pétrole et du gaz ? Oui, pour quelles raisons, depuis 1973, c’est devenu un quasi-tabou, dans nos pays arabes et musulmans producteurs de pétrole et de gaz, d’évoquer l’éventualité même, de l’usage de tels moyens de pression qui sont entre nos mains ? Quelle signification doit-on donner surtout, à ce consensus parfait des pays arabes, traditionnellement si divisés ? Un consensus qui rappelle étrangement les règles de l’»omerta »….
Depuis de longs mois, les palestiniens de Gaza, défient dans l’honneur et la dignité, la mort lente du fait du blocus israélo-égyptien ; aujourd’hui, et depuis de longs jours, ils subissent aussi, dans l’honneur et la dignité aussi, la mort violente qui leur tombe du ciel ou leur vient de terre ou de la mer, sous les bombardements hystériques de l’armée criminelle de l’Etat sioniste qui procède sauvagement, sous les yeux d’un monde médusé, au plus crapuleux des crimes de génocide, où les femmes et les enfants sont en train de payer le plus lourd tribut à cette folie, à proportion de plus de la moitié, parmi les centaines de morts et les milliers de blessés.
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