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Maroc: 15.500 ouvrières pour récolter des fraises en Espagne

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  • Maroc: 15.500 ouvrières pour récolter des fraises en Espagne

    · Elles partiront pour une période de deux mois

    · Entre 34 et 37 euros par journée de travail


    L’Espagne ne ferme pas la porte au recrutement des travailleurs étrangers malgré la crise d’emploi (2,5 millions de personnes au chômage). Le pays a toujours besoin de saisonniers marocains dans son secteur agricole. Et c’est à Marrakech, vendredi 9 janvier, qu’a démarré la compagne de sélection des 15.500 femmes ouvrières marocaines qui iront ramasser des fraises dans les serres de Huelva, dans le sud de l’Espagne. C’est-à-dire dans deux mois, date du démarrage de la récolte. Pilotée par l’Anapec, cette opération a pour objectif de lutter contre l’immigration clandestine.

    Les recruteurs espagnols sont venus personnellement prendre part à la sélection des ouvrières. Cinq sites ont été retenus pour éviter tout déplacement lointain: Fès pour couvrir l’axe d’Oujda et Er-Rachidia, Mohammédia pour Tanger et El Jadida, Marrakech pour Béni Mellal et Safi, Agadir pour Essaouira, Ouarzazate et Guelmim et enfin Dakhla pour l’axe de Laâyoune et Dakhla. «Recrutées selon un contrat à durée déterminée (CDD) de trois mois en moyenne, les ouvrières seront rémunérées entre 34 et 37 euros (bruts) par journée de travail (six heures et demie)», explique Kamal Hafid, DG de l’Anapec.

    Elles auront droit à un jour de repos par semaine, aux prestations sociales, sanitaires et éducatives. Le logement et l’aller-retour de Tanger à Huelva seront à la charge des employeurs. Les ouvrières s’engagent à retourner au Maroc à l’expiration de leur contrat. Le respect de cet engagement leur donne le droit de postuler la prochaine saison. A noter que le taux de retour a passé de 20% en 2004 à 95% en 2006.

    Au terme de ce processus, l’Anapec veille à leur accompagnement et les services de l’ambassade d’Espagne à Rabat se chargent du suivi des procédures d’octroi des visas. Par ailleurs, le nombre d’emplois pourvus grâce à l’Agence a totalisé, au cours de la période s’étalant de l’année 2001 à 2008, 22.572 dont 12.030 ont été réalisés au titre de l’année 2008, soit 53% du cumul des emplois mobilisés. Avec plus de 95% des emplois offerts, l’Espagne a été le principal pourvoyeur en opportunités de travail au cours de cette période. Offerts à hauteur de 80% dans le cadre de contrats de travail saisonniers, les emplois créés ont concerné essentiellement le secteur agricole avec 75% et le secteur hôtelier avec 15%.


    Hanane HASSI - L'economiste

  • #2
    == MODERATION==
    Evitez les provocations. Relisez Et respectez la charte,SVP.

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    • #3
      Win/Win

      A noter que le taux de retour a passé de 20% en 2004 à 95% en 2006.
      je crois que c'est devenu assez sérieux
      parmi les critères : la femme est mariée
      et tu sais dans le monde rural, on se marie tôt
      Dernière modification par Bennis, 13 janvier 2009, 15h55.

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      • #4
        c'est le genre d'accords fouretout dont le maroc excelle , où ça sent la magouille , le louche , bref les relais entre le maroc et l'europe occidentale france/ espagne sont parasité par les beznassiyas , je viens de voir un documentaire sur FR3, où il s'agitr d'un organisme canadien d'aide au tier monde qui investit dans des colleges privée au maroc en turquie où les frais de scolarité coutent 6000 $ l'an , et où les etudiants arrivent au college en mercedes, cooperation et aide dites vous ? !!!
        en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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        • #5
          cooperation dites vous ? !!!
          avec tout ce que tu as dit je crois que tu n'as rien dit à la fin
          il n'y a rien à retenir

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          • #6
            unsujet 'economique

            chers amis et amis je ne suis pas nouveaux mais dans cet rubrique si
            je vous demande et je veu vraimant savoir
            est ce que rachid benaissa ministre de l'agriculture est apte relever les grand defis alimentaire afin que nous puissions etre a labris de lafaimine pour les annees avenir
            Dernière modification par mezianbenmouhoub, 13 janvier 2009, 16h59. Motif: frappe

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            • #7
              == MODERATION==
              Evitez les provocations. Relisez Et respectez la charte, SVP

              Commentaire


              • #8
                mezianebenmouhoub:
                est ce que rachid benaissa ministre de l'agriculture est apte relever les grand defis alimentaire afin que nous puissions etre a labris de lafaimine pour les annees avenir

                oui il est apte et meme tres,comme bcp de nos pseudo ministre pour garantir tt les defit alimentaire ou tbeznis mais uniquement pour ca famille et ces proches

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                • #9
                  oujda 1933

                  ravie de vs rependre clairement oudjda 33: alors
                  etant donner que je suis du domaine je me permet de decortiquer benaissa
                  je croix que la politique agricole algerienne est la meme depuis 1962 ace jour si ce n"est pas paule qui le gere se sera pierre donc a ma pure conviction de vous dire que rien ne vas etre regler sous la gouvernance de benaissa ;pourquoi!§
                  Parceque il n'a pas une bonne equipe dans son departement et surtout sur le terrain ou les directives du programme lancer pour 2009 /2014ar le conseil des ministre et presenter au president ne serant pas appliquer asavoir

                  - Améliorer la sécurité alimentaire en vue de garantir l'accessibilité pour toute personne, de manière régulière, à une nourriture saine et suffisante, lui permettant de mener une vie active,


                  -Assurer une évolution maîtrisée de l'organisation et des instruments d'encadrement du secteur de l'agriculture, en vue de permettre l'accroissement de sa productivité et de sa compétitivité.

                  -de mettre en œuvre le principe du soutien adapté de l'Etat au développement agricole.

                  Afin de - garantir la pérennité et la préservation des exploitations agricoles par des structures agraires adaptées,

                  - Améliorer le niveau et le cadre de vie des agriculteurs et des populations rurales par la mise en place, par l'Etat, de conditions favorables à une dynamique de développement des espaces ruraux,
                  - favoriser l'installation, dans l'agriculture, des jeunes et le développement de l'emploi dans le domaine agricole,

                  -Préserver et valoriser le patrimoine foncier par l'amélioration de l'organisation foncière et la définition d'un mode approprié d'exploitation des terres agricoles,

                  -permettre la valorisation et la protection des ressources génétiques animales et végétales,

                  - Renforcer la protection zoo sanitaire et phytosanitaire ainsi que la salubrité des produits agricoles,

                  - promouvoir une politique participative par la concertation avec les organisations professionnelles de l'agriculture en vue d'impulser une dynamique mobilisatrice de l'ensemble des acteurs du secteur de l'agriculture,

                  -contribuer à la régulation des produits agricoles en vue de protéger les revenus des agriculteurs et sauvegarder le pouvoir d'achat des consommateurs,

                  -mettre en place des instruments et mécanismes réglementaires normatifs et économiques permettant d'orienter les investissements et les productions.,

                  - favoriser une politique adaptée d'enseignement, de formation permanente, de recherche et de vulgarisation agricoles,

                  - assurer la modernisation, l'intensification et l'intégration agro-industrielle par filière,

                  - permettre une utilisation rationnelle des sols par l'adaptation des systèmes de production, notamment, dans les régions soumises aux menaces de dégradation,

                  - assurer le développement agricole et rural des zones de montagne à travers un reboisement harmonieux, la conservation de la nature et la protection des bassins versants,

                  - assurer l'utilisation rationnelle et la valorisation des ressources en eau pour l'irrigation des terres agricoles,

                  - assurer la modernisation des exploitations agricoles et l'intensification des productions agricoles.

                  La réalisation des objectifs visés de l'orientation agricole est mise en œuvre à travers :

                  - les schémas directeurs d'orientation agricole en tant que cadre de référence pour les actions de conservation, de préservation et d'utilisation optimale de toutes les potentialités agricoles,

                  - les plans et programmes de développement agricole chargés de fixer la stratégie du développement agricole, de définir les moyens nécessaires et de planifier les activités dans le temps et dans l'espace,

                  - l'institution d'un fichier déterminant les potentialités du patrimoine foncier agricole ou à vocation agricole et d'une carte de délimitation des terres agricoles ou à vocation agricole. :

                  - la valorisation des productions agricoles à travers, notamment, l'institution d'un système de qualité (labels agricoles, appellations d'origine, traçabilité, qualité de produit biologique...), -,,

                  - le projet de loi édicte, en outre, des mesures d'encadrement du foncier agricole, des activités agricoles, de l'exploitation agricole, des organisations professionnelles ainsi que des mesures d'encadrement scientifique et technique pur améliorer le niveau de la qualification professionnelle des agriculteurs. .

                  - assurer les conditions d'intégration des jeunes diplômés dans le processus de modernisation de la gestion des exploitations agricoles,

                  - renforcer les dispositifs d'encouragement de la recherche et de l'innovation pour améliorer les rendements et la qualité des productions agricoles.


                  Dernière modification par mezianbenmouhoub, 14 janvier 2009, 19h43. Motif: frappe

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                  • #10
                    bsr mezianbenmouhoub vbmenu_register("postmenu_1883000", true); tres ravie aussi merci et merci aussi pour ton objectivité tu es surment specialiste dans ce domaine, moi je dois dire ke je conné pas grand chose.
                    juste une constation peandant l'occupation colonial bcp de marocain meme de ma famille ont emigré en algerie francaise a l'epoque pour travailler dans les fermes ché les colons biensur, apres l'independance les colons sont partis en france nous aussi pour travailler comme saisonier pour dire que le problem est en nous "maghrebin" si l'agriculture allait bien avec les colons pourkoi pas avec nous autre.

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                    • #11
                      @mezianbenmouhoub , tu dit que le ministre n'applique pas ce qui a était prévu a savoir le programme que tu énumère...mais ce que j'ai lu c'est plutot des idée généraux,un programme d'orientation générale, ç'est pas un programme a appliqué en 3 ans mais plutôt un stratégie sur 20 ou 30 ans pour voir les fruit de ces réalisation ....c'est a faire par au moins une dizaine de ministre qui vont ce succéder sur 15 ans...chacun pourra s'atteler a deux ou trois point du programme ...guère plus
                      tu tombe je tombe car mane e mane
                      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                      • #12
                        Il s'agit de femmes rurales habituées à travailler à la dure et qui sont triées au volet pour être compétitives , mariées et ayant des enfants ( pour ne pas être tentées par le hrig) , soumises à un contrat en bonne et due forme entre l'état espagnol et celui du Maroc.
                        Ces femmes gagnent dignement leur croute et amassent en 2 mois ce qu'elles auraient gagné en un an si elles restaient au Maroc.
                        Leur situation et celle de leur famille s'améliorent rapidement et c'est l'essentiel .
                        15500 Ouvrières agricoles ( à raison de 5 à 6 membres par familles) , c'est prés de 100 000 personnes concernées.
                        Les italiennes , les espagnoles , les portugaises ont fait de meme , il y a encore 40 ans en allant travailler en europe du Nord et leur pays n'en a que bien tiré profit
                        Tout les insinuations maladives écrites ici importent peu surtout si on a l'habitude d'être assisté par l'état providence..

                        ...........................


                        L'Espagne continue de s'intéresser aux travailleuses agricoles marocaines, bien que des milliers d'immigrants marocains sans emploi soient encouragés à rentrer au Maroc. L'agence nationale pour la promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) a lancé lundi 15 septembre une opération de recrutement de 2 500 travailleuses.
                        Le directeur général de l'ANAPEC, Hafid Kamal, a déclaré à Magharebia qu'un accord avait été signé avec la province d'Huleva en Andalousie visant à permettre à des Marocaines de travailler pendant deux mois dans des associations agricoles espagnoles. L'ANAPEC espère signer d'autres accords de ce type avec la région de Catalogne, qui offre un potentiel économique et agricole considérable.
                        "L'effectif des ouvrières agricoles au titre de la campagne 2008-2009 sera porté à 12 000, voire 20 000", a indiqué M. Kamal. "Ce chiffre variera en fonction des besoins exprimés par les associations agricoles espagnoles."
                        Le salaire brut de ces ouvrières sera de 32 à 34 euros par jour de travail, sur la base de six heures et demi par jour. Le premier groupe de travailleuses participera aux opérations de plantation.
                        Le secrétaire général du travail et des affaires sociales à l'ambassade d'Espagne à Rabat, Alfredo Ramos Moreno, a indiqué qu'après l'opération de plantation, une opération de cueillette, à laquelle participeront plus de 12 000 travailleuses, est prévue pour décembre prochain.
                        "La qualité de la présélection effectuée par l'ANAPEC est irréprochable. Les personnes choisies correspondent parfaitement aux profils recherchés", affirme-t-il.
                        Certains Marocains s'inquiètent toutefois du bien-être de ces femmes une fois loin de leurs foyers.
                        "Certains considèrent que ces travailleuses agricoles sont exploitées par les propriétaires espagnoles qui les embauchent temporairement", explique le sociologue Hamid Badani.
                        M. Kamal a tenu à les rassurer, indiquant que les conditions de travail sont raisonnables, et que l'Espagne dispose d'un réseau très étendu de médiateurs et de syndicats qui surveillent de près les conditions de travail.
                        Grâce à l'ANAPEC, cela fait maintenant plus de cinq ans que le Maroc exporte ses compétences agricoles vers l'Espagne. La première opération avait concerné 300 femmes seulement, mais l'Espagne a confiance dans le travail des Marocaines, et le nombre de celles-ci invitées chaque année a augmenté en conséquence. En 2005, 1 700 femmes avaient travaillé en Espagne ; en 2007, ce chiffre est passé à 4 600 et en 2008, plus de 11 127 Marocaines sont déjà parties travailler chez le grand voisin du nord.
                        M. Kamal a expliqué à Magharebia que l'ANAPEC entend poursuivre son programme et permettre aux femmes de bénéficier d'un certain nombre de contrats, garantissant ainsi un nombre défini de séjours de travail durant une année.
                        Les bénéficiaires qui ont déjà travaillé en Espagne font part de leur satisfaction, même si le travail est temporaire. Pour ces femmes, deux mois de salaire en Espagne sont équivalents à une année entière au Maroc.
                        Fatima Meliani a ainsi expliqué à Magharebia que grâce à son travail de l'an dernier en Espagne, elle avait pu gagner assez d'argent pour faire réparer sa maison et envoyer son fils à l'école. Elle espère y retourner pour pouvoir subvenir aux besoins de sa famille.
                        Le sociologue Badani a expliqué à Magharebia que ces opportunités économiques entraînent une sorte de révolution au sein des familles rurales. Ce sont maintenant les femmes mariées qui quittent le foyer conjugal pour aller travailler à l’étranger, alors que cette responsabilité incombait historiquement aux maris.
                        "C’est un changement palpable que les chercheurs doivent suivre avec intérêt", explique-t-il "Mais il faut dire que la cherté du coût de la vie a poussé les familles marocaines à changer leurs habitudes."
                        Agées de 18 à 40 ans, les candidates doivent avoir une expérience dans le secteur agricole, être en bonne condition physique et avoir des enfants à charge. Un examen médical obligatoire est également prévu.

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                        • #13
                          oujda 1933 salut

                          eh bien oui je suis du domaine et que je peu vous dire que la politique agricole marocaine est plus efficace que celle de l'algerie on doit se poser la question chaque jour

                          Qu’est-ce qu’on mange ?
                          • Qu’allons-nous mettre dans nos assiettes et à quel prix ?
                          • Quelles seront les productions agricoles de demain ?
                          • Qui nourrira les 9 milliards d’habitants de la planète en 2050 ?
                          L’agriculture redevient un sujet d’actualité, au coeur de nos préoccupations quotidiennes et des grands défis de la planète alors que le grand public s’est éloigné des réalités du monde agricole. Alors, parlons agriculture ! .
                          ce site permettra en effet à chacun de s’exprimer pour prendre part à un débat citoyen devenu nécessaire.
                          Le dialogue et l’échange des points de vue concourent à une meilleure compréhension des grands enjeux auxquels notre société doit faire face.
                          Pour son ouverture, je vous invite citadins et agriculteurs à communiquer en direct via un forum et à renouer le dialogue pour mieux comprendre les questions que pose l’avenir.
                          C’est en se parlant qu’agriculteurs et citadins apprendront à mieux et se connaître et trouveront des solutions pour relever les nouveaux défis.
                          je suis fan du maroc j'ai connue ce pays depuis et je l'adore de oujdda a marrakeche je les tres bien visite et dieu m'est temoin que je suis sincer

                          Commentaire


                          • #14
                            bonsoir frere meziane
                            la politique agricole marocaine est plus efficace que celle de l'algerie
                            pas vrement vrai, rien que dans ma ville on detruit tt les plantes les arbre le betton remplace les ferme et les jardins. pour tbeznis le governeur avec la mafia de l'immobilier ont coupé l'eau de la source sidi yahya pour forcé les agriculteur a vendre leur ferme pour construire des lottissement.

                            Qu’est-ce qu’on mange ?
                            j'ai espioné la marmite dial walida, fiha berkoukech b lahlib
                            allah yehfedha grace a elle mon papa yselek le mois.

                            L’agriculture redevient un sujet d’actualité, au coeur de nos préoccupations quotidiennes et des grands défis de la planète alors que le grand public s’est éloigné des réalités du monde agricole. Alors, parlons agriculture !
                            dans ce monde injuste, le maroc exporte un bateau de legumes qui indisponsable a la vie pour acheter une mercede ki n'est pas indiponsable pour survivre.

                            Le dialogue et l’échange des points de vue concourent à une meilleure compréhension des grands enjeux auxquels notre société doit faire face.
                            lemen rak t3awed zabour dialek ya david.
                            ya weddi khellina hna mazal haslin entre le string ou la bourga

                            je suis fan du maroc j'ai connue ce pays depuis et je l'adore de oujdda a marrakeche je les tres bien visite et dieu m'est temoin que je suis sincer
                            j'ai u l'occasion de visité l'algerie .a blida un djazayri ma obligé de force de quitter l'hotel pour loger ché avec ca famille. pour lui et tout les algeriens je dis ke" l'algerie mon amour algerie pour tjrs"
                            mon frere meziane il ce trouve k'il fo tjrs 2 pour semer la haine entre les peuple mais wellah jamais nkoun 1 de ces "zouj bghal"
                            Dernière modification par oudjda1933, 15 janvier 2009, 22h14.

                            Commentaire


                            • #15
                              ya oudjda 1933

                              wallahi ya akhi wala okhti ghi kif kif hokmone wahidoune wa akliyatoune wahidatoune boutef wa Mde sont deux freres enemis gratuitement
                              idha djit eldjazair mrahaba bik fi baladek wa bidoune moudjamala wala protocole on a bcp d'idee et de solution wa lakin laman tahki zabourek ya daoud
                              ce qui nous derange chez nous surtout c'est la mauvaise gouvernance
                              Difficile d'imaginer quels seront les défis du monde agricole et les désirs de la société en 2030. Pourtant, des réponses réalistes apparaissent déjà comme des évidences : doublement de la demande alimentaire pour répondre aux besoins de 9 milliards d'individus contre 6,5 milliards aujourd'hui, nécessité d'adapter la manière de produire au changement climatique et enfin, production d'énergie durable et/ou renouvelable dans une ère de raréfaction des ressources. Pour moi, «l'agriculture est le pivot du développement mondial ». Mais, cette agriculture de demain devra trouver son équilibre entre production alimentaire et non alimentaire, productivité et préservation des sols, augmentation des rendements et limitations des engrais et pesticides. Concilier ces attentes parfois contradictoires nécessitera des efforts de la part du monde agricole mais aussi des consommateurs. Ils devront peut-être revoir leur modèle alimentaire. Car « le mode d'alimentation carnée européen ou américain n'est pas extensible à l'ensemble de la planète car l'animal est mis en concurrence avec des aliments susceptibles de nourrir des êtres humains. » Les agriculteurs des pays du Nord mais aussi ceux du Sud devront s'adapter à des politiques innovantes prévoit une diminution de 10% de la production dans les pays en développement et une augmentation de 5% dans les pays plus riches. « Il faudra s'adapter pour que le Nord soit en mesure de produire pour le Sud, et que ales pays les plus pauvres

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