Tweet
Le gouvernement iranien a mis en garde les entreprises étrangères commerçant avec Israël qu'elles seraient punies, a rapporté lundi la chaîne de télé vision satellitaire iranienne, Press TV.
"Le gouvernement iranien a envoyé un projet de loi au parlement dans lequel il annonce qu'il rendrait responsable toute entreprise qui est directement ou indirectement complice avec Israël", a indiqué le media et d'ajouter que le projet de loi " finalisé dimanche par l'administration Ahmadinejad, impose des sanctions à toute entreprise étrangères traitant avec Israël ou finan?ant les intérêts israéliens".
La chaîne de télévision a ajouté que des mesures punitives seront imposées à ces entreprises si le parlement iranien adopte le projet de loi.
Depuis le début de l'offensive israélienne sur Gaza le 27 décembre 2008, l'Iran n'a cessé de condamner "les crimes du régime sioniste impos és à Gaza" et a constamment appelé les Etats arabes à rompre le silence en faveur des habitants de Gaza.
Des officiels iraniens ont également demandé aux pays musulmans riches en pétrole d'utiliser l'arme du pétrole comme moyen pour faire pression sur Israël.
- AFP
"Le gouvernement iranien a envoyé un projet de loi au parlement dans lequel il annonce qu'il rendrait responsable toute entreprise qui est directement ou indirectement complice avec Israël", a indiqué le media et d'ajouter que le projet de loi " finalisé dimanche par l'administration Ahmadinejad, impose des sanctions à toute entreprise étrangères traitant avec Israël ou finan?ant les intérêts israéliens".
La chaîne de télévision a ajouté que des mesures punitives seront imposées à ces entreprises si le parlement iranien adopte le projet de loi.
Depuis le début de l'offensive israélienne sur Gaza le 27 décembre 2008, l'Iran n'a cessé de condamner "les crimes du régime sioniste impos és à Gaza" et a constamment appelé les Etats arabes à rompre le silence en faveur des habitants de Gaza.
Des officiels iraniens ont également demandé aux pays musulmans riches en pétrole d'utiliser l'arme du pétrole comme moyen pour faire pression sur Israël.
- AFP