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Le Salon national du couscous, en sa deuxième édition, s’est ouvert hier à la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou avec la participation de dix wilayas du pays.
Inauguré par le SG de la wilaya en présence de représentants des autorités locales, le salon placé sous le haut patronage du ministère de la Culture a vu un engouement populaire sans précédent comme nous l’avions constaté lors de notre visite hier. En effet, des centaines de citoyens, la plupart jeunes, étaient agglutinés devant les différents stands des exposants.
Certains pour s’informer des préparatifs des différents plats exposés, d’autres par contre n’hésitent pas à prendre une cuillère pour déguster dans une ambiance festive coïncidant avec le Nouvel An berbère, Yennayer 2959. Hier, les travées de la Maison de la culture , dédiés à ce patrimoine culinaire ancestral, embaumaient les senteurs du couscous décliné dans ses différentes facettes. Plat culte en Afrique du Nord, le couscous décidera un jour de repousser les frontières pour devenir aujourd’hui célèbre aux quatre coins de la planète.
On l’appelle seksou en Kabylie, tabarboucht dans les Aurès, tâam chez les Ouled Nail. Dans la région de Chenoua (Tipaza) on fait même du couscous à base de gland, appelé tâam oubelboul.
Mais ce qui a attiré le plus l’attention des visiteurs de ce salon est le stand de Fatma Belboula. Venue de la wilaya de Blida, cette dernière a exposé un couscous original à base d’herbes médicinales.
On y trouve du berkoukes et du couscous d’orge aux plantes médicinales. Ce plat est conseillé aux malades atteints d’anémie et aussi ceux qui souffrent de problèmes intestinaux. " Je reçois des dizaines de malades quotidiennement venant des différents coins du pays, tous me demandent de leur préparer un couscous spécial à base de plantes médicinales. Aujourd’hui j’ai remarqué que beaucoup de citoyens de Tizi-Ouzou ignorent l’existence de ce couscous et ils sont nombreux à venir me demander les ingrédients pour le préparer ", nous confie Mme Belboula. Il y a aussi le couscous du Sud représenté par les willaya de Ouargla et Oued Souf et celui de l’Est avec Khenchla avec ses différentes préparations. On peut citer le couscous d’orge au poisson, couscous blanc avec viande salée et séchée, mesfouf sucré au miel et aux raisins secs…
Ce salon organisé, pour rappel, par le Comité des activités culturelles et artistiques de la wilaya de Tizi-Ouzou en partenariat avec la maison " Couscous El Gherbal " sera marqué par un riche programme qui s’étalera jusqu’au 14 janvier prochain avec en plus entre autres deux conférences. La première présentée hier par l’association Nechleus Couscous et la seconde prévue pour aujourd’hui à 10h portant sur la place du couscous dans l’art culinaire universel. Dans l’après-midi, un gala de clôture est au programme à partir de 14 h au niveau de la salle des spectacles en plus de la remise de diplômes aux exposants.
Inauguré par le SG de la wilaya en présence de représentants des autorités locales, le salon placé sous le haut patronage du ministère de la Culture a vu un engouement populaire sans précédent comme nous l’avions constaté lors de notre visite hier. En effet, des centaines de citoyens, la plupart jeunes, étaient agglutinés devant les différents stands des exposants.
Certains pour s’informer des préparatifs des différents plats exposés, d’autres par contre n’hésitent pas à prendre une cuillère pour déguster dans une ambiance festive coïncidant avec le Nouvel An berbère, Yennayer 2959. Hier, les travées de la Maison de la culture , dédiés à ce patrimoine culinaire ancestral, embaumaient les senteurs du couscous décliné dans ses différentes facettes. Plat culte en Afrique du Nord, le couscous décidera un jour de repousser les frontières pour devenir aujourd’hui célèbre aux quatre coins de la planète.
On l’appelle seksou en Kabylie, tabarboucht dans les Aurès, tâam chez les Ouled Nail. Dans la région de Chenoua (Tipaza) on fait même du couscous à base de gland, appelé tâam oubelboul.
Mais ce qui a attiré le plus l’attention des visiteurs de ce salon est le stand de Fatma Belboula. Venue de la wilaya de Blida, cette dernière a exposé un couscous original à base d’herbes médicinales.
On y trouve du berkoukes et du couscous d’orge aux plantes médicinales. Ce plat est conseillé aux malades atteints d’anémie et aussi ceux qui souffrent de problèmes intestinaux. " Je reçois des dizaines de malades quotidiennement venant des différents coins du pays, tous me demandent de leur préparer un couscous spécial à base de plantes médicinales. Aujourd’hui j’ai remarqué que beaucoup de citoyens de Tizi-Ouzou ignorent l’existence de ce couscous et ils sont nombreux à venir me demander les ingrédients pour le préparer ", nous confie Mme Belboula. Il y a aussi le couscous du Sud représenté par les willaya de Ouargla et Oued Souf et celui de l’Est avec Khenchla avec ses différentes préparations. On peut citer le couscous d’orge au poisson, couscous blanc avec viande salée et séchée, mesfouf sucré au miel et aux raisins secs…
Ce salon organisé, pour rappel, par le Comité des activités culturelles et artistiques de la wilaya de Tizi-Ouzou en partenariat avec la maison " Couscous El Gherbal " sera marqué par un riche programme qui s’étalera jusqu’au 14 janvier prochain avec en plus entre autres deux conférences. La première présentée hier par l’association Nechleus Couscous et la seconde prévue pour aujourd’hui à 10h portant sur la place du couscous dans l’art culinaire universel. Dans l’après-midi, un gala de clôture est au programme à partir de 14 h au niveau de la salle des spectacles en plus de la remise de diplômes aux exposants.
........je vous en donnerez des nouvelles ! (enfin j ss sûre que le couscous sera excellent lol 
)
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