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L'ANP entre continuité et rupture!

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  • L'ANP entre continuité et rupture!

    khoroto blabla
    Dernière modification par éliamine, 13 août 2013, 12h59.

  • #2
    A l'ANP ( Armée nationale et populaire) , si on te pose la question :
    Qui est ton père ( tu dois répondre l'ANP)
    Qui est ta mère ( tu dois répondre l'ANP)

    Il est inutile de se posé la question sur la nature du pouvoir Algerien.
    Bouteflika en réponse à une journaliste aucours d'une interview en 1999 sur sa nature ( militaire ou civil), il a tout simplement répondu :
    peu importe que le chat soit gris ou noir, l'essentiel c'est qu'il attrape des souris
    Donc encourageons chacun à sa manière notre chat bavard dans sa chasse aux souris les souris.
    Quant à la D.R.S, les patrons demeurent les dieux de l'algerie, on a beau se dire que l'etat est souverain, la réalité est autre chose.

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    • #3
      morale

      Les impératifs economiques sont inconcilliables avec les exigences morales.

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      • #4
        Certainement pour accréditer l'impression que le pouvoir algérien s'est bel et bien démilitarisé, qu'il se serait « civilisé » en quelque sorte, que le président n'a plus besoin de « l'interface » de Belkheir pour gérer une armée qu'il contrôle dorénavant et où il ne cesse de nommer et de limoger des généraux.

        Bouteflika n'est donc plus un « trois-quart » de président et avec la charte qu'il fait avaliser, il se transforme en potentat absolu.

        appel Algérie

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        • #5
          C'est quoi cette façon bête et injuste de raisonner.Franchement je suis stupéfait.Vous vous tournez des films ridicules et en plus vous êtes les scénaristes ,les acteurs imaginaires et les metteurs en scène de votre mascarade.La haine anti boutef est débile et complètement folle.
          Je vous rappelle que ce monsieur est le président des algériens et pour qui 84 % ont voté en toute démocratie.Evidement ,en tant que "grands démocrates" khortis pour certains ou "grands amis" de l'algérie pour d'autres ,vous ne respectez pas le choix de notre peuple.Voyez-vous messieurs les faux démocrates il faut déja apprendre l'ABC de la démocratie avant de venir deverser votre venin ou de jouer l'intéréssant.
          Donnez l'exemple avant de railler les autres.
          il est temps ,en l'an 2005 ,de se respecter et surtout respecter les choix des autres même si en tant que "lumières" ou personnes "autorisées auto-proclamées" vous les méprisez.Je trouve honteux qu'on cherche insidieusement à remettre toujours en cause le choix du peuple.
          Aujourd'hui boutef est un vrai président de l'algérie ,qu'il a instauré la démocratie (voir les dernières et prochaines elections ) ,qu'il a le soutien de la grande majorité du peuple et qu'il a redonné l'espoir (que certains regrettent apparement ) aux algériens et algériennes.La situation est difficile comme partout ds le monde ,y compris ds vos pays références ,mais les algériens ont les outils et les réformes politiques et économiques pour se battre et s'en sortir.
          En ce qui concerne l'ANP ,je pense que c'est une institution républicaine au service de l'algérie.Elle est respectée et honorée chaque fois par le peuple.Nous avons tous des membres de nos familles dont on est fier ,ds cette grande institution ,garante de notre honneur et dignité.Le fait qu'elle se modernise et se professionnalise est tout à fait logique et même necessaire.Son chef c'est le président de la république comme tous les présidents du monde bush ,chirac ,poutine et tous les autres.Dont acte.

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          • #6
            ANP (aucune rupture).

            peu importe que le chat soit gris ou noir, l'essentiel c'est qu'il attrape des souris
            C'est la réponse aux incredules!
            traduction:
            le pouvoir est soit aux militaires en civil ou directement en tenue : c'est DU kif kif.
            Ce que je regrette c'est "le chahut des gamins" qu'ils ont enterré vivant.
            BIENVENUE au nouveau DESPOTE minable et suffisant.

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            • #7
              blabla khoroto
              Dernière modification par éliamine, 13 août 2013, 12h08.

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              • #8
                Il existe une différence essentielle entre la puissance potentielle d’un acteur et celle qu’il exerce effectivement : sa perception des enjeux. De tous temps, les perceptions ont été utilisées pour accroître la détermination de son propre camp, que ce soit par la diabolisation de l’adversaire ou par la glorification à outrance des siens. De manière générale, le volume des ressources engagées et la manière de le faire dépendent étroitement des enjeux du conflit, tels que les perçoivent les différents acteurs. Il est donc nécessaire de savoir pourquoi les hommes en viennent à se battre au péril de leur existence. Globalement, les enjeux peuvent être articulés en ordre d’importance par rapport à leur universalité :

                Les enjeux individuels, qui forment l’intérêt minimum de chaque personne – les besoins, les désirs, les impératifs et les informations. Présents dans toutes les situations conflictuelles, ils contribuent à remettre en cause les structures sociales ;


                Les enjeux collectifs, auxquels la socialisation des êtres vivants confère une valeur supérieure – les demandes, les projets, les valeurs et les concepts. Propres à chaque structure sociale, ils définissent par leurs différences les divisions d’une société ;


                Les enjeux sociétaux, qui ont une importance plus grande en définissant chaque société – l’ambition, la destinée, la culture et l’éducation. Représentant l’identité rassemblant les groupes et les individus, ils sont un facteur essentiel d’unité ;

                Encore une fois, une telle articulation ne fait qu’approcher la complexité des organisations humaines. Il s’agit néanmoins de s’imaginer l’interaction existant entre ces différents niveaux de la sorte : les structures sociales sont des sommes de personnes, alors que les sociétés sont formées de plusieurs structures ; de même, les valeurs sont une addition d’impératifs, tout comme les cultures forment un ensemble de valeurs. En d’autres termes, les enjeux les plus fondamentaux constituent le dénominateur commun d’une société et parviennent à transcender les différences des structures sociales qui la composent, tout comme les enjeux propres à celles-ci transcendent les différences des individus qu’elles rassemblent. Autant dire que leur nature subjective a une influence directe sur la notion de menace.

                Les ressources engagées sont en effet proportionnelles à l’ampleur des enjeux perçus. Un groupe ne se mobilise pas si des besoins ou des impératifs strictement individuels lui semblent en péril, de même qu’une société n’entre pas en guerre lorsque des demandes ou des valeurs sectorielles lui paraissent menacées. En revanche, que des enjeux initialement limités gagnent en importance, ou que l’impression d’un tel phénomène se propage, et aussitôt les acteurs concernés sont-ils susceptibles de s’engager davantage ou de se rapprocher les uns des autres pour cumuler leurs forces. Toucher un être humain au plus profond de lui-même revient à toucher tous les siens, dans toute l’acception fluctuante de ce mot. Chaque individu est en mesure de symboliser des enjeux pour lesquels combattre, tuer et mourir peut être digne.

                Cet engrenage de l’identification et de l’amalgame contribue à expliquer pourquoi des conflits a priori limités peuvent engendrer des comportements extrêmes, et totalement irrationnels vus de l’extérieur. La peur de disparaître en tant qu’entité ethnique ou religieuse est ainsi à l’origine des conflits identitaires qui se sont multipliés dans les années 90, alors que l’imitation permet aux modalités de certains conflits d’apparaître en d’autres lieux. Cependant, ce mécanisme indique également la fragilité des acteurs collectifs dès lors que s’effilochent les bases de leur identité : si les enjeux fondamentaux qui fondent sa cohésion ne sont pas menacés, chaque belligérant est aussitôt susceptible d’être confronté à des divisions internes et donc affaibli. Les mouvements de concentration et de dispersion ont dès lors un impact direct sur les ressources disponibles et la manière de les employer.

                Cette réalité complexe, faite de subjectivité et d’incertitude, revêt une importance cruciale à une époque où les technologies de l’information favorisent les identités métissées, les collectifs éphémères et les structures éclatées. Il est plus que jamais nécessaire de savoir pourquoi des acteurs acceptent d’employer la violence armée et jusqu’à quelles extrémités ils sont prêts à aller pour atteindre leurs objectifs. Or, démêler l’écheveau humain des conflits armés exige un processus itératif et continu : il s’agit d’une part d’évaluer l’implication des acteurs en fonction des enjeux matériels, émotionnels, moraux et intellectuels qu’ils perçoivent, et donc de comprendre leur point de vue, et d’autre part d’évaluer les mouvements de fusion et de scission qui résultent des convergences et des divergences au sujet de ces enjeux

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                • #9
                  Bravo .Ouh ...lala !!!.

                  Vraiment ........ ....(attend je vais relire cette exposé un deuxieme fois)

                  Vraiment ...Bravo Eliamine .

                  Mais qui en ait l'auteur ?

                  STP

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                  • #10
                    la matière, la psyché, la morale et le savoir forment le quadrant de la puissance, les quatre domaines dans lesquels s’inscrivent les guerres humaines. Chaque acteur d’un conflit est ainsi caractérisé par des enjeux, des ressources et des méthodes dont la nature est physique, psychologique, éthique et/ou cognitive. Montrer pourquoi et comment les hommes se battent revient à se plonger dans le tréfonds de leur être, à tenter de systématiser les moyens, les pulsions, les impératifs et les concepts qui façonnent leur puissance et qu’ils emploient pour l’exprimer. Le modèle qui en résulte doit dès lors s’appliquer à toutes les formes d’affrontements et à tous les types d’acteurs, sans distinction de lieux et d’époques

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