Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Parti de la liberté et de la justice est né

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Parti de la liberté et de la justice est né

    IL EST FONDÉ PAR L’EXBRAS DROIT DE AHMED TALEB IBRAHIMI
    Le Parti de la liberté et de la justice est né


    Parti de la liberté et de la justice (PLJ). C’est le projet de création d’un nouveau parti politique, dont le fondateur principal et désormais président n’est autre que l’ex-bras droit et directeur de communication du parti Wafa de Ahmed Taleb Ibrahimi, qui, rappelons- le, n’a jamais été agréé par les pouvoirs publics. M. Mohamed Saïd, président du PLJ, a fait sa première sortie médiatique hier, pour annoncer la création de ce nouveau parti mais surtout pour montrer l’existence d’une force de résistance, composée essentiellement de jeunes de 30 à 40 ans, et qui va apporter son soutien à un candidat à la prochaine élection présidentielle.
    Le nom du candidat sera dévoilé dans une semaine par le bureau politique du PLJ, observant, pour l’heure une totale discrétion. Ce qui est confirmé de la bouche du conférencier, c’est que la nouvelle force politique opte pour le changement et pour la rupture avec la politique traditionnelle basée jusquelà sur «la médiocrité, la corruption et le gaspillage». Le Parti de la liberté et de la justice est un parti d’opposition, régi par des règles démocratiques. Il inscrit son action dans le cadre du respect de la Constitution et des lois de la République», affirme M. Mohamed Saïd. Et d’ajouter : «Le PLJ est un espace pour les forces vives qui ne se reconnaissent pas dans le paysage politique actuel. Il est animé par un esprit qui saisit la réalité complexe dans sa composante et ses contradictions.» Selon lui, un véritable fossé sépare ces dernières années la société de l’Etat. Les citoyens manifestent un désintéressement total de la politique et ils l’ont exprimé à plusieurs reprises par le boycott des urnes. Le projet politique du PLJ s’inscrit dans un projet de société, dont l’intérêt essentiel est de regagner la confiance des citoyens et de réhabiliter l’image de la politique, en se rapprochant davantage de ses préoccupations sociales. Pour y parvenir, l’ex-bras droit de Taleb Ibrahimi s’est fixé dix objectifs. Le premier étant de consolider le processus de réconciliation nationale, et ce en l’élargissant à la relation entre citoyens et institutions. Impliquant, de ce fait, l’effacement des séquelles de la tragédie nationale, le respect de l’opinion publique et l’amélioration de la qualité du service public. N’est-ce pas là déclaration faite il y a une année par Ahmed Taleb Ibrahimi, annonçant son retrait de la vie politique. Cet objectif aurait pu être interprété comme un appel de ce dernier à se réconcilier avec ceux qui l’ont malmené pendant des années, lui interdisant toute activité dans l’espace politique. La réconciliation nationale a été, en effet, un des principes fondamentaux du programme de Wafa. M. Mohamed Saïd a tenté toutefois de lever toute équivoque sur la composante de son nouveau parti pour écarter toute idée de «renaissance» un Wafa bis. «Je tiens à préciser que 80 % des membres fondateurs du PLJ sont des jeunes dont l’âge ne dépasse pas les 40 ans, qui n’ont jamais activé dans le parti Wafa.» Interrogé sur les soutiens politiques à son initiative, le conférencier a affirmé qu’effectivement des consultations ont été menées avec des personnalités politiques qui ne sont pas au pouvoir et qu’il a été encouragé dans cette démarche, y compris par Ahmed Taleb Ibrahimi. Concernant l’agrément du parti, M. Mohamed Saïd a affirmé qu’une assemblée générale a été organisée le 18 décembre dernier à Alger, regroupant des militants de 37 wilayas. Il s’agit là d’une première étape avant celle du dépôt, dans les prochains jours, de la liste des membres fondateurs du parti qui doit recueillir l’agrément du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. Ce dernier dispose de deux mois pour donner sa réponse et avaliser la tenue du premier congrès constitutif, qui doit intervenir avant une année. «Si des problèmes se posent, ils interviendront lors de la demande d’agrément officiel, qui aura lieu après la tenue du congrès, pas avant», a-t-il précisé.
    Rosa Mansouri

  • #2
    Ce genre de nom de parti présage un parti dictatorial au main d'un clique qui se chargera de s'en mettre plein les poches ,c'est un peu comme les république populaire et démocratique .

    Commentaire


    • #3
      Alors là

      Tu m'en diras tant !! Rien que ça Liberté / Justice !!

      Un proche de l'Ex FIS qui se fait peau neuve !!

      Est ce que la liste du bureau exécutif est connue ? Leurs têtes à couper qu'il y a quelques noms pas du tout innocents.

      A commencer par le leader, dont les tendances sont plus que connues et la listes des revirements est aussi longue que lui, voire bien plus


      .../...
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

      Commentaire

      Chargement...
      X